Sherlock Holmes : Série Granada [Intro]

I. Intro

La toute première fois que j’avais entraperçu l’acteur Jeremy Brett (je ne connaissais pas encore son nom) lors d’un zapping, je m’étais dit « Oh, on dirait Sherlock Holmes », parce que je trouvais qu’il avait le physique pour le détective.

Nous étions en 1990 et j’avais fait la découverte littéraire de Sherlock Holmes en 1989 (octobre, je pense) avec le « Chien des Baskerville » avant de dévorer tout le canon en entier. À cette époque, pas d’Internet et je n’avais donc jamais découvert un visage d’acteur ayant joué son rôle.

Mais en voyant cet homme grand, mince et plutôt bôgosse, je m’étais dit dans ma tête qu‘il ferait un bon Holmes.

Mon exclamation n’était pas fausse puisque je venais de tomber sur un épisode de la série anglaise « Sherlock Holmes » produite par le Granada !

Mes yeux en brillaient de bonheur ! Pas de bol, je devais partir en ville avec ma mère, je ne pouvais y couper et comme nous n’avions pas de magnéto… Oui, une horreur ! Traumatisme pour moi qui ai raté de nombreux épisodes.

L’heure de ma vengeance à sonné lorsque je pu les télécharger sur Méga Upload. Je rassure les puristes de suite, j’ai acheté toute la série lorsqu’elle fut éditée par les éditions Altaya.

Dans le cadre du « Mois Anglais », j’ai regardé les épisodes sur You Tube, en anglais dans le verbe et dans le texte, puisque les sous-titres proposés étaient en anglais (mais je comprends mieux en lisant l’anglais qu’en entendant l’anglais).

Heureusement que j’avais revu la série en novembre 2013 et en V.F, ce qui m’a permis de comprendre. Et puis, au bout d’un 36ème visionnage, je les connais !

Mais parlons un peu de la série et assez de moi !

Les articles suivants seront consacrés à 5 épisodes de la série de la Granada. Je n’aurai pas le temps de vous écrire les articles consacrés à l’origine de la série, malheureusement.

Mais rien ne m’interdit de les poster après le Mois Anglais 😉

Challenge « I Love London II » de Maggie et Titine, au « Mois anglais III » chez Titine et Lou, au Challenge « Victorien » chez Arieste, au Challenge « Sherlock Holmes » de Lavinia sur Livraddict et au Challenge « XIXème siècle » chez Netherfield Park.

31 réflexions au sujet de « Sherlock Holmes : Série Granada [Intro] »

  1. En mai, j’ai fait un voyage à Londres sur les traces de Holmes, et notamment sur celles de Jeremy Brett (les lieux de tournage de la série, le Wyndham Theatre, Clapham Common où il habitait et où se trouvent son banc et son arbre commémoratifs…). C’était passionnant et hyper émouvant. Il y a tant à dire sur l’interprétation de Brett. Il a tout révolutionné, avec une intensité inédite. Je suis carrément amoureuse de lui. ❤️

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    • Ah mais quelle chance vous avez eue !!! Moi aussi je suis fan de son Holmes depuis le départ (sauf dans les derniers épisodes, ceux qu’ils auraient voulu retourner parce qu’il disait qu’il n’avait pas rendu hommage à Holmes). Et ça date !!!

      Le genre de pèlerinage que j’aimerais faire. 😉

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      • J’ai publié mes photos sur deux groupes FB de fans de Jeremy Brett. Celle où je tente de faire le même saut que lui à la fin de l’épisode « The Second Stain », dans le haut de l’escalier de Carlton House Terrace a eu son petit succès. Y en a même un qui m’appelle depuis: « Isabelle of the Magnificent Leap in London »… 😀 (je refuse désormais d’être appelée autrement!). C’est vrai que certains épisodes de la fin de la série Granada sont difficiles à regarder, notamment The Three Gables, où il a l’air si malade, et où l’on sait qu’il s’est évanoui plusieurs fois sur le plateau. C’est franchement douloureux. Je ne l’admire que plus d’avoir tenu le coup. Avec d’autres fans, on tente de faire pression sur la BAFTA pour que son incroyable performance soit récompensée par un trophée posthume. Sans trop de succès pour le moment. Il faut le faire, ce voyage, si vous en avez tant envie! C’est quelque chose d’entrer dans le 221b Baker Street, et de laisser quelques fleurs à Clapham Common… ❤

