The Revenant : Alejandro González Iñárritu [#LeFilmDeLaSemaine2016 – 19/52]

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The Revenant est un film d’aventure américain réalisé, coécrit et coproduit par Alejandro González Iñárritu (réalisateur et producteur mexicain), sorti en 2015.

Le film est partiellement adapté du roman Le Revenant de Michael Punke et est fondé sur une histoire vraie, celle de l’exploit accompli en 1823 par le trappeur Hugh Glass.

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1. Résumé :
Dans une Amérique profondément sauvage, Hugh Glass, un trappeur, est attaqué par un ours et grièvement blessé. Ses équipiers, qui étaient chargés d’attendre sa mort pour l’enterrer l’ont abandonné et laissé pour mort. Mais Glass refuse de mourir.

Seul, armé de sa volonté et porté par l’amour qu’il voue à sa femme et à leur fils, Glass entreprend un voyage de plus de 300 km dans un environnement hostile, sur la piste de l’homme qui l’a trahi.

Sa soif de vengeance va se transformer en une lutte héroïque pour braver tous les obstacles, revenir chez lui et trouver la rédemption.

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2. Fiche technique :

  • Titre original : The Revenant
  • Réalisation : Alejandro González Iñárritu
  • Scénario : Alejandro González Iñárritu et Mark L. Smith, d’après Le Revenant de Michael Punke
  • Musique : Ryuichi Sakamoto, Alva Noto et Bryce Dessner

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3. Distribution :

  • Leonardo DiCaprio : Hugh Glass
  • Tom Hardy : John Fitzgerald
  • Domhnall Gleeson : Andrew Henry
  • Will Poulter : Jim Bridger
  • Lukas Haas : Jones
  • Forrest Goodluck : Hawk

The-Revenant-2015-poster1Ce que j’en ai pensé :
Personne ne résiste à l’appel de Leo !

Certes, il faut dire aussi que s’il avait eu cette gueule de barbu, on ne l’aurait pas laissé monter à bord du Titanic, Rose n’aurait jamais été amoureuse de lui et la Juliette Capulet encore moins !

Soyons sérieux aussi, Leonardo n’aurait pas été convaincant dans ce rôle avec une tête de jeune premier pour les pub Polo de Ralph Lauren non plus !

Ce qui frappe en premier, lorsqu’on regarde le film, ce sont les paysages à couper le souffle.

Là, on va nous offrir, durant toute la durée du film, une représentation grandiose de la nature que ce soit dans les paysages, dans les animaux qui y vivent, dans les forêts aux arbres magnifiques, dans les rivières qui semblent être glacées ou lorsque l’on verra de la neige à perte de vue.

Quant aux tenues des trappeurs, si on était en odorama, elles nous fouetteraient les narines pire que 50 grands chiens mouillés qui resèchent ! On sent bien que leur dernier bain date d’y a longtemps, trèèèès longtemps.

Nous sommes dans l’Amérique profonde, dans son trou du cul. Des trappeurs chassent des bebêtes à poils afin de leur voler leur fourrure pour les revendre. Il y en a pour un paquet de fric.

À peine le film commencé qu’ils se font attaqué par des indiens, des Arikaras qui massacrent sans pitié et pillent le camp, faisant 33 morts.

Si quelques uns avaient le secret espoir de regarder un film bucolique, cette plongée vertigineuse dans le brutal risque de leur indiquer qu’ils se sont foutus le doigt dans le cul et profond !

Ce raid violent et sans concession des indiens sur le campement de nos trappeurs est tout bonnement une scène impressionnante (après il y a aura celle de l’ours) car derrière cette violence et ces morts, sa réalisation est au poil. Normal, on est chez des trappeurs !

Merde, on à l’impression d’y être et d’assister, impuissant, à l’attaque. L’immersion dans le film est glaçante avec cette scène. Me demandez pas de vous parler de la justesse ou non des plans-séquences, je suis pas une pro du ciné, mais je vous dirai que c’était foutrement bien filmé !

Une poignée d’hommes en réchappent, dont le trappeur Hugh Glass, son fils Hawk, le capitaine et négociant en fourrures Andrew Henry (Lévine dans Anna Karénine), John Fitzgerald (les frères Kray de Legend) et quelques autres.

