[Sherlock Holmes] Le chien des Baskerville – The Hound of the Baskervilles (2000) [#LeFilmDeLaSemaine2016 – 24/52]

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The Hound of the Baskervilles est un téléfilm canadien de Rodney Gibbons, diffusé aux États-Unis le 21 octobre 2000 sur Odyssey Network.

1. Résumé : Sherlock Holmes et le docteur Watson enquêtent sur les menaces qui pèsent sur l’héritier des Baskerville…

2. Distribution :
Matt Frewer : Sherlock Holmes
Kenneth Welsh : Docteur Watson
Jason London : Sir Henry Baskerville
Gordon Masten : Docteur Mortimer
Robin Wilcock : Jack Stapleton
Emma Campbell : Beryl Stapleton
Arthur Holden : Barrymore
John Dunn-Hill : Frankland
Leni Parker : Mrs Barrymore

Ce que j’en ai pensé : Le chien des Baskerville avait de la conjonctivite…

Déjà, en entrée de jeu, un avertissement écrit me signale que le film est inspiré du roman de Conan Doyle mais que les ayants droits ne l’ont pas laissé le reproduire tel quel.

Ah, ça commence bien. Je tremble déjà, avant même l’entrée en scène du clébard maudit.

Ben, tiens, en parlant du clébard, v’là Charles Baskerville qui attend devant sa propriété, près de la grille. On voit bouger les taillis et la caméra nous montre le point de vue du chien : une vision en rouge.

Moi qui pensais que seules les études étaient en rouge… La vie ne doit pas être drôle pour nos amis les chiens s’ils voient tous de cette couleur.

Le chien grogne, Charles détalle de suite et pense même à fermer la grille derrière lui, comme je le lui soufflais. La bête ne saura pas entrer !! Machiavélique, non ?

Que nenni ! La Bête devait avoir un passe et la voilà qui le poursuit dans le parc.

Ce pauvre Charles meurt d’une crise cardiaque provoquée par la peur (je divulgue rien, on connaît l’histoire, sinon, vous le verrez assez vite).

L’animal s’approche, le renifle (va-t-il lever la patte et pisser dessus ? Non) et la bête n’essaye même pas de grignoter le cadavre. Même pas drôle.

Alors ce fameux chien… Des dents plus grandes que celles d’un tigre sabre et un poil noir qui aurait besoin d’un sérieux étrillage tellement on lui a collé des touffes de poils sur le dos.

Le pire, se sont ses yeux… Rouges ! La pauvre bête souffre de conjonctivite aiguë, pas possible autrement. Je comprends qu’elle ait la haine. À force de voir tout en rouge, ça fout les boules.

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Passons ensuite à Baker Street dans le salon du 221b qui est de la taille d’une salle de bal, au moins : un plan sur un Watson (Kenneth Welsh) avec des cheveux blancs, frisant plus la soixantaine qu’autre chose. L’âge d’être le père de Holmes, en fait, sauf si le détective est avec un déambulateur.

Tiens, il est où, Holmes, au fait ?

Ah, il est là… Lorsque je l’aperçu pour la première fois, l’exclamation qui franchi mes lèvres fut : « Nom de Dieu de putain de bordel de merde ! » Et je ne m’excuserai pas pour le juron, ni avant, ni maintenant.

Mais qu’est-ce que c’est que ce guignol qu’ils ont choisi pour jouer Holmes ? On dirait un bouffon ! Non, c’est un bouffon. Beaucoup trop de grimaces en très peu de temps.

Je sais que certains reprochaient à Jeremy Brett d’en faire trop, mais ses mimiques, ses haussements de sourcils, ses sourires et tout le reste, ils étaient distillés à bon escient chez lui !!!

Pas chez Matt Frewer !! Il en fait des tonnes pour rien. Rien qu’en le voyant gesticuler, j’ai grogné plus fort que le chien maudit des Baskerville.

L’acteur se moque ouvertement de Watson et du personnage de Holmes qu’il ne doit pas connaître, gambade comme un chien fou, jacasse, fanfaronne,… : insupportable. Pitié !