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        • J’ai eu la chance d’aller un week-end à Londres, avec ma frangine et le samedi matin, j’étais excitée comme une puce à l’idée d’aller au musée de Baker Street. Hélas, ma soeur n’est pas holmésienne, donc, je n’allais pas l’obliger à faire des périples holmes… elle a fait le musée, j’étais déjà contente.

          Peut-être qu’un jour j’aurai la chance d’y retourner…

          Oui, Jeremy regrettait la scène en robe de chambre dans la rue, la clope écrasée dans l’oeuf à la coque et une scène au balcon. Je ne regarde que très rarement ces épisodes, tout comme « le pied du diable » où il s’était coupé les cheveux n’importe comment.

          J’ai fait partie longtemps du forum Jeremy Brett, et puis, le temps qui passe, le temps qui manque, je n’ai même plus eu le temps d’aller sur le forum de la sshf !

          C’est quel groupe, sur FB ? Même si je ne suis pas une grande utilisatrice de fb non plus 😆

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          • « Sherlock Holmes-Jeremy Brett » et « Jeremy Brett-the only one », mais il y en a d’autres. Ah par contre j’aime beaucoup « The Devil’s Foot », même si la coupe de cheveux est en effet déroutante. La scène du délire provoqué par l’herbe du pied du diable est incroyable. C’est la seule fois où Holmes appelle Watson par son prénom (une idée de Brett). Et on a aussi un exemple du sens particulier de la justice de Holmes, une éthique toute personnelle pas toujours en accord avec les lois anglaises, et qui me réjouit beaucoup.

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            • Oh, j’avais oublié le coup du « John »… la preuve que j’ai des gros trous de mémoires !! Moi j’adore la nouvelle, elle m’avait fait flipper à l’époque (jeune gamine de 12/13 ans).

              Son éthique rejoint souvent la mienne ou alors, c’est la mienne qui rejoint la sienne…

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              • Oui, il est toujours juste et bienveillant. La seule fois où je suis plus réservée, c’est quand, à la fin d' »Une affaire d’identité », il laisse sa cliente dans le doute, refusant de lui dévoiler la double identité de son fiancé, sous prétexte qu’il ne faut pas enlever ses illusions à une femme.
                Cela dit je refuse catégoriquement d’admettre que Holmes est misogyne ou sexiste. Il a certes pu avoir quelques paroles malheureuses en début de canon, mais il évolue à ce sujet dès la première histoire courte, et sa délicatesse envers les femmes traverse toute l’oeuvre. J’écrirais bien un petit essai là-dessus, d’ailleurs… 🙂

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                • Oh oui, le coup du fiancé qui était en fait le beau-père, c’était vachard à mort, de la part du beau-père et de Holmes aussi… mais à cette époque, les mecs pensaient que nous n’avions pas de cervelle, ou alors, qu’elle pouvait exploser, si on réfléchissait trop… Merci les gars ! Une femme n’aime pas qu’on lui enlève ses illusions, en effet, mais parfois, ouvrir les yeux d’une personne peut aussi lui faire du bien, même si, sur le moment, elle aurait sans doute arraché les yeux de Holmes au lieu de son beau-père 😉

                  Vu notre position à l’époque, Holmes n’était que le reflet de la société… :/

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                  • Je plaide pour lui. Je suis convaincue que la cliente aura légitimement exigé de savoir la vérité, et que Holmes aura fini par la lui dire. Il ne peut décemment pas prendre le risque que le beau-père continue son infâme petit jeu, et n’oublions pas qu’il a voulu lui faire tâter de son fouet, tellement il trouvait sa conduite ignoble. Holmes ne supporte pas qu’on abuse des femmes, qu’on les brutalise, qu’on essaie de leur voler ce qui leur est dû, qu’on les maltraite. Et il est prompt à reconnaître que les femmes ont certaines qualités dont il est dépourvu, comme une intuition particulière, dans « L’homme a la lèvre tordue ».