Ayant lu le résumé, je pensais que c’était là que Di Carpaccio se faisait lâchement abandonner, mais non, il s’enfuit avec les autres en bateau, les hommes cachent les fourrures, détruisent le bateau et poursuivent leur route, à pied, vers le fort…

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Dès ce moment là, on sent déjà bien que le frère Kray, pardon, le trappeur John Fitzgerald, en a après Glass et son gamin métis. Surtout son gamin métis ! Trappeur blanc, cœur noir. Le racisme ne date pas de nos jours, vous le savez.

L’autre scène qui est horrible et vachement réaliste, c’est quand Hugh Glass, le Di Carpaccio barbu, se fait charger et mettre en pièce par une ourse en colère. Là aussi le réalisme vous fait crisper les doigts de pieds.

Ouf, elle le laisse tranquille… Argh non, elle revient et elle recommence à le prendre pour une baballe qu’on peut déchiqueter à loisirs avant de le laisser, quasi mort, sur le sol de cette belle forêt.

Et ce n’est pas encore là qu’ils vont abandonner le Carpaccio (qui ressemble vachement à ce moment là à de la viande rouge). Entre nous, j’avais imaginé tout autre chose dans l’abandon mais ce fut encore pire avec ce que Fitzgerald va faire à…

Les acteurs sont tous bien dans leurs rôles et DiCaprio encore plus tant il fait des grimaces, va chercher l’énergie au fond de lui-même, comme s’il était véritablement laissé tout seul au milieu de la nature hostile et froide !

Putain, le mec, pour retourner au fort par ses propres moyens va devoir ramper longtemps, se laisser aller dans une eau glacée (d’ailleurs, comment a-t-il fait pour ne pas couler alors qu’il avait sur lui tout ses vêtements et sa grosse peau d’ours ??), affronter le froid (quand on est trempé comme une soupe, ça devrait être mortel), traverser les grands espaces sauvages appuyé sur un bâton, affronter la faim, la fièvre et la douleur, tout en faisant gaffe de pas se faire choper par d’éventuels ennemis, qui ne se feraient pas prier pour le réduire en charpie, comme l’avait fait l’ourse.

Déguenillé et fiévreux, Hugh Glass va donc entamer une contre-odyssée en clopinant et en grognant de douleur, son corps mû par la colère et l’esprit de revanche.

Ce sera un voyage extrême et long mais le réalisateur Iñárritu nous le propose avec splendeur et maestria, c’est esthétique, on se croirait dans un reportage sur la nature sauvage, DiCapro en plus, le tout porté par une musique dont j’aimerais posséder la bande-son.

Tiens, quelqu’un m’a dit qu’ils avaient travaillés exclusivement en lumière naturelle… Et que le film fut tourné dans l’ordre chronologique alors qu’il est fréquent que les scènes soient tournées dans le désordre pour optimiser le tournage.

Et quelqu’un m’a dit aussi que le tournage au Canada n’avait pas été de tout repos, vu les températures négatives qui y régnaient… Quand Léo grelottait, il grelottait sans aucun doute pour de vrai !

♫ C’est quelqu’un qui m’Hardy que tu vivais encore ♪ Serait-ce possible alors ? ♪

Et oui, Fitzgerald (Tom Hardy), va falloir foutre le camp parce que le Caprio, il est pas content ! Il montre les dents, il a souffert, il a dormi dans la carcasse d’un cheval (une autre scène éprouvante) et il n’est pas content du tout !

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Un proverbe sicilien dit que quand tu te venges, tu dois creuser deux tombes. Une pour lui, une pour toi et c’est quasi ça parce que le Léo n’est plus qu’un zombie assoiffé de vengeance qui ne prend même pas le temps de faire guérir ses blessures quand il se lancera à la poursuite du frère Kray… Fitzgerald !

À se demander si il ne va pas y laisser sa peau abîmée par les griffes de l’ourse !

Ah, les indiens sont de retour pour le final… C’est beau, silencieux, rien à dire ça fait du bien après un combat violent entre le frère Kray et Jack Dawson : Fitzgerald et Glass…

Tiens, puisqu’on parle d’indiens… Dans le film, les personnages indiens sont interprétés par des Amérindiens des États-Unis et des Canadiens des Premières nations.

