Monstres et Compagnie [#LeFilmDeLaSemaine2016 – 5/52]

Monstres et Cie (Monstres et Compagnie) ou Monstres, Inc. au Québec (Monsters, Inc.) est le 4ème film d’animation en images de synthèse des studios Pixar. Sorti en 2001, il a été réalisé par Pete Docter et coproduit par Walt Disney Pictures.

Ce film a donné lieu à plusieurs œuvres dérivées, dont une préquelle, Monstres Academy, sortie en 2013.

Synopsis :
Monstropolis est une petite ville peuplée de monstres dont la principale source d’énergie provient des cris des enfants. Monstres & Cie est la plus grande usine de traitement de cris de la ville.

Grâce au nombre impressionnant de portes de placards dont dispose l’usine, une équipe de monstres d’élite pénètre dans le monde des humains pour terrifier durant la nuit les enfants et récolter leurs hurlements.

Le Terreur d’élite le plus réputé de Monstres & Cie s’appelle Jacques Sullivan, alias Sulli. C’est un monstre cornu de 2m40 de haut à la fourrure bleu-vert tachetée de violet.

Assisté de Robert Razowski, alias Bob (Wazowski dans la V.O), un drôle de mini-cyclope vert, Sulli n’a pas son pareil pour horrifier les bambins. Ce grand monstre sait comme personne pétrifier et tétaniser sans jamais toucher, puisque tout contact physique avec un enfant humain serait mortel.

Une nuit, alors que Sulli se trouve à l' »Étage de la Terreur », il s’aperçoit qu’une porte de placard n’a pas été fermée correctement.

Pour vérifier que tout est en place, il l’ouvre, permettant sans le vouloir à Bouh, une petite fille, de pénétrer dans son monde.

Ce que j’en ai pensé :
Non, je ne suis pas désolée d’adorer ce film d’animation que j’ai découvert sur le très tard, quasi 14 ans après puisque mon 1er visionnage eut lieu en octobre 2015.

Même pas honte de me le refaire une fois de plus pour le Challenge #LeFilmDeLaSemaine2016, tiens.

Pourquoi aie-je mis si longtemps à la découvrir ? Je ne saurais pas dire, mais ce fut comme avec Toy Story : découvert sur le tard, mais adoré !

Ici, l’humour et la dérision sont au menu. Humour entre Sulli et Bob, mais aussi « dérision » puisque les monstres qui font peur aux enfants, la nuit, ont eu même peur des gosses qu’il pensent toxiques.

Bref, on pense toujours que celui qu’on ne connait pas est toxique…

Beaucoup d’humour aussi quand la petit fille surnommé Bouh arrive dans le monde des monstres et que Sulli, après moult péripéties, la déguise en monstre pour la faire repartir par sa porte.

Non, sérieux, j’ai toujours mal ma gueule à force d’avoir un sourire béat d’amusement.

Et puis, il y aussi un Grand Méchant réussi avec le personnage de Léon (Randall dans la V.O)  : jaloux, méchant, prêt à tout pour gagner, salaud, sans gêne, manipulateur, magouilleur, flagorneur…

Je reste béate aussi d’admiration pour la fourrure de Sulli dont les poils bougent quand il se meut. Les effets spéciaux sont réussis.

C’est drôle, c’est frais, on ne peut qu’aimer Sulli et Bob, cet étrange œil que je possédais depuis des lustres en porte-clé…

Le suspense est là aussi puisqu’ils doivent à tout pris faire réintégrer la chambre à Bouh avant qu’on ne la découvre… Les enfants sont toxiques et dangereux, vous le savez bien !

Du suspense, je disais, de l’humour, du rythme (la course-poursuite avec toutes les portes est excellente) et des rebondissements imprévus.

Sans oublier une belle leçon pour nos monstres sur la tolérance ! Oui, il ne faut pas écouter les gens qui nous racontent que certaines personnes sont toxiques… faut pas remonter loin pour en avoir des exemples, hélas.

Un cocktail que l’on savoure avec délice et sans modération.

Ne fait pas grossir, juste rire, sourire, et c’est que du plaisir. Attention, peut donner une addiction aux Pixar.

Étoile 4,5

Le « Challenge US » chez Noctembule et le Challenge #LeFilmDeLaSemaine2016.

6 réflexions au sujet de « Monstres et Compagnie [#LeFilmDeLaSemaine2016 – 5/52] »

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