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                    • Oui, dans le fond, il était victime des idées préconçues de l’époque (et elles existent toujours, ces idées de merde, le Z voulait nous renvoyer dans la cuisine, comme les tarés des années 30…

                      Holmes n’aimait pas les injustices, surtout les grands puissants qui le prenaient de haut. Quand il répond dans « Noble Bachelor » à l’autre dandy qu’avec lui, il va descendre d’une classe, que son client précédent était un roi (ou un prince ?).

                      Idem dans « Le Diadème de béryls » où il signale au père qu’il aurait été heureux d’avoir un fils tel que lui, parce que le fils ne l’a pas trahi…

                      Il avait été aussi horrifié du traitement que le couple faisait subir à leur fille, dans « Les Hêtres pourpres »…

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                    • Je ne crois pas qu’il soit victime des idées préconçues de son époque. Il a sa vision, sa philosophie et son éthique qui lui sont très personnelles. Sur beaucoup de points, je le trouve plutôt en avance sur son époque. Il évolue, il change d’avis. Après avoir été battu par Irène Adler, il ne dira ni ne pensera plus jamais de mal des femmes. J’adore la manière dont il envoie bouler les gens haut placés qui lui mentent ou lui dissimulent une partie de la vérité. J’adore comment il refuse de serrer la main du roi de Bohême. J’adore qu’il ne se fasse pas payer par ses clients moins fortunés. J’adore qu’il renie certains de ses principes pour ne pas compromettre Lady Hilda dans « The Second Stain ». C’est un gentleman. Il est loyal et chevaleresque. Bon. Je l’aime, quoi… 😀

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                    • Oui, mais justement, il est au départ comme tout le monde, il a des idées reçues sur les femmes, comme bien des mecs de l’époque (et en 2022 aussi) et puis, il comprend que tout n’est pas vrai, que certaines ont un cerveau, qu’elles ne sont peut-être pas toutes comme il le pensait…

                      Audiard disait justement que du plus haut assis que tu sois, ce n’était jamais que sur ton cul… et donc, moi aussi j’adore quand il ne fait pas du De Funès (ses personnages) devant les puissants, qu’il n’a pas peur de les envoyer péter ailleurs, de se montrer plus pédant qu’eux 😆

                      Il disait souvent que la découverte d’un coupable avait été plus problématique qu’autre chose, parce que le coupable l’était moins que sa victime… quel mec, Sherlock ! ❤

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                    • Il disait ça? Mais mais mais, j’ai la mémoire qui défaille… 🙂
                      En fait, on ne sait pas pourquoi il est comme ça au début. Dans de nombreuses histoires, il se refuse à juger. D’où donc vient son premier jugement sur les femmes (dans un des deux premiers romans je crois), où il dit à Watson qu’on ne peut pas leur faire confiance, même aux meilleures d’entre elles? Serait-ce mentionné dans une ou plusieurs des untold stories? Ça ne peut décemment pas venir de nulle part, car Holmes n’est pas du genre influençable. Plusieurs femmes l’ont-elles trahi à ce point, avant qu’il ne change son opinion, dérouté par la trempe et la classe d’Irene Adler?
                      De toute façon oui, quel mec! ❤

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                    • Je me souviens dans une nouvelle, une canonique, Holmes disait à Watson qu’il avait connu une femme qui avait empoisonné ses enfants, et pourtant on lui aurait donné le bon dieu sans confession… un truc dans le genre, pas mes paroles exactes.

