Titre : Sherlock, Lupin et moi – Tome 5 – Le Château de Glace
Auteur : Irene Adler (Alessandro Gatti et Pierdomenico Baccalario)
Édition : Albin Michel (29/08/2018)
Édition Originale : Il castello di ghiaccio (2013)
Traducteur : Béatrice Didiot
Résumé :
Juin 1871, quelques mois après les récentes aventures de notre trio à Évreux et Paris, Irene se rend à Davos pour rencontrer Sophie von Klemnitz, sa vraie mère, et connaître enfin les raisons pour lesquelles celle-ci s’est séparée d’elle juste après sa naissance.
Sherlock et Lupin rejoignent leur amie pour l’aider à surmonter cette épreuve et la découverte de lourds secrets familiaux.
Durant leur séjour, on tente de voler le précieux collier d’une excentrique voyante russe, un grand brûlé disparaît au grand désespoir de son frère qui séjournait au Belvédère avec lui, un individu louche est assassiné.
Les trois comparses décident de mener leur enquête. Bien vite, ils se retrouvent pris dans une affaire d’espionnage qui les dépasse…
Critique :
Cette série jeunesse comportant mon détective préféré est toujours une parenthèse agréable dans mes lectures et si je suis toujours heureuse de découvrir une nouvelle aventure, je sais que je la lirai trop vite et qu’ensuite, le manque se fera sentir.
Une fois de plus, sans révolutionner le genre policier, cette série fait le job : divertir ses lecteurs et les emmener, une fois de plus, sur une enquête dépaysante.
Pas de meurtre, mais bien des mystères opaques dans cette ville bien connue pour ses forums économiques mondiaux.
Irene va rencontrer sa véritable mère et, ne sachant trop comment faire face à ce maelström d’émotions comme seule une ado peut avoir, demande à ses amis, Lupin et Holmes, de venir la rejoindre.
Si le mystère sur sa mère ne sera pas levée dans cet opus, celui du zoologiste le sera et nos jeunes amis vont vivre, une fois de plus, une aventure mouvementée où tout ne sera pas tel que certains le pensaient.
Les personnages sont toujours bien campés et, tel un Club des Cinq à trois, ils vivent toujours des aventures que nous aurions rêvé de vivre à leur âge. Pas de bol pour nous, il faudra les vivre par procuration et à l’âge adulte, en ce qui me concerne.
On ne s’embête pas, sans pour autant déménager à tout allure, l’auteur prend le temps de planter son décor, de faire se rencontrer Irene et sa mère avant que ses deux complices n’arrivent à Davos.
Une fois le mystère levé comme un lièvre, nos amis commencent leur enquête et les multiples indices qui parsèmeront leur histoire mettront Holmes sur la piste de ce qu’il se trame vraiment dans la vallée…éééee…. de Davos… ♫
Si j’avais compris certaines choses, j’en avais loupée d’autre. Pas de soucis, Holmes nous expliquera tout à la fin, si jamais nous n’avions pas fait tilt nous-mêmes.
Par contre, je n’ai toujours pas compris l’illustration de la couverture où l’on voit notre trio dans un traineau tiré par un cheval, dans la neige…
Cette scène n’existe pas dans le roman, nous sommes peut-être en Suisse, mais après la mi-juin, ce qui limite les chutes de neige dans la ville de Davos. Mais bon, ça faisait sans doute plus mieux sur la couverture.
En tout cas, je n’attends qu’une chose : la parution du suivant car j’adore lire cette collection jeunesse avec mon détective préféré, jeune, en compagnie du futur roi des cambrioleurs, l’Arsène et de LA femme, Irene Adler.
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Tu es à jour bravo ! J’ai encore le tome 4 dans ma pal et Hadrien est en train de lire le tome 3 😉
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et bin pour la jeunesse c’est bien quoi…et on est toujours jeune…au fait euh pourquoi dans le resume on parle d’un « individu louche est assassiné » et apres tu ecris qu’il y a pas de meurtre…c’est au meme niveau que le couverture….une enigme….lol
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En fait si, pardon, il y a un meurtre, mais ça correspond à quelques lignes dans toute l’histoire et nos amis ne vont pas enquêter dessus, même si après, on apprend un peu plus sur le meurtre et le pourquoi il a été tué.
Mais c’est tellement vite abrégé, le meurtre…
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okidou…on le survole….c’est note….;)
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Oui, l’enquête ne porte pas sur un meurtre étrange, comme dans un whodunit classique. Elle est là pour montrer que certains ne rigolent pas 😀
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ooouuuhhhh de sacres mechants alors…
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[avec un air pincé et revêche] Oui… mais tout cela ne me paraît pas très canonique (sa mère)! C’est choquant! La SSHF va certainement devoir se porter partie civile dans un procès pour crime contre le canon! 🧐
Ouais… mais on s’en fout! Du moment que nos djeunes apprennent à aimer Sherlock Holmes… 😜
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Non, pas très canonique, tout ça, mais bougrement efficace et ça dépoussière sa race ! 😀
Un procès, ce serait canon ! Oui, elle était facile, je sors 😉
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