Arrive ensuite le docteur Mortimer, un homme gras et bedonnant alors que canoniquement parlant, il est mince et grand. Mais au point où j’en étais, hein…

Mortimer raconte la légende qui hante la famille Baskerville : les images sont troubles et je comprends pourquoi le chien des Baskerville a les yeux rouges : il a regardé le film dont la caméra était manipulée par un type soufrant de tremblote. Ou alors ils ont tourné la scène par moins vingt degrés et le caméraman était torse nu.

Bref, ça me fait pleurer les yeux, comme si je ne pleurais pas assez depuis le début du film.

Le pire fut atteint quand Holmes sortit prendre l’air avec les docteurs Mortimer et Watson, vêtu de la cape macfarlane et la ridicule casquette. En plein Londres !! Non mais allo quoi ? J’hallucine !

Et je n’avais encore rien vu : Holmes prend une pomme dans un étal, la frotte et s’en va en la mangeant. Watson payant derrière lui, comme une mère le ferait avec son gamin indiscipliné. Mes yeux sont sortis de leurs orbites.

Alors, un bon point tout de même pour Henry Baskerville l’héritier, mignon comme tout, en cow-boy tenderfoot arrivé en droite ligne du Texas. On lui pincerait le nez qu’il en sortirait encore du lait…

J’en aurais bien fait mon ordinaire dans la lande si les gamins de seize ans étaient ma tasse de thé. Là, j’aurais eu de sérieux problèmes avec la loi si j’avais, ne fut-ce que, admiré son kiki lorsqu’il pissait.

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Je n’épiloguerai plus sur Matt Frewer qui nous a parodié un Holmes aux antipodes de l’original, arrivant en retard à l’hôtel, jouant au guignol, disant à Watson qu’il a fumé quatre pipes comme si c’était un exploit et me donnant envie de vomir mon quatre-heures.

Quant à la robe de chambre qu’il porte au 221b et son ridicule chapeau, sortis d’on ne sait où, je n’ai pas compris pourquoi on devait l’affubler de ces horreurs. Un surplus que le cirque Bouglione soldait, peut-être ?

Quand à se manière de jouer du violon, passons, on est loin des Lieder de Mendelssohn. De toute façon, on est loin de tout dans ce téléfilm de merde.

Ouf, on quitte Holmes et notre brave vieux Watson part dans la « lande désertique et sauvage, avec un paysage lunaire et sordide qui doit te ficher la trouille et une dépression sévère rien qu’en la voyant…

Heu, pardon, je m’excuse, je pense qu’ils ont changé de destination au dernier moment pour une contrée verte et magnifique, comme on en voit dans les guides touristiques.

Le Professeur Alpenstock (de la SSHF) avait raison : c’est la Suisse Romande et pas la lande désertique qu’on nous montre dans ce téléfilm. Ou peut-être la verte Irlande ? J’irais bien en vacances là, tiens, tellement c’est verdoyant.

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Ah oui, j’oubliais de vous dire que les dialogues sont à mourir de rire ou de honte, selon que vous êtes le téléspectateur ou le scénariste. « J’échange un de mes grizzly contre ton chien, hahaha » (le jeune Henry Baskerville, crâneur) et j’en passe des vertes et des moins mûres !

Tout le reste du film tient de l’horreur ou de la farce, au choix : le magnifique château qui fait même pas peur qu’on dirait celui des contes de fées, les employés sont souriant comme des huissiers sur le point d’être saisis par leurs confrères.

Le majordome Barymore, barbu et joyeux comme des papes réunis en conclave sans vin, sans bouffe et sans putes (ou gigolos), sa chère épouse qui ressemble à la gamine de la Famille Adams à l’âge de la ménopause (vu son humeur, elle doit l’avoir faite deux fois, sa ménopause).

Le Sir Henry qui s’extasie devant chaque truc qui lui appartient, dont un mini Stonehenge, des bergers, des moutons (pourra p’têt même s’faire un mouton, l’gamin), des terres… Merde, grandis un peu, gamin !

Le fond fut atteint une fois de plus avec le terrible bourbier de Grimpen dont Stapelton le binoclard les mettra en garde. Ouf, nos amis l’ont échappée belle. Même s’ils n’allaient pas patauger dedans.

« Heu, c’est ÇA le terrible bourbier de Grimpen ? » me demandais-je dubitative. Il y a le même dans les campagnes, chez moi, après de fortes pluies. À part perdre une botte, on ne risque rien d’autre… Ah si, salir sa chaussette.  Grave !