                      Dans son métier de détective, il a dû en voir des vertes et des pas mûres, des femmes meurtrières, qui n’ont pas hésité un instant à trahir un homme, mari, amoureux, frère, père…

                      Chat échaudé craint l’eau froide… il y a peut-être un mélange de ce qu’il a observé et de ce qu’il a entendu, un peu comme une personne se méfierait de telle nationalité, parce qu’on lui a raconté que, jusqu’à ce qu’elle les rencontre et se rendre compte qu’il y a des bons et des mauvais, comme chez tout le monde… Enfin, je suppute sur Holmes et si ça se trouve, c’est juste Conan Doyle qui a chargé son portrait pour en faire un être détestable (loupé, on l’aime).

                      Oui, je me souviens de Holmes expliquant à Watson que parfois, découvrir le coupable avait été une erreur… qu’il avait fait plus de tort en résolvant l’affaire qu’autre chose.

                      Mais ne me demandez plus où, j’ai la mémoire qui flanche aussi 🙂

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                    • Ah oui, en effet, ça me rappelle quelque chose, mais je ne saurais plus mentionner dans quelle histoire non plus. Holmes est brillant et hyper charismatique. Disons-le honnêtement, je ne vois pas comment on peut lui résister. J’aime bien spéculer sur lui, sur ses motivations, et j’aime beaucoup vos explications, elles sont plus que sensées! (on peut se tutoyer, hein, sinon) 🙂 J’aime bien quand il a ce genre de réflexions, quand il analyse sa démarche, quand il se demande s’il a bien fait, quand il parle de la noirceur de la nature humaine. J’aime bien quand il dit que la mort de Grimesby Roylott ne pèsera pas lourd sur sa conscience. Bon j’aime bien tout. Et on manque d’objectivité quand on est dead in luv… 😀 ❤ Mais il est objectivement fantastique… 😉

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                    • Oui, nous sommes in love de lui, il faut de temps en temps se secouer et savoir aussi rester objectives… mdr

                      Oui, tu as raison, basta le « vous » ! Il me semble qu’au départ, il dit se sentir responsable de sa mort, puis il ajoute qu’elle ne pèsera pas trop sur sa conscience, et il a bien raison, nom d’un serpent des marais. Vipère, oups.

                      Impossible de me souvenir aussi, je pense que ce devait être dans les derniers recueils publiés (pas les « aventures » ou « mémoires/souvenirs », mais plus dans « archives » ou « retour/résurrection »)…

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                    • En toute objectivité, cet homme est perfection! Si je le rencontrais, je lui ferais tout de suite une bonne douzaine de gosses. Comment ça, il voudrait pas?

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                    • LE TRAIRE!? GRANDS DIEUX! 😀 Je ne suis pas sûre qu’il apprécie. Moi, je refuse absolument de lui faire du mal, hein. Et le but n’est pas de me le mettre à dos. Enfin si, mais, pas dans ce sens-là. Euh… pouf pouf… Je retourne dans le congélo voir si j’y suis.

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                    • Ah mais je le ferai sans douleurs, pas de problème, il ne résistera pas !

                      Non, non, je ne dirai rien, mais j’ai pensé aussi à un truc pas net avec « me le mettre à dos »…

                      Bon, moi, je sors ! Mon côté ancienne fille de la campagne remonte à la surface et mon grand-père pourrait me dire que je vais de « pis en pis »…. 😆

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                    • Hahaha j’assume totalement! Holmes, c’est ma came, c’est le double effet magique kiss cool et vavavoooooom! Il me rend totalement dingue. ❤ Je suis assez fan de James Bond aussi mais avec Holmes, je vis une lune de miel que j'espère éternelle… 🙂

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                    • James Bond, je reste accrochée à mon beau Sean Connery et aussi à Pierce Brosnan (oui, il peut me croiser au coin d’un bois à minuit, je lui demanderai l’heure et je lui sauterai dessus – sur Sean, je ne peux plus). Si mon homme me lit un jour, qu’il ne fasse pas attention à mes bêtises 😆

                      Pareil pour les James Bond, lorsqu’on lit les romans orignaux, on comprend que les Bondiens sautent au plafond à chaque film qui n’ont rien à voir avec les romans de Flemmings !

