La liste des sept : Mark Frost [LC avec Stelphique et Ju Lit Les Mots]

Liste des Sept - Mark Frost

Titre : La liste des sept

Auteur : Mark Frost
Édition : Pocket (1999) / 10-18 (2016)

Résumé :
Un jour de Noël 1884, à Londres, un jeune médecin nommé Arthur Conan Doyle est convoqué à une séance de spiritisme.

Il est lui-même un spécialiste de l’occulte, ayant écrit un roman sur le sujet, inspiré des écrits très mystiques de Madame Blavatsky. À la suite de cette séance, Doyle est en danger de mort, son appartement est incendié, sa voisine russe assassinée !…

Un agent très spécial de la Reine vient à son secours et lui explique que son propre frère, qui a tué père et mère, s’est ligué avec quelques personnages éminents pour placer sur le trône d’Angleterre une réincarnation du diable.

Or ces 7 conjurés sont les membres du conseil d’administration de la maison d’édition qui doit publier le roman de Doyle. Une histoire ébouriffante, pleine de violence, de visions effrayantes, de suspense, de rebondissements où l’auteur introduit le lecteur dans l’univers sombre du crime de l’Angleterre victorienne.

Petit Plus : Mystère, action, suspense, amour et amitié, ce roman, à la manière des aventures de Sherlock Holmes avec un zeste d’Umberto Eco, est un grand divertissement.

The list of seven - Mark FrostCritique :
Pour cette LC en triumvirat, on s’était laissée tenter par la proposition de Collectif Poalr. Alors, verdict ?

Je ne suis pas opposée au fait que l’on réécrive le canon holmésien dans un roman et que l’on change des points importants comme la personne qui inspira le personnage de Sherlock Holmes.

Ma foi, on peut violer le canon holmésien si c’est pour lui faire de beaux enfants (citation de Dumas mise à la sauce adéquate).

Hors, ici, j’ai l’impression que le canon holmésien s’est fait monter dessus par le Da Vinci Code, Harry Potter, Indiana Jones et James Bond. Après, d’autres lui sont passé dessus en long, en large et en travers, notamment la Malédiction de la Momie en version Walking Dead pour ne citer qu’eux.

De cette partouze livresque, il n’est sorti rien de bon.

Pour résumer, on a du sous Da Vinci Code avec ses réflexions ésotériques, ses pensées philosophiques à deux balles et un rapide procès à charge sur la religion catho qui n’a même pas droit à un avocat pour assurer sa défense (les droits de l’accusé sont bafoués).

De notre Harry Potter, il n’est resté que la locomotive de la voie 9 3/4 et les gardiens d’Azkaban en version moins éthérée.

Quand à Indiana Jones (sans fouet et sans chapeau) on a un truc qui ressemblerait aux Aventuriers du Canon Holmésien Perdu dans le Temple Maudit de la Dernière Croisade Au Service Secret de Sa Majesté.

Que ce Conan Doyle de fiction ait pris pour modèle un certain Jack Sparks pour nous inventer son Sherlock Holmes, je suis pour. Sparks en a la force de caractère, il traque les criminels et possède des fiches sur eux, a un certain sens de la déduction, sait se déguiser, se pique à la cocaïne et joue du violon (en fait, on pourrait dire que c’est l’auteur qui s’est inspiré du personnage de Holmes pour son Sparks).

Qu’il lui arrive des tas d’aventures mélangeant du Indiana Jones et du Bond, le tout servi à la sauce fantastique, ça commence à coincer grave (surtout sans vaseline)… Au Grand Complot Satanique, là, j’ai sauté du train en marche.

Aucune cohérence, des événements fantastiques qui n’ont pas l’air d’émouvoir notre Conan Doyle, même après la dévastation de son appart par une explosion ectoplasmique.

Nos personnages, poursuivis par des créatures non vivantes, découvrent un passage secret et une locomotive en état de marche sous terre, qui les ramènera à Londres, mais pas sur la voie 9 3/4… Et j’en passe des bien pires.