Entouré d’historiens, Iñárritu est allé jusqu’à différencier les costumes des uns et des autres : cuir pour les Sioux et les Arikaras, cotons et laines pour les Pawnees.

Un souci du détail qui tranche avec les westerns des décennies passées, où les Indiens étaient souvent dépeints de manière caricaturale, avec trois plumes sur la tête, une dans le cul et des coloriages de visage moins bien réussi que chez les supporters du ballon rond.

♫ C’est l’avis final ♪ : Le réalisateur nous a construit un film dur, aussi âpre que la nature hostile et sauvage qui entoure les hommes dont eux aussi possèdent un caractère en adéquation avec la nature sauvage.

« Nous sommes tous des sauvages » comme le dira une plaque que je n’ai pas aimé voir.

J’avoue avoir été contente de faire une pause dans le film et de regarder la fin le lendemain car il est long et il ne se passe pas toujours des retournements de situation toutes les deux minutes et l’odyssée clopin-clopant de Hugh Glass DiCaprio est un quasi huis-clos entre lui et la nature qui ne lui fera pas de cadeau !

C’est bien filmé, bien restitué, les acteurs sont tous bons, à leur place, pas de manichéisme, même si Fitzgerald est un salopard fini.

DiCaprio est loin d’un Robert Redford dans le rôle du trappeur Jeremiah Johnson (film américain réalisé par Sydney Pollack en 1972) qui parvenait à préserver l’éclat de ses bô beaux cheveux blonds en toutes circonstances.

DiCaprio a été mis à très rude épreuve pour incarner Hugh Glass, le véritable trappeur qui a inspiré le film. Il est sale, puant, il agonise, râle, s’exprime par borborygmes car sa gorge à été touchée, bref, il est réaliste !

Outre les conditions de tournage éreintantes, le beau Leo a également dû s’initier aux langues des Indiens Pawnees et Arikaras. Un souhait du réalisateur qui tenait à donner une vision fidèle et réaliste des peuples autochtones. Bravo, Léo, tu l’as pas volé ton Oscar, tu sais !

C’est une putain d’odyssée que peu auraient réussi à accomplir, même si, je me demande toujours comment il a fait pour ne pas couler dans la rivière avec tout ses habits et sa peau d’ours, qui, gorgée d’eau, devait peser une tonne…

Malgré cela, le film reste empreint de réalisme à couper le souffle.

Voilà un bon moment de cinéma que je viens de passer.

Étoile 4

Le « Challenge US » chez Noctembule, le Challenge #LeFilmDeLaSemaine2016 et le Challenge « Le mois Espagnol » chez Sharon.

Mois espagnol

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Réalité historique :
Pour l’historien Gilles Havard, « The Revenant reconstitue fort bien tout ce qui relève de la culture matérielle : costumes, équipement de survie, armes à feu, apprêtement des peaux, bateau à quille, fortin, villages amérindiens, etc ».

En revanche, il relève « quelques anachronismes » eu égard aux préoccupations et aux univers sociaux retranscrits dans le film, ainsi que des « clichés de la culture populaire américaine à l’endroit des étrangers », en particulier francophones.

Influences cinématographiques :
The Revenant s’inscrit dans le genre du film de trappeurs, sous-genre du western américain. D’autres films sont inspirés de la vie de Hugh Glass, notamment Le Convoi sauvage de Richard C. Sarafian (1971) dont l’historien Gilles Havard estime que The Revenant est un « remake déguisé », n’étant jamais mentionné ni par Alejandro González Iñárritu, ni par les promoteurs du film. Gilles Havard considère que « The Revenant fait écho en outre à la trame de Jeremiah Johnson : perte des êtres chers, désir de vengeance, final en forme de clôture amérindienne du cycle de la vendetta, etc. »

 

21 réflexions au sujet de « The Revenant : Alejandro González Iñárritu [#LeFilmDeLaSemaine2016 – 19/52] »

  1. Ping : Bilan du mois espagnol seconde session – 2016. | deslivresetsharon

  2. Ping : Le mois espagnol, saison 2, c’est parti ! | deslivresetsharon

  3. Hello Dame Belette !

    Un jour une de mes « bonnes amies » me disait pour me consoler que « la laideur a au moins un avantage sur la beauté : c’est qu’elle, elle dure! ». 😭

    Bon évidemment depuis j’ai revu de fond en comble le listing de mes amies 😢… Je les choisis exclusivement plus moches et plus vieilles que moi!

