Je suis Black Panther : Collectif

Titre : Je suis Black Panther

Scénaristes : Collectif
Dessinateurs : Collectif

Édition : Panini Marvel Anthologie (2018)

Résumé :
Retrouvez plus de quarante-cinq ans de publications consacrées à la Panthère Noire, dans une sélection d’épisodes cultes du héros. Du Wakanda au Manoir des Avengers, découvrez toutes les facettes de T’Challa.

Critique :
N’étant pas une connaisseuse de tout l’univers Marvel, ce n’est qu’avec le film « Captain America : Civil War » que j’ai appris qu’il existait un super-héros nommé Black Panther (j’ai découvert Deadpool avec le film aussi).

Pourtant, ce personnage est apparu en 1966. Comme quoi j’ai encore beaucoup à apprendre.

Ayant adoré le personnage dans les films (et l’acteur aussi, snif), je me suis procurée cette anthologie et comme avec Iron Man, je suis partie à la découverte de ce super-héros dans ses premières aventures, qui avaient un petit air rétro, avec les dessins et les couleurs simplistes.

Les premières aventures se déroulent en compagnie des 4 Fantastiques et du Méchant Klaw. C’est divertissant. Mais cela reste très simpliste dans les intrigues, les méchants sont des méchants qui veulent s’approprier les richesses du Wakanda.

Comme pour l’album consacré à Iron Man, chaque histoire est précédée d’une explication, d’une notice historique, expliquant le récit que nous allons lire.

Par contre, j’ai zappé totalement le premier épisode avec Everett K. Ross tellement les dessins et les couleurs étaient moches.

L’histoire intitulée « Un jour mon prince viendra » était tout simplement géniale, tant au niveau du scénario, moins binaire que les précédents, que des dessins.

La tension qui régnait entre Captain America et Iron Man était celle vue dans le film Civil War. Et puis, c’est l’occasion aussi, pour le mariage du siècle, de croiser plein de super-héros et même quelques X-Mens.

Dans « Voir le Wakanda et mourir », les wakandais ont chipé une technique à Vlad III L’Empaleur… J’ai apprécié les dessins et le fait que les ennemis soient intelligents, forts et qu’ils mettent Black Panther à mal. À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire… Mais j’aurais bien évité les scènes de torture à lui et à son épouse !

Avec ce récit, on peut dire que j’en ai eu pour mes sous ! Voilà un scénario intelligent qui surprend par son déroulement.

Pour ma part, j’ai plus apprécié les derniers épisodes, ceux qui nous sont contemporains. Je ne serai jamais fan des premières esquisses, bien que j’apprécie le côté rétro.

Si cet album ne m’a totalement convaincue de pas le choix des histoires, elles avaient au moins l’avantage de montrer toute la complexité du personnage de T’Challa, à la fois roi d’un pays et super-héros.

Le poste de roi lui donne du pouvoir, mais aussi de très grandes obligations et il ne peut laisser son trône trop longtemps vacant, au risque de voir des tensions se créer dans son peuple.

T’Challa se retrouve souvent le cul entre deux chaises : rester sur son trône et gérer son pays, le défendre contre ceux qui veulent leur voler le Vibranium ou bien sillonner le monde et tenter de réparer les injustices, bref, de défendre le monde puisqu’il est un super-héros.

Me lecture fut faite de haut et de bas, pourtant, ce fut un intéressant car cet album m’a permis d’en apprendre plus sur le personnage de Black Panther, son univers, son royaume, son histoire…

Ceci est une anthologie à réserver aux fans de la Panther ou à ceux qui voudraient, comme moi, en savoir plus. Mon avis mitigé ne m’empêchera pas de découvrir les autres albums de cette collection, ni d’aller lire les albums consacrés à Black Panther.

Challenge Thrillers et Polars de Sharon (du 12 Juillet 2021 au 11 Juillet 2022) [Lecture N°67].

 

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Texas Jack : Dimitri Armand et Pierre Dubois

Titre : Texas Jack

Scénariste : Pierre Dubois
Dessinateur : Dimitri Armand

Édition : Le Lombard (02/11/2018)

Résumé :
Texas Jack est un as du revolver. Mais contrairement à sa légende, il n’a jamais exercé ses talents ailleurs que dans un cirque.

Il reçoit un jour un défi : partir à l’Ouest, affronter le sanguinaire Gunsmoke et sa horde de tueurs. La mission est suicidaire, mais impossible de refuser sans perdre sa réputation.

Heureusement pour Texas Jack, Gunsmoke est aussi la cible du marshal Sykes…

Critique :
Souvenez-vous, dans une aventure de Lucky Luke (des barbelés sur la prairie), des méchants éleveurs voulaient bouter hors de leurs prairies les paisibles fermiers en les intimidant et en les menaçant.

Ça, c’est la version amusante et gentillette. J’adore cet album mais il ne reflète pas la réalité du far-west impitoyable.

Gunsmoke est impitoyable. C’est une saloperie de putain de méchant qui n’hésitera pas à tuer des gosses.