Niveau Graaand Méchant, il n’a pas l’étoffe d’un salopard genre Ramsay Snow-Bolton (GOT, pour les absents) mais on se doute qu’il donnera naissance au personnage littéraire de Moriarty.

Et à la fin, on croise un bébé qu’on aurait envie de jeter dans les chutes de Reichenbach mais qui à l’avantage de « clore » l’affaire car nous savons QUI il est et ce qu’il fera. Mais de cette manière, on l’absout des horreurs qu’il mettra en place au siècle suivant et là, je coince encore plus.

Anybref… On a mélangé des ingrédients fantastiques, policiers, des personnages réels (Conan Doyle et Bram Stoker) et de fictions, des tas de trucs disparates qui donnent au final une soupe indigeste qu’on avale parce qu’il faut bien étant donné que les copines de la LC boive le même vin jusqu’à la lie.

Un vrai ragoût insipide aux relents fantastiques un peu trop exagérés pour être crédibles, le tout assorti d’une sauce hollywoodienne avec des retournements de situation toutes les dix pages et des créatures des enfers tous les chapitres pour nous donner un Gros Complot Mondial ET Satanique. Bla-bla-bla…

Chez Harry Potter, ça passe, dans Indiana Jones aussi, chez James Bond pareil, mais faut dire aussi que l’écriture et les scénarios étaient plus relevés que ce qu’on tente de nous faire avaler ici.

Le créateur de Twin Peaks a voulu mélanger les genres et trop d’imagination tue l’imagination et surtout le roman.

Si j’ai un meuble à caler…

Étoile 1

Challenge « Thrillers et polars » de Sharon (2016-2017), le Challenge « Polar Historique » de Sharon, le Challenge « Victorien » chez Camille, Le « Challenge US » chez Noctembule, le Challenge « XIXème siècle » chez Netherfield Park, Challenge British Mysteries chez My Lou Book, RAT A Week Estival, Summer Edition chez Chroniques Littéraires et « A year in England«  chez Titine.

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Pourquoi je l’ai choisi (par Stelphique) :
Nous avions vu l’article chez Collectif Polar, qui en vantait les mérites, et au vu de ses impressions et son synopsis, j’étais vraiment tentée, mais là, petite proposition de LC de la part de Ju, qui veut faire un plan à 3, et Belette d’accepter…

Voilà comment on se retrouve sur cette lecture, après beaucoup de MP en coulisses, et d’organisations journalières en LC Trinominale….*Ouais je sais, il existe même pas ce mot !!!! Mais Est-ce important ?*

Synopsis :
Qui veut la peau d’Arthur Conan Doyle ? En quelques jours son appartement est dévasté par une explosion ectoplasmique, sa voisine est assassinée et lui-même manque de se faire dévorer par une espèce de gargouille gothique ! Voilà qui dépasse l’entendement du brave Claude Leboux, un inspecteur de Scotland Yard peu habitué à combattre les puissances des ténèbres. Pour Jack Sparks, en revanche, tout ceci est très clair, élémentaire même…

Mais peut-on faire confiance à un individu qui sort d’un asile d’aliénés, consomme de la cocaïne et affirme recevoir ses ordres de la reine Victoria ?

Mystère, action, suspense, amour et amitié, ce roman, à la manière des aventures de Sherlock Holmes avec un zeste d’Umberto Eco, est un grand divertissement.

Les personnages :
Je ne pourrais tous les nommer, tellement il y en a une pelletée…. Tous oubliés d’ailleurs, à la fermeture de ce livre….

Ce que j’ai ressenti:….Un ennui, mais un Ennui d’une force……
Je tenais à dire que ce genre de livres c’est vraiment mon petit plaisir, habituellement… Tout ce qui touche à l’ésotérisme, au fantastique, la Magie, c’est vraiment un petit péché mignon que j’aime à lire à l’occasion avec plaisir….

Mais là, je ne sais pas ce qu’il s’est passé ou pas passé d’ailleurs, je suis restée à coté, mais, TOUT le long… Je me disais « Allez force toi un peu, tes collègues l’ont déjà fini » (ah oui, parce que dans le genre escargot, je les ai fait attendre, peuchère :()….