    Oui! Ça existe! 😡 Non mais…

    Cela étant je ne raconte JAMAIS
    ma vie innocemment et ne confonds pas la rubrique commentaires de ton blog avec le divan d’un thérapeute virtuel(lement thérapeutique) et gratuit! Nan! 😊

    Je voulais parler de Leonardo!

    Ben oui… Je trouve qu’il a beaucoup mochi ( du verbe mochir, qui est déjà dans le dico de la Petite Roberte) depuis Titanic (sa mère! 🙄 Oui je sais il est navrant ce jeu de mot mais j’ai pas pu résister !).

    De bellâtre blondinet post pubère (y en a qui aiment… Moi même là j’étais pas séduite… 😕) il est devenu… Très moyen sur le plan physique…

    Bon certes il a le droit de miser sur d’autres atouts… Il paraîtrait même qu’il est bon acteur ( mouais… Je vois pas ce qu’il a de plus qu’un autre… L’effet du doublage peut être ? Franchement il me laisse froide!)… Mais Hollywood nous habitue à plus sexy non? 🤔

    Oh et puis les histoires de mecs qui survivent dans la froideur de l’hiver… Mouais… Avec toute la pluie qu’on se prend en ce moment, franchement le mec perdu dans la neige… Nan nan… Je préfère le confort douillet du 221b, le thé et les scores de Mrs Hudson près de la cheminée ! M’en fous si Jack trucide des dames dans la rue! Z’avaient qu’à rester au chaud! 😏

    Là franchement il fait un temps à ne mettre que sa belle-mère dehors! Alors j’irai pas suivre un ancien éphèbe devenu moche dans la neige! Non mais… 😬

    Mais bon… Tu as le droit d’avoir aimé ! Je ne suis pas su dictatoriale que ça quoi qu’en disent les mioches! 😡

    A pluches!

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    • Dès que je vois un de tes comms, je pose mon kawa sinon, il finira craché de rire sur les touches de mon PC d’amour… faut que je chouchoute, on ne sait jamais !

      Je vois que tes amies sont aussi aimables que les miennes, alors j’en ai chopé dans le home du coin, 80 piges, édentées, les nibards qu niveau des genoux, si pas plus bas, mais malgré tout, elles sont chipées tous mes copains avec elles avaient un avantage sur moi : la parkinson !!

      Leo m’a toujours plus niveau gueule d’amour, mais les goûts et les couleurs, hein… j’aurais pas dit non à un petit « rentre-moi-là-dedans » sur le pont du Tita Nique (aussi pourrie que la tienne) avant qu’il ne coule. D’ailleurs, j’ai toujours sa gueule d’amour de la pub Polo Ralph Lauren dans ma farde « PAL urgente ». Je bave et je ne lis pas !

      Sa voix doublée est moche, merci bien, je prends l’originale… Sinon, puisqu’on en est à la thérapie gratos (y’a pas de petits profits, c’est la crise en plus), quel est ton type de mec, niveau acteurs ? Parle-moi sans retenue…

      Ben vu le temps de merde, voir le Leo dans la neige, imaginer son petit-gris rentrer dans sa coquille quand il nage dans l’eau glacée, se dire que l’animal doit puer la mort depuis qu’il est resté des mois sans se le laver, qu’il y a peut-être des croutes, des bêbêtes… ça calme les fantasmes, ce film.

      Pour le confort du 221b, je vais l’explorer niveau Jeremy, Benedict et Robert puisque mois anglais oblige, je me dois de parler de mon chouchou Holmes !

      Jack a commencé à trucider en août, si on s’en tient aux victimes canoniques et même Martha Tabram puisque faite le 07 août.

