BBC One a commandé une deuxième saison de trois épisodes de 90 minutes pour une diffusion durant l’automne 2011.
Début août 2011, la productrice Sue Vertue a cependant annoncé que la diffusion de la deuxième saison était repoussée à l’année 2012, en raison notamment du retard pris dans le tournage, conséquence des émeutes ayant éclaté dans la capitale britannique pendant l’été.
Lors du Comic Con britannique en mai 2011, Mark Gatiss a annoncé les récits dont sont inspirés les trois épisodes de la saison : Un scandale en Bohême (A Scandal in Bohemia) pour le premier épisode, du Chien des Baskerville (The Hound of the Baskervilles) pour le deuxième et enfin du Dernier Problème (The Final Problem) pour clore la saison.
La seconde saison a été diffusée à partir du 1er janvier 2012 sur BBC One.
Les deux premiers épisodes ont été réalisés par Paul McGuigan et le troisième par Toby Haynes (en), réalisateur de plusieurs épisodes de Doctor Who.
- Un scandale à Buckingham (A Scandal in Belgravia)
- Les Chiens de Baskerville (The Hounds of Baskerville)
- La Chute du Reichenbach (The Reichenbach Fall)
Un scandale à Buckingham (A Scandal in Belgravia) : À la suite d’un coup de fil étrange, le face à face entre Sherlock et Moriarty prend fin de manière étrange. Plus tard, le détective est interrompu dans une de ses enquêtes et est conduit avec Watson au palais de Buckingham.
En effet, la dominatrice Irene Adler possède des photos compromettantes d’une princesse royale et Sherlock est engagé pour les récupérer. Cependant, après avoir fait connaissance de la brillante Irene, il se rend compte qu’elle a des preuves beaucoup plus dangereuses en sa possession.
Les Chiens de Baskerville (The Hounds of Baskerville) : Sherlock et John sont contactés par Henry Knight, un jeune homme tourmenté par les souvenirs traumatiques qu’il a de la mort de son père, tué par un monstrueux molosse vingt ans plus tôt.
Henry est persuadé que la base militaire de Baskerville est utilisée par le gouvernement pour créer des animaux mutants. Holmes et Watson se rendent donc dans le Dartmoor pour enquêter.
La Chute du Reichenbach (The Reichenbach Fall) : La Tour de Londres, la prison de Pentoville, la Banque d’Angleterre. Tous cambriolés le même jour ! Seul James Moriarty, plus grand criminel de son époque, est capable d’une telle chose. Mais pourquoi n’a-t-il rien volé ?
Ce que j’en ai pensé :
Que du bien ! Et je ne vous cacherai pas que le premier épisode, celui avec Irene Adler, était une réussite totale !
Certains diront que ça partait dans tous les sens, mais moi j’ai aimé ça ! On n’a pas le temps de souffler et quand on souffle un peu, boum, on repart de plus belle !
Pas moyen de savoir le fin mot de l’enquête avant la toute fin de l’épisode !
On croit qu’on a réussi un truc ? Ben non, on a foutu en l’air une opération importante…
Notre Sherlock va être malmené dans cet épisode et confronté à la belle Irene Adler, THE Woman. Rhââââ….
C’est dans cet épisode aussi que nous retrouverons Sherlock uniquement vêtu d’un drap de lit, embarqué de force qu’il fut, et amené à Buckingham pour se faire confier une affaire importante, délicate, impliquant un membre de la famille royale qui aurait des photos compromettantes d’elle en train d’avoir une amitié particulière avec une dominatrice du nom d’Irene Adler.
Au moment de s’en aller, tout en balançant des gentillesses à son frère Mycroft, ce dernier pose le pied sur le drap qui tome, rattrapé in-extrémis par Sherlock avant que le salon de sa très gracieuse majesté n’aperçoive ses jolies fesses.
Faut s’introduire chez Irene Adler… Dans la version canonique ou de la Granada, c’était déguisé en pasteur non-conformiste qui s’était fait faussement agresser qu’il avait franchi la porte.
Ici, on change un peu la donne, mais bien vu !
Pas conne, Adler, elle sait QUI il est.
Intelligente notre dame, la dominatrice qui manie la cravache mieux que moi…
Arriver nue devant Sherlock afin qu’il ne puisse rien déduire, c’était fort, c’était du grand art, c’était du jamais-vu !
Une scène que j’adore ! Sherlock ne perd pas son sang-froid, il reste de marbre (dans le slip aussi, c’était du marbre ??) tandis que John Watson fait de grands yeux.
Ne déduisant rien sur Irene Adler, notre détective vérifiera même sur John que ses déductions ne sont pas tombées en panne !