Et comme on ne dévoile pas nos impressions « en cours » pour ne pas s’influencer, je croyais qu’elles étaient à fond, vu la vitesse à laquelle elles l’ont lu….. (pfff, je me marre maintenant…).

« Il vaut mieux passer pour un imbécile en se taisant que de dissiper le doute en ouvrant la bouche. »

On va dire que tant que ce n’était que Doyle, et sa vie réinventée, ça allait….. Mais c’est dans la suite des évènements que j’ai décroché… Trop de rebondissements et de situations non vraisemblables…

Trop de personnages qui viennent se greffer, (et je crois que j’ai failli vomir en voyant arriver le Bram Stoker)…. Trop, c’est trop…. Faut arrêter au bout d’un moment…

Déjà qu’il faut ingérer le coté fantastique, la touche d’époque et les agissements malsains, en plus on nous colle de la philosophie à deux francs, qui sorties de leur contexte pourraient être intéressantes, mais là, comme elles interviennent, ça va pas…. Enfin, c’est trop pour moi….

« Nous n’avons pas conscience que nos idées, nos sentiments ne sont pas réellement les nôtres, sinon comment pourrions nous jour après jour répéter des simulacres, nous plier à des rites qui nous stérilise au lieu de nous vivifier? »

J’ai mis une plombe à le finir, je me suis vraiment forcée car je suis en LC, mais sinon sans cet impératif, dès les premières pages je l’aurai laissé tomber…

J’ai bien conscience que ce livre pourrait plaire à certains lecteurs, mais moi, je suis complètement passée à coté. C’est le genre de livres qu’on aime ou qu’on déteste, le mieux c’est que chacun s’en fasse son propre avis…

« Il est plus facile d’éviter le premier pas sur le chemin de la ruine que de résister aux milliers d’autres qui suivent inéluctablement. »

fee clochette fachee

Ju lit les motsAvis de Ju Lit Les Mots : J’ai repéré ce bouquin, sur le blog de Collectif Polar qui en parlait tellement bien que j’ai immédiatement eu envie de le lire et comme Stelphique en avait envie et que chez le Cannibal lecteur le bouquin prenait la poussière, j’ai émis une drôle d’idée !

A force de voir le plaisir (haha) livresque qu’elles prenaient à faire leur lecture commune, je me suis dis que moi aussi j’avais envie de goûter à ce plaisir !

*********  Avis   *********

Malgré un début prometteur, au bout de 60 pages j’ai vraiment commencé à m’ennuyer ferme, mais je me disais « Na » c’est juste une mauvaise impression ça va décoller…

Trop d’imagination tue l’imagination. Tout est dans l’excès…

« N’oubliez pas ceci : quand le chemin vous semblera impraticable, quand vos espoirs seront anéantis, quand la mort elle*même paraîtra imminente, vous n’aurez d’autre solution que de raser la montagne. C’est ainsi, et ainsi seulement, que vous pénétrerez dans le nouveau pays… »

Au départ je pensais lire un roman d’aventure de Sherlock Holmes, je me suis retrouvée dans un mélange entre l’exagération du film Alice aux pays des Merveilles et les aventures de Harry Potter ! Bref, trop de rebondissements qui n’apportent rien, qui brouillent les pistes et embrouillent le lecteur…

Un rebondissement, toutes les  trois pages avec des meurtres, des morts vivants, un complot contre la royauté, des adorateurs d’une créature des Ténèbres, qui ne demande qu’à revenir dans le monde des vivants… On entre là dans une fiction complètement tarabiscotée (yes j’ai réussi à placer ce mot ).