      Pour les mioches, les mamans sont toujours des dictateurs, mais ils le seront aussi avec les leurs ! Mhouhahha

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      • Quelle gourdasse! 😳

        Mais oui mais c’est bien sûr!!! Jack il les a étripées en août et en automne alors c’est être excessivement mauvaise langue sur la météo londonienne que de dire qu’il fallait encore faire du feu dans la cheminée à cette période de l’année!!! C’est comme dire qu’ils ne bouffent que de la Jelly et des sandwiches à la margarine et à la sauce menthe ou des chips au vinaigre!!!

        Faut ne jamais avoir pris un vrai breakfast tradi ou un afternoon tea pour croire qu’on puisse n’avoir le choix qu’entre mourir de faim ou de surdose de produits chimiques en Grande Bretagne!!! Pffff! Et quand on voit les files qu’il y a au macdo chez nous… pourquoi critiquer le fish and chips qui est souvent bien plus sain (quand on n’a pas de problème avec la friture!)!!!

        Anybref (c) Heureusement que tu me rappelles la vérité vraie historique!!! 🙂

        Tout ça c’est à cause de ces vilains cinéastes qui nous représentent toujours l’Angleterre avec leurs clichés! Tous les films que j’ai vus sur Jack te situent l’action dans un Londres humide et froid où on ne sort pas sans être emmitouflé dans trois épaisseurs de tweed!!! Et avec une brume bien épaisse pour que Jack puisse se cacher! Alors oui… il paraît que le Londres victorien était a peu près pollué comme Shangaï actuellement, et couvert d’une brume jaunâtre… Mais faudrait qu’on leur explique la différence entre le fog et le smog à tous ces cons! Pffff! Faut pas être bien malin pour faire des films en fait! La célébrité de ces gens là est usurpée! Sont pas si intelligents les gens qui causent dans le poste et qui montent les marches à Cannes!

        Pfff! tous ces cinéastes incultes ou pervers (faut voir certains scénarios tout de même…), voire carrément névrosés (entre ceux qui sont poursuivis pour viols sur mineure et ceux qui passent 30 ans sur un divan en mettant leur folie en scène dans chacun de leurs films avant d’épouser la fille de sa femme…)!!!! 😦 Toutes ces actrices botoxées et siliconées et liftées et photoshopées… Et les mecs aussi c’est pareils! Y en a même qui se font mettre des implants de pectoraux ou de fesses!

        D’ailleurs Georges, le vendeur de Nespresso… Lui aussi il mochit… 😦 ! C’est pour ça qu’il s’est marié! Il a besoin qu’une pauvre fille joue à l’infirmière pour l’accompagner dans sa présénescence… Je comprends pas pourquoi les filles crient encore comme des zystériques sur son passage!!! Personnellement puisque tu me poses la question j’avais un faible pour Keanu Rives que j’avais trouvé beau comme un dieu dans son film sur Bouddha mais dont le QI m’a toujours laissée perplexe après qu’il soit allé se commettre dans Matrix…

        Brad? Monsieur Joly? Mouais… évidemment je me suis mise à le détester quand il a quitté Jennifer pour Crazy Angélina… Il m’a trop déçue! La seule femme pour qui il aurait eu droit de quitter Jennifer… c’était moi! 😀

        Et j’aurais dit non! Parce que le seul, le vrai l’unique, le plus bô et le plus gentil et le plus merveilleux… C’est (roulement de tambours)… Sieur mon Epoux !

        épicétou! 😀

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        • Oui, Sieur ton N’époux est un sexy boy ! sa dernière vidéo le met bien en valeur, je trouve… Si le mien n’était pas aussi sexy lovely, je chiperais le tien.

          Brad est devenu baraki depuis qu’il est avec la jolie qui est moche. Chez nous, baraki, c’est l’insulte suprême, même gitan est moins grave.

          Le vendeur de café en dosettes à je ne sais plus combien le kilo est toujours chou, mais sa femme, elle, je capte pas pourquoi z’il l’a épousé, il pouvait avoir mieux, non ?? Tu penses qu’elle joue infirmière cochonne avant de passer à « infirmière, y’m’faut faire » et de terminer par « infirmière, j’ai fais ! » ??

