Titre : Le régiment noir
Auteur : Henry Bauchau
Édition : Babel (2000)
Résumé :
Révolté par l’opposition de ses parents à sa vocation d’officier, Pierre s’embarque pour l’Amérique et s’engage dans l’armée nordiste au début de la guerre de Sécession.
II rencontre Johnson, jeune esclave noir en fuite, avec lequel il va fonder le régiment noir, qui jouera un rôle important dans la guerre.
Au-delà des somptueux panoramiques de batailles dignes des plus prestigieux romans d’aventures, ce grand « western de l’inconscient » frappe surtout par sa dimension initiatique, et par la mise en place d’une épopée intérieure.
Le Régiment noir, publié par Gallimard en 1972, avait fait l’objet en 2000, chez Actes Sud, d’une nouvelle édition revue et corrigée par l’auteur.
C’est cette dernière version qui est ici proposée.
Critique :
Ce roman se trouvait dans ma biblio depuis 2015 et là, il était plus que temps que je le découvre enfin, surtout que les critiques sur Babelio étaient élogieuses.
Le récit commence avec notre personnage principal, Pierre, qui nous parle de son enfance auprès de son grand-père, ancien officier de l’Empire et possédant une forge.
Déjà, j’ai eu quelques soucis avec la plume de l’auteur, composée de phrases courtes et qui me donnait l’impression de partir dans tous les sens.
Pierre grandit et part aux États-Unis pour s’engager dans la guerre de Sécession, chez les Nordistes.
De mon côté, je me demandais pourquoi certains auteurs décidaient de balancer leurs dialogues en paquet, sans faire un « à la ligne ». Pour économiser quelques pages en bout de roman ? En tout cas, ça ne favorise pas la lisibilité, même en ajoutant les tirets cadratins.
Le récit aurait été plus addictif à lire si l’auteur avait fait des phrases un peu plus longues, sans se disperser un peu partout et sans incorporer des dialogues au milieu du texte…
Ce qui aurait dû être une super lecture s’est révélée être un calvaire et j’ai usé de mon droit de sauter des pages, ne lisant que les paragraphes les plus intéressants et les moins chargés (les plus lisibles, donc).
Dommage pour moi, j’attendais beaucoup de cette lecture mais les seules émotions ressenties furent de la frustration. Nous n’étions pas fait pour cette rencontre, il va retourner sagement dans la biblio et moi je vais aller voir ailleurs.
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La guerre c’est moche épicétou! La preuve!
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Oui et pourtant, si demain on reparle d’une guerre, je te parie le slip de mon mari que plein de mecs seront intéressés et courront ! Bon, maintenant c’est différent d’avant, tu dois être militaire de carrière, mais si on n’avait pas ça, les hommes seraient comme fou.
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Le slip de ton mari? Vraiment? Hummm trop sex! Enfin… ça dépend… c’est quoi la taille? C’est un kangourou ou un minislip? A moins qu’il n’apprécie les strings ficelle avec des dentelles?🤔
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M, le truc qui moule les fesses et qui les rend affolantes, ainsi que ce qui est devant et qui donne envie d’arracher ledit slip avec les dents… Testé et approuvé ! 😀
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Ciel!!! Faut pas avoir de dentier là ! Imagine la scène du dentier qui choit dans le calbute !!!🤣😂🤣
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Oh, le moment hautement sensuel vient de mourir… Bon, ça fera une pipe de velours… Ok, je sors, avec mes 32 dents.
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Oui c’est dommage, je l’avais vu passer quelques fois et je me disais tiens pourquoi pas non, de ce que tu en dis je sais qu’il ne me plaira pas, ou peu.
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La plupart ont aimé le roman, moi je suis passée à côté, ensuite, c’est aussi l’histoire d’une rencontre entre le lecteur/trice et le roman, ça passe ou ça casse mais on ne peut jamais le savoir avant d’avoir été au rendez-vous 😉
Effectivement, vu ma chronique, ça ne donne pas envie de se ruer dessus…
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Oh oui j’ai lu pas mal de livre avec un dialogue en prose…pucha…dommage le sujet est interessant….dommage
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Le sujet m’intéressait, le roman aussi et j’étais bien décidée à enfin l’éliminer de ma PAL et bardaf, l’embardée…
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