Février, comme tous les ans, est le mois le plus court de l’année et pourtant, je réalise souvent des bons scores de lecture, la faute au Mois du Polar chez Sharon, sans aucun doute.
« Grâce au » Mois du Polar serait plus juste. La motivation est encore plus présente que durant les autres mois (hormis les juin/septembre) car il ne faudrait pas que je ne lui fasse pas honneur.
Mon Bilan Mensuel Livresque pour Février est donc de 21 romans, 7 Bédés, 3 Comics et 4 mangas lus = 35 lectures, pas une de moins.
Pour 28 jours, c’est honorable. Depuis le 1er janvier, j’ai déjà 63 lectures, tout confondu.
Minou, de son côté, continue de bien se porter. On lui a réparé son arbre à chat qui avait fait la guerre, il continue de passer son temps dans le divan en haut, mais vient plus souvent nous faire des petits coucou au rez-de-chaussée.
Il adore aller faire un tour dans la véranda et se coucher dans un carré de soleil, renifler mes plantes, se coucher dans un des bacs de fleurs qui se trouve en plein soleil (sans les abîmer !) et se faire un petit parcours en passant derrière le divan et sous les tables, à tel point que bien souvent, on est surpris de le découvrir dans la pièce ou de voir passer un bout de queue grise quelque part.
L’autre jour, il est venu miauler près de moi, avec tellement d’insistance et de détresse dans la voix que j’ai pensé qu’il mourrait de faim et malgré le fait que ce n’était pas son heure de souper, je suis montée pour lui remettre des croquettes. Stupeur, la gamelle contenait encore des croquettes… Ok, j’ai compris le message : monsieur voulait des câlins !
Comme au soir mon mari va se coucher plus tard et durant quelques jours, il y est même allé aussi tard que moi, ce pauvre animal n’avait pas eu droit à ses câlins en tête-à-tête avec moi, donc, il est passé par le bureau des réclamations !
Pas con, ce chat, il sait ce qu’il veut et maintenant que ça fait bientôt deux ans qu’il est chez nous, il se permet plus de choses.
Comme avant je passais du temps près de lui lorsque je le soignais au soir et que, depuis l’accident de mon mari, je ne le faisais plus (le chat a eu droit à plus de 3 mois de tête-à-tête avec moi, ça ne servait plus à rien), ça a dû lui manquer et maintenant, on a remis ça : je le brosse, je le gratouille et lui se colle contre moi avec la tête du chat le plus heureux du monde.
Cet animal est plus brossé qu’un chat à poils longs la veille d’un concours mondial ! Cette brosse va finir usée ou alors, il n’aura plus un poil sur le dos à force de se les faire retirer (mais cette année, la mue sera plus calme, j’espère, vu qu’il est brossé 3 fois par jour !).
Et je vous jure que quand il veut que je monte chez lui pour le câliner, il sait se faire comprendre et il est difficile de résister à son miaulement plaintif qui ressemble à un chat en train de mourir. D’ailleurs, il m’a saisi plusieurs fois car il arrive sans faire de bruit et puis il pousse son cri déchirant.
Ce chat aura ma mort ! mdr
Rien n’est simple dans Nuit sans lune au Waziristan de Saqib Mausoof. On suit un agent d’assurance mais ce roman noir bifurque assez vite dans du plus profond que ce que l’on pourrait penser au départ. Un polar qui prouve que la littérature policière mérite ses lettres de noblesse et qu’il n’y a que ceux qui ne savent pas qui croient encore que c’est de la littérature de gare.
Un récit qui prend aux tripes, c’est sans conteste Le chemin parcouru – Mémoires d’un enfant soldat de Ishmael Beah où l’auteur raconte l’arrivée des rebelles au Sierra Leone, les massacres dans les villages, sa fuite en avant et son embrigadement dans l’armée en tant qu’enfant soldat. Une histoire vraie dure, sombre, violente, même si on se doute que l’auteur a fait en sorte que son récit ne soit pas plombant ou trop horrible.