Vient Béryl, la soeur (hem) de Stapelton, habillée pour le bal de la Rose et qui met Watson en garde avec un « casse-toi, pov’con! » (enfin, un truc dans le genre, avec les formes, mais le fond est le même), le prenant pour « Sir Henry le cow-boy pied tendre », tandis que ce dernier observait le gros agaric de Stapelton, derrière un chêne.

Rien de cochon, l’agaric étant un champignon et il ne ressemble pas à la phalle impudique, même si nos deux glands se trouvaient au pied d’un chêne.

(Phallus impudicus, qui, à l’état adulte, évoque la forme d’un pénis en érection, d’où son nom. C’était la minute culturelle).

Ne me demandez pas pourquoi Stapelton voulait à tout prix montrer un champignon à Sir Henry. Sans doute pour laisser Watson seul avec sa sois-disant sœur…

Autre gros plantage : quand nos amis se promènent sur la lande, après avoir vu le barbu Barymore faire des signaux sémaphores (la rime !) à la fenêtre et entendu la confession de madame Ménopause (son épouse) au sujet de son frère Selden qui a le Q.I d’un gant de toilette et qui s’est échappé du pénitencier…

Et bien, malgré le fait que c’est à l’heure « où s’exaltent les puissances du mal » (dixit eux), bizarrement, dans la trouée du feuillage des arbres, dans leur dos, on peut apercevoir les rayons du soleil !

Diable, les puissances du mal ne travaillent plus la nuit ? Ça coûtait trop cher et elles payaient trop de taxe, sans doute. Tout fou l’camp, ma brave dame !

Bref, du grand n’importe quoi durant nonante (90 en traduction simultanée) longues minutes !

Les ayants droits ne leur ayant pas permis de reprendre l’histoire, du coup le réalisateur s’y est donné à cœur joie pour massacrer le tout, les scénaristes se sont englués dans le bourbier de leur connerie, qui était incommensurable, et ils ont changés des tas de choses dans le déroulement de l’histoire.

À vomir, je vous dis.

Allez, je vous offre un peu plus d’horreurs canines : quand les hurlements du chien retentissent (plus de croquettes Pedigree Pall dans la gamelle ?), Watson voit le chien précipiter Henry dans un ravin – se disant sans doute qu’il aurait mieux fait d’écouter maman Holmes et de ne pas sortir la nuit, après minuit.

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La nuit ?? Mon cul oui !

Watson retrouve donc le pauvre Henry, la tête fracassée, mais pas le chien, qui a survécu à la chute, lui ! La preuve que c’est le chien du diable !

Stapelton arrive, inquiet (mais qu’est-ce qu’ils foutent tous sur la lande sauvage à cette heure là, eux ?) et ouf, ce n’était pas le « bon Henry » qui avait été précipité par la « brute de chien », mais le « truand de Selden » qui portait la panoplie complète de John Wayne de notre Sir Henry le cow-boy tenderfoot !

Bien sûr, le cow-boy était depuis peu déguisé en lord anglais et le barbu Barrymore avait refourgué les habits western à l’évadé vagabond. Comme si cela faisait discret un chapeau de cow-boy sur la lande… Warf, warf, warf ! *Rire canin*.

Le sommet de la débilité fut définitivement atteint (moi qui croyait déjà avoir touché le fond) avec le message d’invitation de Béryl qui pue le coup fourré à dix kilomètres.

Mais comme Sir Henry aimerait fourrer un coup à la Béryl, la testostérone étant la plus forte que la raison, il y va, se disant que à défaut de labourer et ensemencer ses terres, il pourrait peut-être… la bourrer… Hem, je m’égare.

Heureusement, Watson est sur les talons de l’étalon. On a raison de dire que l’on mène les hommes par leur estomac et autre chose. Béryl le savait.

Non, j’vous raconte pas la fin, tiens !

Sachez juste que le chien avait été rendu aveugle par son maître (le méchant) et qu’il se dirigeait à l’odeur. Sauf que, mon chien étant devenu aveugle en fin de vie, il avait les pupilles blanches, laiteuses, voilées, mais pas rouges et il se cognait aux meubles, mon vieux pèpère (c’était un berger malinois croisé allemand).

De plus, si le chien des Baskerville était miro, comment se fait-il que l’on ait vu au travers de son regard au début du film ?