« Un complot exige le secret; or la nature humaine étant ce qu’elle est, plus de gens s’en mêlent, moins le secret est préservé. »

Euhhh y a même une locomotive, en parfait état de marche ??? !!!! Grâce à laquelle les personnages se déplacent aussi facilement que si les voitures modernes existaient ! Et j’exagère à peine …

Désolée Geneviève, mais je me suis noyée dans un océan d’incompréhension ! Trop tiré par les cheveux pour moi…

 » L’enseignement spiritualiste est de la foutaise. Nous devons assumer dans ce monde la personnalité que nous possédons en naissant… »

J’ai bien failli laisser tomber ma lecture à plusieurs reprises, avec cette sensation que plusieurs écrivains s’étaient glissés dans la peau de l’unique auteur de ce roman, une surenchère d’évènements jalonnent la route de ces apprentis aventuriers qui ne savent même pas où ils vont.

Bizarrement, la toute fin amène une « certaine cohérence » à l’ensemble… dommage que ce livre soit aussi fouillis.

« Le génie du mal rôde dans ce monde et j’avais vécu sous son ombre. »

Dommage que cette fin « cohérente » donne une justification à une horreur historique qui pourrait en choquer plus d’un puisqu’on « donne » à cet homme une « excuse » pour les crimes de masse qu’il fera commettre au nom de son idéologie !

« Alors même que nous nous congratulons de notre raffinement, la misère et la souffrance accablent les hommes à un jet de pierre de ces fenêtres. Comment ne pas s’interroger ? Nos réussites comptent-elles pour rien si tant d’hommes ne peuvent encore en bénéficier ? Quelle valeur accorder à notre passage dans cette vie ? Quel héritage – si héritage il y a – notre époque lèguera-t-elle aux générations futures ? »

Bon j’ai pris mon pied avec avec cette lecture commune et bien rigolé aussi.

 

 

43 réflexions au sujet de « La liste des sept : Mark Frost [LC avec Stelphique et Ju Lit Les Mots] »

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    • On te fait réaliser de sacrées économies, bien que ce roman, même s’il avait été bien fichu, n’était pas tout à fait ton genre de prédilection…

      Heureusement que tu n’as pas de regrets d’avoir lu nos critiques… ptdr

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  4. Hello Dame Belette

    Bon je vais laisser tomber mes comparaisons culinaires (mélanger une tonne de bons ingrédients donné un truc infâme si on le fait sans parcimonie) pour aujourd’hui pour ne pas passer pour une vieille radoteuse, d’autant que ce n’est paaaas du tout mon genre ! 🙄

    Naaan… Ma réflexion du jour sera le souvenir que j’ai eu de quelques livres où l’auteur déballait ses fantasmes et son imaginaire personnel avec beaucoup de gourmandise et d’énergie (voire de manière répétitive et ça c’est très chiant) en cherchant plus à se faire plaisir qu’à faire plaisir à ses lecteurs en les embarquant doucement dans une histoire compréhensible et où le mécanisme de « suspension d’incrédulité » doit être longuement ménagé avant d’introduire les choses les plus invraisemblables. Trop pressés de nous embarquer dans leur imaginaire foisonnant certains auteurs ne prennent pas le temps nécessaire pour distiller peu à peu l’incroyable. De fait cette rapidité donne dans le grotesque.

    Je me souviens d’un roman où avant la fin du premier chapitre on avait retrouvé la momie parfaitement conservée d’Akénaton dans une pyramide en or d’origine extraterrestre ! Forcément, je ne l’ai pas fini!

    La série Penny Dreadfull est intéressante pour illustrer la façon de bien faire. Ils mélangent plein de trucs mais ils prennent leur temps pour le faire ce qui rend le côté grand guignol plus facile à digérer.

    Les nouvelles de Lovecraft sont très pédagogiques sur cet art de partir d’une situation banale en faisant peu à peu monter l’angoisse et en nous amenant à ses développements sur son panthéon psychotique !

    Bref ce bouquin aurait dû délayer ses thèmes dans un nombre de pages quatre ou cinq fois supérieur pour distiller les trucs délirants plus doucement. Plus on entrecroise des univers où thèmes différents plus il faut prendre de temps pour le faire.