Rien de tel qu’un peu de légèreté après un roman sombre. Sherlock, Lupin & moi – Tome 10 – Le seigneur du crime de Irene Adler ne révolutionnera jamais le monde du polar, mais au moins, l’auteur ne prend pas ses jeunes lecteurs pour des cons et les adultes peuvent le lire sans soucis. L’enquête est intéressante, possède du mystère, du suspense, des interrogations et est rondement menée.
Faut bien qu’arrive de temps en temps un roman à côté duquel on passe. L’autre ville de Michal Ajvaz était celui-là. Cet O.L.N.I surfe sur le fantastique, le fantasmagorique, l’onirique et le surréaliste. Je me suis perdue, j’ai étouffé, je me suis noyée dans ce roman…
Pour repartir du bon pied, rien de tel qu’une enquête du Commissaire Montalbano 11 – La Première Enquête de Montalbano de Andrea Camilleri ! Trois enquêtes, dont une qui fut la première en tant que commissaire de Vigatà. Sans se presser, nous contant la Sicile vue par l’autre bout de la lorgnette, l’auteur nous emmène dans des enquêtes où aucun être humain n’est assassiné. Plaisant, amusant et diablement dépaysant !
On revient aux lectures qui marquent avec La dénonciation de Bandi, un auteur qui vit en Corée du Nord et qui nous parle, au travers de plusieurs nouvelles, de ce qu’il se passe dans son pays. Un livre à lire afin de voir ce que c’est que des privations de libertés dans certains pays où vous n’avez même pas le droit de rouspéter.
Un peu de douceur dans ce monde de brutes avec Les détectives du Yorkshire – Tome 4 – Rendez-vous avec le poison de Julia Chapman [LC avec Bianca]. Enfin, je pensais me la couler douce, mais l’auteure ne ménage ni ses personnages, ni son lectorat et nous entraîne dans plusieurs enquêtes différentes. Cela pourrait sembler léger vu de loin, mais même si c’est avec humour, l’auteure dénonce tout de même certains faits, comme les dégâts provoqués par des rumeurs, les violences policières, les fausses accusations,…
Un roman noir aux airs de reggae, ça vous tente ? Rassurez-vous, Get Up ! Stand Up ! de Perry Henzell n’est pas un roman bourré de clichés et de joyeux hippies jouant sur la plage. Dans ce roman, il y a une vraie réflexion derrière chaque action, chaque personnage, dans le scénario et les clichés ne sont pas les bienvenus. Un roman noir assez sombre sur fond de guerre politique pour obtenir le pouvoir.
La plume de Viliam Klimacek est primesautière, presque, agréable à suivre, teintée d’ironie aussi, dans Bratislava 68, été brûlant. C’est la Grande Histoire que l’on va découvrir au travers de petites histoires familiales. Dans ce roman noir, dans ces témoignages que l’auteur a transformés en fiction, toutes ressemblances avec des personnes existantes ou ayant existé n’est pas fortuite du tout. Elle est réelle.
Dans Sherlock Holmes et le mystère de la Chambre Jaune de Le Griot nous propose de revenir sur cette enquête en chambre close, 20 ans après et que le grand détective nous offre une autre solution que celle connue du grand public. Réalisant ses déductions du fond de son fauteuil, je n’ai pas été conquise par la solution proposée par Holmes.
Quand on est fan du détective de Baker Street, on le suit partout, même s’il n’y a pas de remontées mécaniques. Sherlock Holmes à Chamonix de Pierre Charmoz et Jean-Louis Lejonc ne révolutionnera rien du tout, le meurtre d’Edward Whymper ne sera résolu qu’à mots couverts mais au moins, on passe un bon moment lecture sans se prendre la tête. J’ai déjà lu mieux mais croyez-moi, j’ai lu bien pire !
Oubliez le train postal Glasgow-Londres et passez directement à L’attaque du Calcutta-Darjeeling de Abir Mukherjee. Une fois de plus, nous sommes dans un roman où la résolution du crime est moins importante que de dénoncer le racisme crasse des Anglais envers les indigènes. La plume de l’auteur manie avec brio l’humour et le cynisme, l’encre est teintée d’ironie douce-amère et c’est un véritable plaisir de découvrir ce roman policier qui ne ressemble à aucun autre.