Comment a-t-il fait pour venir grogner sous la fenêtre de Henry ? Comment pouvait-il sentir son odeur, alors qu’il était dans sa chambre, au deuxième, les fenêtres fermées ?

Certes, mon chien détectait ma présence, même quand j’étais derrière une fenêtre, mais plus quand il était aveugle !

De plus, les seuls chiens capables de suivre une odeur dans les airs, ce sont ceux de la race Saint-Hubert (pas des méchants chiens)… Les autres collent leurs truffes au sol et suivent la piste.

Bizarrement, le chien maudit pas, il court la truffe au vent.

Cela pourrait s’expliquer si Sir Henry n’avait plus pris de bain depuis trois ans, ceci expliquant pourquoi le chien en avait après lui : une odeur de chenil pareille, c’est une provocation pour la bête !

Ce n’était plus les forces du Mal, qui s’exaltaient, mais l’odeur du Mâle !

Autre erreur: quand un chien aboie, il ne mord pas et a contrario, quand il mord, il n’aboie pas, il grogne.

Le chien des Baskerville, il mord et aboie en même temps. Je pensais qu’en ouvrant sa gueule, il laisserait choir le fromage, heu, le bras de Sir Henry.

Rien de cohérent dans ce film…

Moralité ? Qui vit par l’épée périra par l’épée et qui fait l’malin avec son chien, finira dans le ravin.

Là, c’est dans une flaque d’eau. Minable. Un bourbier, c’est des marais, de la boue qui vous avale lentement, pas de la flotte à foison !

L’explication finale n’est pas mieux : Holmes montrant un tableau et disant qu’il a tout compris en le voyant.

Vu qu’il vient de le voir, cela en dit long sur l’intellect du détective. Et son arrogance, elle est insupportable !

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Dégoûtée, je vous dis.

Mon homme regardait le téléfilm avec moi et j’ai dû lui expliquer, tellement les éclaircissements de l’acteur qui se moquait de Holmes étaient obscurs.

Encore un peu je ne les comprenais pas. Dire qu’il me reste trois DVD à me farcir avec cet acteur… Ce sera ad nauseam, je pense.

Quand je pense qu’en 1993, Spielberg nous faisait des Tyrranosaurus « Rex » (warf) plus vrai que nature et que dans ce téléfilm sortit en 2000, ils sont même pas foutus de nous faire un Médor qui fout vraiment les chocottes !

J’hésite fortement entre :
1. Emmener Matt Frewer dans la lande et le noyer dans le grand bourbier de Grimpen avant de le découper en morceaux;
2. Aller hurler à la mort avec ce pauvre animal après lui avoir fait soigner sa mauvaise conjonctivite…

Ok, je noie d’abord Frewer et je vais hurler ensuite.

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« A year in England » chez Titine (Juillet 2016 – Mai 2017), le Challenge « XIXème siècle » chez Netherfield Park, le Challenge #LeFilmDeLaSemaine2016, le Challenge British Mysteries chez My Lou Book et Le Challenge Halloween (2016) chez Lou & Hilde.

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33 réflexions au sujet de « [Sherlock Holmes] Le chien des Baskerville – The Hound of the Baskervilles (2000) [#LeFilmDeLaSemaine2016 – 24/52] »

  1. Ping : A year in England 2016 – Récapitulatif | Plaisirs à cultiver

  2. Vu cet aprèm, végétant sur mon canapé avec la crève … Ca ne m’a pas arrangé ! Matt Fewer est bie meilleur ailleur est son cabotinage est effectivement insupportable, et Watson gros benet est encore plus inbuvable que dans les films us (les vieux) … comme je n’avais pas la force d’attraper la télécommande, je l’ai regardé jusqu’au bout (une curiosité malsaine devait me guider egalement pour voir jusqu’ou ils allaient oser !)… Holmes avec les dinosaures, à coté de ce truc, c’est in chef d’oeuvre !

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    • Mais c’est la rechute assurée avec pareil film, dis-moi ! Fièvre qui monte tellement qu’on s’énerve…

      Oui, Watson est imbuvable, pourtant, je ne pensais pas tomber sur pire, mais si !

      Maintenant, tu sais jusqu’où ils ont osé et tu es en rechute…

      Oui, presque un truc super, le Holmes et les dinos, pourtant, dieu sait que je l’ai cassé aussi, lui !