          Keanu est minouche, surtout dans Speed, mais Matrix lui a ouvert des portes des banques, non ?? Jamais vu mais je sais que c’était un truc de ouf !

          La cuisine anglaise, je m’en méfie, d’ailleurs, tu vois jamais d’enseigne « resto anglais » ou « cuisine anglaise… si tu vois ça, dis-toi que seul un anglais ira y manger ! Je savais que je devais pas demander des frites-chips en angleterre, sinon, j’aurais pas eu la frite belge ! Quant à leur pâtisseries, elles sont bourrées de sucre et te donne plus envie de manger au soir le succulent rôti sauce chantilly… délicheusse !

          J’ai reconnu les acteurs, dont le pédophile n’est pas le seul coupable, ma mère aurait dû être présente, je trouve et pas laisser sa vie avec des mecs adultes dont Polansk-i. Quand à l’autre qui a épousé la fille adoptive, c’est aussi un peu malsain… mais s’ils étaient normaux ET intelligents, ça se saurait, non ??

          Par contre, leurs pubs, on te fout une paix ségolène, non, royale quand tu y bois.

          Crimes de Jack en août, septembre, vacances en octobre et le dernier le 09/11, le jour de la fête du lord maire.

          Ils confondent brouillard dû à la Tamise et le smog, la pollution qui sortait des cheminées et qui tombait ensuite sur Londres ! Ce n’était pas un brouillard naturel, mais un artificiel ! Le pire, dans les vieux films, ce sont les scènes de nuit : il fait jour, mais c’est la nuit !

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          • Tout à fait d’accord sur les mères indignes qui laissent leurs filles de 13 ans sans chaperons aux mains d’artistes notoirement adeptes de substances diverses et variées! Déjà que j’envoie pas mes ados en colo (alors que ça me ferait des vacances !)…

            Pour la english Cook je te trouve bien sévère ! Ok… C’est pas très nouvelle cuisine et leurs gâteaux de cérémonie (génoise couverte de couches de pâtes au sucre bien flashys) sont immondes… Ok… La frite belge est la meilleure du monde… Mais il y a des bonnes choses aussi! Bon en même temps j’ai mangé à la cantine toute mon enfance et ça ne laisse pas le goût indemne… 😫

            La nuit le jour… A Londres j’y crois presque… Le premier janvier dernier quand je suis sortie ruinée de chez Mme Tusseau à 16h… Ben il faisait nuit! 😕

            En revanche… Comment dire…

            Heu… La vidéo de mon Epoux? Laquelle c’était ? Celle avec les chiens? Ou celle avec les fouets? 😳

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    • Moi pas, je voulais le voir ! J’avais la VF mais j’ai changé pour la VO-STFR parce que les dialogues en indiens n’étaient pas sous-titrés ! Namhého !

      J’avais juste peur que le film soit pas à la hauteur et que je sois déçue, ouf, il n’en est rien !

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    • T’aimes pas Léo ?? Même en Jack Dawson craquant dans le navire qui coule ? Ouh, j’adore sa bouille de petit jeune premier ! Bon, j’aimais mieux son physique avant, mais j’aime l’acteur, il fait tout et j’aime ça !

      J’aurais pas voulu vivre avec Poirot… il aurait détesté mon brol (bordel) organisé ! MDR Mais David Suchet, pourquoi pas ?

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  4. Ping : Bilan Livresque Mensuel : Mai 2016 | The Cannibal Lecteur

  5. J’ai aimé plus le film que le roman pour une fois. Il faut dire que Inarritu ne me laisse pas indifférent, même si je préfère nettement ses films plus hispaniques (amours chiennes ou babel). Mais cela reste du grand cinéma.
    Leo, j’adore tout simplement. Quand à l’ourse, elle est magnifique, de rage et de haine. Ça, c’est de l’amour sauvage, le sex-appeal de Leonardo certainement

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    • Mince, elle voulait le violer, en fait ! Ou alors, elle avait vu Titanic et avait pas supporté qu’il coule et qu’ensuite, il se balade dans la forêt, sans sa Kate…

      Pas encore lu le roman, je te dirai mon ressentit, mais il manquera les belles images des paysages ! Premier film de Inarritu pour moi.

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