Oui, durant cet épisode, ces deux là vont jouer ensemble sur une sorte d’attirance, comme deux pôles qui s’opposent et qui s’attirent, mais Sherlock, là, tu m’as déçu ! Tu aurais pu culbuter la dame, j’aurais aimé…
L’ombre de Moriarty planait aussi ce premier épisode qui a placé la barre très haute.
Dans le suivant, avec le Chien, c’est bien vu aussi parce qu’ils ont réussi à me fiche la trouille quand on voyait une ombre qui passait devant les fenêtres !
Tout comme l’originale, cette enquête a tout du fantastique, mais tout en restant dans la logique pour les explications finales.
Ce que j’ai aimé ici, c’est que Sherlock montre plus son amitié envers John et que cet épisode possède aussi sa dose d’humour, de bons mots, d’ironie, de sarcasmes…
Sherlock ira même jusqu’à jouer à l’homme serviable pour obtenir des infos…
Oui, j’ai aimé cet épisode qui nous plonge dans la peur, le palais mental et les sales tours joués au copain !
Le troisième est le plus dur à revoir…
C’est celui où Sherlock chute du haut du St Bart’s Hospital…
On commence en fanfare avec les vols audacieux de Moriarty, on court partout, on se pose des questions, rien n’est comme on le pense, ou qu’on le croit, c’est machiavélique et la cabale montée contre Sherlock était vicelarde, digne d’un cerveau de Napoléon du Crime.
Et à la fin, on a les larmes aux yeux… Tout en se demandant comment diable il a fait, le Sherlock !
Une saison 2 qui a confirmé tout le bien que je pensais de la première et une attente de malade avant d’avoir la suite et de savoir comment Sherlock a fait pour survivre à sa chute du haut du toit de l’hôpital.
Le Mois anglais 2016 (Saison 5) chez My Lou Book et Cryssilda.
j’aime beaucoup la saison 2, le seul truc qui m’embête, c’est que Sherlock gagne contre Adler… Alors qu’elle lui mène la dragée haute dans le canon… certes elle le bats aussi ici, mais au sens proper (pas convaincue)
le marbre….rhoooo … Belette …. rhoooo…. :p
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Oui, dans le canon, elle gagne puisqu’elle fiche le camp avec la photo, qu’on se doute qu’elle détruira ensuite.
La coup de la cravache, huuuummmm…
Oui, j’ai honte, tu sais !!! 😆
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Ping : The English Month Is End !! Oh Fuck ! – Bilan [Juin 2016] | The Cannibal Lecteur
Encore jamais vu cette série (oups)… Pour l’an prochain maybe ! 🙂 Et ton logo est superbe (bis) ; m’autorises-tu à te l’emprunter pour un prochain billet ? 😉
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Oui, oups ! Pour te punir, je devrais t’interdire l’utilisation de mon logo ! PTDR
Allez, promets que tu vas la regarder ! Et emprunte mes logos sans soucis ! Les paiements sont à faire sur mon compte de la Panama ! ;-))
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J’ai découvert cette série et cet acteur avec le roman d’Isabelle Coudrier, Babybatch
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Connais pas ce roman !
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Ah-ah le slip de marbre, magnifique ! 😀
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On irait bien lui soulever le drap pour voir l’objet du délit !
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J’adore cette série !!! 😀
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Rhôôô, moi aussi !
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Hi your Ladyship!
Le S2E1 est mon préféré. Une énigme à tiroir, le chignon tarabiscoté et la plastique vénéneuse à souhait d’Irene… Qui m’a prise comme modèle! Elle me copie c’est certain! 😆
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J’eusse aimé qu’il lui colle son polichinelle dans le tiroir, moi ! Un truc hot, du sexe, de la cravache… et pour 10£ de plus, John pouvait mater !!
Je me disais bien que la plastique et les poses d’Irene était les mêmes que les photos de toi que tu m’avais envoyé il y a peu… Tu étais sa body doubleuse, c’est ça !
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Ah oui! Ces fameuse photos avec menottes et cravaches qui ont fait tout le tour du net! J’espère seulement que celle avec le chien est passé aux oubliettes…😳
Ben non ! Dans cette série… Il y a toujours un truc astucieusement placé dans le champ pour qu’on ne puisse pas voir les parties les plus stratégiques de l’anatomie d’Irene! Elle n’avait donc pas besoin de doublure corps… Pfff! C’est vrai que c’est pas comme ça que je vais gagner ma vie!😡
Non! C’te chipie a juste piqué l’adresse de ma coiffeuse et de ma relookeuse (promis c’est pas la Cristina Cordula!)… Et de ma décoratrice (nan c’est pas la Damidot non plus!). Sans parler de ses chaussures! Pfff! Moi aussi j’peux me faire de L********* ! J’prends un pot de peinture rouge et hop! Avec un bon pinceau je tartine la semelle! Ok… Cette méthode permet de me retrouver à la trace… Mais j’ai la classe! 😁
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Génial cette série 🙂
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