                      J’aime Holmes depuis mes 12 ans, ce qui fait une sacrée paie ! Il est comme Albator, intemporel et une passion pour la vie 🙂

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                    • Ah moi je suis plutôt Team Roger Moore. C’était mon premier Bond. J’avais sept ans, on m’a emmenée voir « L’espion qui m’aimait ». Dès que Moore est apparu, BIM! J’ai su que j’étais hétéro! Premier émoi amoureux! Holmes, c’est venu plus tard, quand la série Granada a été diffusée sur France 3. Instant love, j’ai tout lu dans la foulée. Je sais ce que je dois à Jeremy Brett, du coup… 🙂 En revanche, je n’ai jamais lu Ian Fleming. Et je n’ai même pas vu tous les films. En fait, ce qui est formidable, chez Bond comme chez Holmes, c’est que chaque interprète a apporté un nouveau relief, une nouvelle personnalité au rôle. J’aime bien le charme très British et l’humour un peu lourdingue de Moore, l’insoumission à l’autorité de Dalton, la brutalité de Craig… Mais les films avec Connery sont aujourd’hui à peine regardables tellement ils sont sexistes. Bond a beaucoup évolué et c’est tant mieux. Holmes reste Holmes, il était déjà moderne et charmant au départ, je n’y changerais strictement rien. Le point commun entre ces deux-là, c’est qu’aucun des deux, et ni la personne ni le rôle, ne supporte la médiocrité.

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                    • Moore n’est pas mon préféré, quant à Dalton, je ne sais même pas le voir en peinture (pas frapper, pas frapper). Sean reste mon premier choix, mais oui, machiste à mort les films, mais cela reste un témoignage de cette époque, une mise en garde : ne repartons pas en arrière !! Non, je n’irai pas à mes fourneaux !

                      Craig, au départ, je n’aimais pas, puis j’ai regardé et waw, même pas décoiffé après avoir essuyé des tirs à la mitraillette des soldats qui ne savent pas viser 😆 J’ai aimé les méchants avec Craig, moins manichéens qu’avec les précédents (Conney/Moore).

                      Albator reste un de mes premiers émois, Actarus de Goldorak aussi, et Ken le survivant aussi (mais lui, je ne l’aime plus trop, mais Albator et Actarus oui !!!). Holmes/Brett était humain au moins 😆

                      Un Holmes médiocre et tout s’effondre !

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                    • Je ne frappe jamais ceux ou celles qui n’ont pas les mêmes goûts en matière d’hommes, ça m’en laisse une plus grande part. 😀 Javier Bardem était fabuleux comme méchant! Le Chiffre torture Bond, donc il n’a pas mes faveurs. Amalric aurait pu mieux faire. Spectre aussi. Bon c’est selon. Je me demande si j’ai déjà craqué pour un personnage de dessin animé, faut que je réfléchisse… Ulysse 31, peut-être? Dean dans « Le géant de fer »?

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                    • J’ai eu un faible pour Christoph Waltz… Mais je ne me souviens plus des noms des méchants, hormis le Goldfinger 😆 Des doigts d’or, hum, si on repense à la discussion de Benedict et des doigts de violoniste…. oups ! :p

                      Oui, je laisse Dalton à qui le veut 😆

                      Ulysse était sexy avec son collier de barbe !

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                    • Bardem est assez inoubliable. C’est le méchant Silva, dans Skyfall, l’ancien du MI6 tombé en disgrâce, celui qui veut tuer M… 🙂

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