    En même temps… Pas certaine d’avoir envie de me lancer dans une saga de 2000 pages qui ressemble plus à du viol collectif qu’à une partouze littéraire pour reprendre ton image un peu olé olé… 😄

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    • Si je ne pouvais pas sortir mes images olé olé, je serais bien malheureuse. Mon mari est déjà un mâle heureux, alors n’en rajoutons pas.

      Oui, tu n’as pas encore terminé ta première chips en amuse-gueule qu’il te fourgue déjà le plat principal et le dessert : rôti à la chantilly ! Et ce n’est pas délicheusse !

      Je sais qu’avant tout, lorsqu’on écrit, on doit de faire plaisir à soi-même (une sorte de masturbation permise par l’église et qui ne rend pas sourd) avant de donner du plaisir à ses futurs lecteurs, enfin, c’est que le King y dit… Et je parle pas du King qui est mort sur ses chiottes.

      Je sais que tu ne radotes jamais, moi non plus, on évitera de sombrer dans le cul-inaire pour la critique.

      Le problème est que ça sort de partout et trop vite, sans sommation, sans préliminaire, c’est l’éjaculation précoce dès les premières pages. Et Coffe disait que la cocotte-minute était à la cuisine ce que l’éjaculation précoce était au sexe.

      Ici, on frôle l’indigestion ou le temps de cerveau disponible pour une célèbre boisson gazeuse couleur pétrole.

      Il te déroule le kama-sutra littéraire sans prendre le temps de te détendre, d’allumer le four, de graisser les plats et il bourre dedans tout ce qui lui tombe sous la main et ça fait mal.

      Penny le fait mieux, mais Penny mit en roman, t’aurais eu les 2.000 pages qu’aurait dû pour bien faire la liste des 7 qui n’a des moines que sur sa cover parce qu’ensuite, je les ai pas vu.

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      • Les moines… Je comprends que tu aies été déçue de ne plus en entendre parler dans le livre! Quelle idée d’en mettre sur l’emballage s’il n’y en a pas dans la boîte !!! T’imagines une boîte de chocolats avec des frites sur le couvercle?

        Les moines… Oui… Sont ils comme les zécossais en kilt? Les bijoux se baladant à l’air sous les tissus? S’huilent-ils le torse pour mieux supporter la bute? Se tonsurent-ils le pubis? A quoi rêvent-ils la nuit tous seuls dans leurs cellules (on sait ce qui se passe dans celles des prisons!)? Sombreraient ils dans le péché en voyant une créature de rêve comme toi ou moi nous introduire dans le cloître ? Etc…

        Que de mystères mystérieux restant encore non résolus et sur lesquels nous aurions aimé quelques éclaircissements !!! Et que ce livre idiot ne résoudra pas! 😒

        Quelle déception !

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        • Oui, tout à fait, on me présente une boite avec des frites et j’ai des chocolats à l’intérieur ! Et tu sais, avec les chocolats… La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Alors des frites dans le chocolat, c’est plausible avec ce livre !

          Oui, j’eusse aimé des articles précis et non concis (mais circoncis, je dis pas non) sur les affaires de famille des moines et si le vent qui passait sous la soutane faisait danser, non pas les violons sur les dunes (♫ caramels bonbons et chocolats ♪) mais les bourses parce que c’est bien connu, lorsque les bourses sont en ballotage, l’index monte !

          Et la tonsure du pubis, au rasoir et à la mousse à l’aloé verra ou à la cire chaude, ou froide ??

          Penses-tu que la nuit, la bure (et non la bute comme ton index fit la faute de frappe : à quoi pensiez-vous donc gente dame ?? à la bure ou à la bite ?? toutes les lettres sont voisines sur la clavier)… heu, penses-tu que la bure se tendisse comme une toile de tente ?

          Oui, ils iraient droit en enfer s’ils tombaient sur des naïades telles que nous ! On ne ferait pas un remake de « Alerte à bouts tout mous » avec nous dans le cloitre debout… ça se lèverait de partout, telle devant des Danette !

          Je vais écrire à 10-18 pour me plaindre que ce livre ne dévoile rien de la vie textuelle des moines de la couverture !

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