Chez Pétros Márkaris aussi, l’enquête sert de support pour parler de la tragédie de la crise grecque. Dans Trilogie de la crise – 03 – Pain, éducation, liberté nous retrouvons le commissaire Kostas Charitos qui enquête sur des meurtres dont le lecteur n’a pas trop envie que l’on retrouve l’assassin tant c’étaient des salopards. Un roman noir qui vole plus haut que le polar de gare et qui nous fait visiter une Grèce qui ne se trouvera jamais sur les cartes postales ou dans le guide du Routard.
Allez hop, je n’ai pas pu résister à l’envie de m’en refaire un de plus ! Ayant sauté dans la chronologie, le volume 2 : Commissaire Montalbano – 02 – Chien de faïence de Andrea Camilleri, j’ai rattrapé mon erreur.
Puisqu’il fait recette et que des tas d’auteurs aiment s’en inspirer, c’est du pain béni pour les amateurs du détective du 221B. Oui mais… Dans Sherlock Holmes et le mystère des reliques de Saint-Martin de Tours de Jean-Noël Delétang, c’est un Holmes sans relief que j’ai suivi. Il est le reflet de ce que l’auteur imagine dans sa tête (et c’est son droit), mais le présenter de la sorte, c’est un parti pris énorme qui ne paye pas car si le plat présenté était inhabituel, il était aussi sans saveur et trop doux pour le palais des fans du détective. Ça manquait de goût ! Et puis, nommer Watson « Charles » alors que c’est « John », j’ai pas apprécié et encore moins compris l’utilité.
♫ C’est quelqu’un qui m’a dit que… ♪ Et voilà, La rumeur est lancée ! Kara Lesley nous plonge dans une petite ville où il paraîtrait qu’une tueuse d’enfant est planquée. La rumeur, telle une bite, grossit de bouche en bouche et quand ça explose, ça fait des dégâts, ça peut briser des vies, des réputations et les dommages collatéraux sont énormes. Si je n’ai pas vraiment eu d’empathie pour les personnages, on peut dire que ce roman est addictif et que l’auteure a su bien brouiller les cartes.
Le conflit Israelo-Palestinien n’est pas souvent traité dans les romans, c’est pour cela que j’avais coché Gaza dans la peau de Selma Dabbagh mais hélas, je n’ai pas réussi à entrer dans le roman et je suis passée à côté. Deux fois en février que je loupe une lecture… Râlant ! J’aurais aimé pouvoir me glisser dans ces pages et le vivre de l’intérieur, aux côtés de ceux qui souffrent.
Véritable whodunit ou Cluédo Coréen, Le portrait de la Traviata de Jinki Do explore toutes les pistes possibles et imaginables pour ce meurtre quasi en chambre close. Rien ne sera laissé au hasard et tout en enquêtant, l’auteur nous parlera de la culture sociétale coréenne et des bars à hôtesses qui ne disent pas leur véritable nom.
Un roman noir violent, d’un réalisme brutal et cette fois-ci, Gabino Iglesias nous propose un roman choral dans Les Lamentations du coyote. Si certains portraits avaient une puissance énorme et m’ont pris aux tripes, deux parmi les six étaient moins intéressants, moins forts et à chaque fois que je tombais sur eux, la pression redescendait et cela a gâché une partie de mon plaisir.
Il vit dans le même bled paumé que vous, vous vous entendez bien, c’est votre voisin, mais aussi un pote. Avec L’ami, Tiffany Tavernier, explore les ravages qui découle de l’arrestation de votre pote pour assassinat de jeunes filles. Vous n’aviez rien vu, rien suspecté, vous tombez de haut. Un roman prenant qui traite d’un fait divers et qui montre que les assassins savent se déguiser et passer inaperçu.
Que pourrait-on faire de son temps de cerveau disponible que nous avons gagné comparé à nos ancêtres ? Apocalypse cognitive de Gérald Bronner pose une question : Que faisons-nous aujourd’hui du temps libéré par les machines ? La passons-nous à apprendre, étudier ou le gaspillons-nous sur les réseaux sociaux ? Le genre de lecture qui ne reposera votre cerveau mais qui l’enrichira.