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  3. Ping : Bilan Livresque Mensuel : Octobre 2016 | The Cannibal Lecteur

  4. Ok, j’éviterai. Déjà cet extrait..Bon sang. C’est un film parodique ou pas en fait? C’est pas possible avec la tronche de loup-garou raté du chienchen.
    Sinon je suis un peu gênée par le fait que l’acteur qui joue Watson a un peu de faux airs ( attention, j’ai dit de faux airs hein..) de Laurence Olivier, vieux, au niveau de certaines expressions et de profil. Ca me perturbe 😀
    Sinon, sur la photo de chute,rien qu’en la regardant j’ai entendu un cri de Wilhelm ce  » aheuuuuuu » au fort potentiel comique.

    Aimé par 1 personne

    • Non, même pas une parodie ! La seule parodie réussi, c’est « élémentaire mon cher Lock Holmes » qui elle est un petit bijou de parodie.

      Le chien, le pauvre… je me suis demandée ce que faisait la SPA. Pauvre bête… fait même pas peur.

      Laurence Olivier, connaissais pas… mais je en vois pas l’air, mais bon, si tu le dis, moi je te crois, hein ! :lol

      En fait, c’est une comédie, quasi, ce film… mais j’ai toujours envie de pleurer lorsque je le revois.

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  5. Ping : [Sherlock Holmes] Le signe des quatre – The Sign of Four (2001) [#LeFilmDeLaSemaine2016 – 25/52] | The Cannibal Lecteur

    • Le but est de se marrer en lisant des chroniques de navet, ça défoule, je trouve.

      Hormis si tu veux faire un ulcère à l’estomac, je ne te conseille pas ce film… C’était une chronique d’utilité publique et holmésienne 😉

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  6. Ping : Le chien des Baskerville | Thé, lectures et macarons

  7. Ah oui… Quand même! 🤔

    Bon en même temps je ne suis pas surprise ! C’est la bande qui a commis le Vampire de Whitechapel… alors forcément… ça ne peut pas être très prometteur. Au moins dans le Vampire de Whitechapel ils ont eu la décence de ne pas massacrer un pilier du canon. Donc c’est nul… mais pas insupportable comme ce film là…

    J’en vais essayer de voir si j’arrive à le trouver… histoire de rigoler un peu… j’aime bien me moquer des navets aussi! 😄

    A peluches!

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    • Se moquer des navets, c’est un sport que j’aime. Ça défoule.

      Lui, c’était un des pires, avec le signe des 4 et un crime en bohème ! bon, il n’y a que le vampire qui est un peu au-dessus du lot. Juste un peu, hein !

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      • Oh et pis je te jure ! Ce Watson! C’est Agecanonix sans sa meuf bien roulée ! Un pensionnaire de la Villa du Crépuscule ou du Mouroir aux Alouettes, deux maisons de retraites super connues… une honte!

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          • Et pis! Le klebs ! Tu parles d’un molosse! Il est gros comme un caniche nain! Sa mâchoire est d’un quelconque!!! Et malgré ses yeux rouges d’albinos frappé de conjonctivite son pelage degueu me fait penser à l’état dans lesquels sont les chiens des refuges pour bêtes abandonnées. Il fait plus pitié que peur!

            Bon chuis déçue parce que je l’ai pas trouvé ce film… dommage!

            Aimé par 1 personne

            • Oh merde, tu ne feras pas une crise d’urticaire et un ulcère en visionnant le film ! Ça me fend le coeur.

              Oui, le chien n’a rien d’un molosse ! Je peux encore passer pour le molosse de la Granada, un dogue allemand tout gentil qui se prénommait Khan. Mais dans ce film, on voudrait l’adopter, le chien !!

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            • 😱😱😱Adopter ce batard crasseux et puant plein de puces, de tiques, de gales, de teignes et de vers??? Ça va pas la tête !

              Tiens je te recommande deux zôtres films anglais fin XIX et début XX avec des zistoires de meurtres :

              – Les soupçons de Monsieur Wicher

              – Gosford Park (avec Maggie Smith et Kirstin Scott Thomas! Et plein d’autres!)

              Je les ai vus récemment et je suis certaine que tu vas aimer! Plus que ces Sherloconneries scandaleuses!

              Aimé par 1 personne

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