Bilan Livresque Mensuel : 21 Romans
- Nuit sans lune au Waziristan : S. Mausoof
- Le chemin parcouru – Mémoires d’un enfant soldat : Ishmael Beah
- Sherlock, Lupin & moi – Tome 10 – Le seigneur du crime : Irene Adler
- L’autre ville : Michal Ajvaz
- Commissaire Montalbano 11 – La Première Enquête de Montalbano : Andrea Camilleri
- La dénonciation : Bandi
- Les détectives du Yorkshire – Tome 4 – Rendez-vous avec le poison : Julia Chapman [LC avec Bianca]
- Get Up ! Stand Up ! : Perry Henzell
- Bratislava 68, été brûlant : Viliam Klimacek
- Sherlock Holmes et le mystère de la Chambre Jaune : Le Griot
- Sherlock Holmes à Chamonix : Pierre Charmoz et Jean-Louis Lejonc
- L’attaque du Calcutta-Darjeeling : Abir Mukherjee
- Trilogie de la crise – 03 – Pain, éducation, liberté : Pétros Márkaris
- Commissaire Montalbano – 02 – Chien de faïence : Andrea Camilleri
- Sherlock Holmes et le mystère des reliques de Saint-Martin de Tours : Jean-Noël Delétang
- La rumeur : Kara Lesley [LC avec Bianca]
- Gaza dans la peau : Selma Dabbagh
- Le portrait de la Traviata : Do Jinki
- Les Lamentations du coyote : Gabino Iglesias
- L’ami : Tiffany Tavernier
- Apocalypse cognitive : Gérald Bronner
Bilan Livresque Mensuel : 7 Bédés / 3 Comics / 4 mangas = 14
- Il faut flinguer Ramirez – Tome 1 : Nicolas Petrimaux
- Hercule Poirot (BD) – Tome 1 – Le crime de l’Orient-Express : Chaiko, Benjamin Von Eckartsberg et Agatha Christie
- Calvin et Hobbes – Tome 2 – En avant, tête de thon ! : Bill Watterson
- Calvin et Hobbes – Tome 3 – On est fait comme des rats : Bill Watterson
- Jeremiah – Tome 1 – La Nuit des rapaces : Hermann
- Batman – Terre-Un – Tome 1 : Geoff Johns et Gary Frank
- Batman – Terre-Un – Tome 2 : Geoff Johns et Gary Frank
- Hercule Poirot (BD) – Tome 3 – Mort sur le Nil : Isabelle Bottier, Damien Callixte et Agatha Christie
- My home hero – Tome 1 : Naoki Yamakawa
- Arsène Lupin, L’aventurier – Tome 3 – L’aiguille creuse (1ère partie) : Takashi Morita et Maurice Leblanc
- Arsène Lupin, L’aventurier – Tome 4 – L’aiguille creuse (2ème partie) : Takashi Morita et M. Leblanc
- Arsène Lupin, L’aventurier – Tome 5 – L’aiguille creuse (3ème partie) : Takashi Morita et M. Leblanc
- Batman – Année Un : Frank Miller & David Mazzucchelli
- Barracuda – Tome 3 – Duel : Jean Dufaux et Jérémy
Outch ! Punaise quel bilan !!!
Mais dis moi c’est quoi la différence entre le mois du polar et le challenge polar ?
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Le challenge dure toute l’année, le mois du polar ne dure que les 28 jours de février 😛 C »est le mois où je tente de lire des auteurs qui sortent de mes sentiers battus, même si je reste dans les polars et romans noirs 😉
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Ah Ok…. mais avec toi c’est toute l’année le noir du polar
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Oui, tu m’as bien résumée ! 😀
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Le noir te va si bien à toi aussi !
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Une excellent pièce de théâtre avec Maria Pacôme, « le noir te va bien » 😆
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ahhh, Maria Pacôme qu’est ce qu’elle m’a fait rire petite, et Jacqueline Maillant aussi, sacrée bonne femme, hein ?
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Des sacrées bonnes femmes énergiques !
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Oh que oui et drôle en plus !
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Ce qui est toujours un plus 😉
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oh oui ! 😉
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Petit mois et un max de lectures, quelle cadence ! Il faut absolument que je reprenne la série Lupin, Sherlock et moi, je n’ai pas été au-delà du tome 3
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Rhôô;^pas bien ça ! 😆
Mais en mars, en 6 jours, je n’ai lu que deux romans ! La honte 😦
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Encore Bravo pour ce bilan Dame Belette!
Pour le Sieur Minou, ça y est, c’est officiel, le voilà totalement domestiqué… Je dirais même plus… C’est lui qui vous a bien dressés. Et ouais… A force de jouer l’indifférent il a réussi à ce que vous vous pliiez en quatre pour lui… Et maintenant c’est vous qui vivez chez lui à son service! 😆
Malgré tout… Tu peux pas savoir à quel point ça me manque de ne pas avoir de minou. J’adoooooore les minous. Mais… Chuis allergique. Et mon Toqué n’aime pas les minous… Si j’avais eu la chance de pouvoir avoir un minou avant de le rencontrer je serais toujours célibataire en fait! Mais… là ça va… On a surmonté ça… J’ai quand même réussi à le dresser… Le minou ? Nan! T’as rien suivi! J’ai dressé le Toqué! 😀
Oups… je ne sais pas pourquoi mais je sens le mauvais jeu de mot arriver suite à mon « j’ai dressé Toqué »… 😉
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Encore un bilan de malade !
Ah ces matous, ils nous mènent par le bout du nez. Max aussi fait de nouvelles choses : il me grimpe désormais dessus quand il veut des câlins et lorsque je lui dis « câlin », il me tend sa tête pour que je gratouille le dessus. Il n’a pas très bien pris que je reprenne le travail (j’étais en vacances 15 jours, donc il m’avait avec lui) et me l’a bien fait sentir le premier jour en me tenant la jambe dès que je suis arrivée et en me mordant !
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Minou comprend aussi le mot « câlins » et quand il miaule comme un malheureux et que je me lève, il court comme un bienheureux vers la porte et si je dis « non, je ne monte pas », ça lui fait le même effet que quand j’annonce à sa mère que « non je ne rentre pas à la maison » 😆 Dépit…
Quand je reviens d’une journée chez mes parents, il fait le fou quand je rentre. Il vient se faire gratouiller le dos et ensuite, il court partout comme un chien fou !
Lui ne me mord pas, heureusement ! Mais lundi, j’avais Pupuce sur mes genoux, bien installée et Hannibal a sauté aussi et s’est assis sur la pauvre Pupuce qui pour finir est descendue…
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Il y a des mots qu’ils comprennent bien ! Max comprend aussi la formule « t’as faim ? » Il court à sa gamelle !
Hannibal le terrible !
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Il est tout adorable ce chat ouiiii…et magnifique bilan….de chouettes polars…;)
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Oui, il est adorable, il cherche de plus en plus le contact (juste avec moi) et il adore quand je monte avec lui pour aller le brosser et le chouchouter ! Bientôt deux ans qu’il est arrivé chez nous et on a parcouru un sacré chemin.
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Oh oui il est bien sorti de son placard…oh oui
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Oui, et il réclame tous les câlins qu’il aurait pu avoir si on l’avait attrapé et domestiqué chaton ! 😀
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Cela en fait du rattrapage…;)
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Avec les intérêts, on frôle l’usure ! 😆 Je suis restée 1h avec lui à 15h30 et on a remis ça à 17h30, lors du soignage, mais je ne suis restée que 30 minutes.
Là, il est avec moi, mais sur le torchon, dans la véranda.
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Oui il faut toujours s’en occuper….en tout cas il est heureux…c’est sur…;)
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Si ce chat est malheureux, il le cache bien ! 😆
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Dès qu’on a un animal, faut s’en occuper et tu es partie pour 10/15 ans si c’est un chien ou un chat, c’est du long terme, mais ça ne me dérange pas, le chat m’apporte de la sérénité et il m’a bien déstressée lors du confinement 1.
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super bilan, bravo!
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Merci ! 😉
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Whaouuuu magnifique bilan 👏👏👏👏
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Merci !
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