Version en bédé des 7 salopards (l’ancien film), portés à 9 cavaliers, cette bédé western offre des bons moments d’actions, de violences, de magouilles politiques, tout en prenant son temps pour amener les différents protagonistes à se mesurer l’un à l’autre.

Comme dans une bonne quête de fantasy, nos 4 compagnons quittèrent le cirque et par un prompt renfort inattendu, se retrouvèrent à 9 pour aller combattre la bande de Gunsmoke qui met le Wyoming à feu et à sang, sous les ordres d’un politicien véreux (synonymes, je sais).

Le début de la bédé est d’une violence inouïe, un massacre de masse, l’extermination pure et simple d’un paisible rassemblement de gens. La suite ne sera pas triste non plus, car lorsqu’on mange à la table du diable, il faut une longue cuillère !

Voilà ce que j’appellerais une bonne bédé western qui réuni tous les codes mais les cuisine à sa manière, pour nous offrir un plat qui ne sent pas le réchauffé car le scénariste a pris la peine, malgré un récit qui semble éculé, de nous le monter de manière différente et le résultat s’en fait ressentir de suite : waw !

Attention, on ne révolutionnera pas le monde du western, mais ce que les auteurs nous proposent là, c’est de la bonne came pour les yeux, un récit qui ne se contente pas de nous proposer que des fusillades et cavalcades à tout bout de champ (même si on en aura), mais va aussi plus en profondeur dans ses personnages (sauf pour les méchants), dans leur psychologie…

Anybref, pour ceux et celles qui aiment le western, c’est le pied intégral.

Challenge Thrillers et Polars de Sharon (du 12 Juillet 2021 au 11 Juillet 2022) [Lecture N°44].

La ferme des animaux : George Orwell

Titre : La ferme des animaux

Auteur : George Orwell
Édition : Livre de Poche Jeunesse (2021)
Édition Originale : Animal farm (1945)
Traduction : Stéphane Labbe

Résumé :
Un beau jour, dans une ferme anglaise, les animaux décident de prendre le contrôle et chassent leur propriétaire.

Les cochons dirigent la ferme comme une mini société et bientôt des lois sont établies proscrivant de près ou de loin tout ce qui pourrait ressembler ou faire agir les animaux comme des humains.

De fil en aiguille, ce microcosme évolue jusqu’à ce qu’on puisse lire parmi les commandements : « Tous les animaux sont égaux, mais (il semble que cela ait été rajouté) il y en a qui le sont plus que d’autres. »

Le parallèle avec l’URSS est inévitable quand on lit cette fable animalière. À travers cette société, c’est une véritable critique du totalitarisme d’état que développe Orwell.

Critique :
Cette fable animale, qui pourrait sembler simpliste, ne l’est pas du tout.

Un enfant la prendrait au premier degré, pour ce qu’elle est : des animaux se sont révoltés, ont chassé le fermier, pris possession de la ferme et veulent bosser pour leur propre compte.

L’enfer étant pavé de bonnes intentions, si au départ, tout est bien, après quelques temps, ça part en couille puisque les cochons s’arrogent le pouvoir, mais les autres animaux ne s’en rendent pas compte (ou ne veulent pas s’en rendre compte).

L’adulte, lui, lira entre les lignes et y verra (le cas de le dire, puisque l’on parle de cochons) une fable animalière dénonçant le communisme à la Staline ou tout autre régime totalitaire.

Au départ, les intentions sont bonnes puis une certaine élite se dégage, s’arroge des droits (sans les devoirs qui vont avec), des passe-droits, des rations supplémentaires, donne des ordres, considère les autres comme des esclaves, réécrit l’histoire et puisque l’on a réchauffé l’eau doucement, puisque l’on avait un police violente, personne n’a rien senti, personne n’a osé l’ouvrir et ceux qui l’ont ouvert sont morts.

C’est aussi une fable qui parle de toutes les révolutions qui furent confisquées ensuite par certaines personnes qui n’ont eu de cesse, ensuite, de se comporter comme les tyrans qu’ils dénonçaient autrefois et qu’ils avaient renversés, arrivant même à se comporter d’une plus vile manière qu’eux.

J’y ai aussi lu une dénonciation du capitalisme avec la force ouvrière qui est exploitée par une élite intellectuelle et qui malgré qu’elle bosse plus, reçoit de moins en moins de ration alimentaire, tandis que ceux qui ne produisent rien bouffent à s’en faire péter la panse (oui, c’est dit sans les pincettes). Travailler plus pour gagner moins !

Puisque les animaux bossent pour eux (qu’ils croient), ils sont prêt à tous les sacrifices, oubliant que ce ne seront pas eux qui tireront les bénéfices de leur force de travail et qu’au final, ils sont esclaves de quelqu’un, sauf que ce n’est plus du fermier (qui les faisait bosser moins, même si c’était pour son bénef à lui) mais des cochons.

La descente aux enfers commencera doucement pour nos animaux, sans qu’ils ne s’en rendent vraiment compte au départ puisque tout leur est expliqué simplement : c’est pour leur bien ! Et on avale, pardon, et ils avalent. Et puis, ceux qui n’avalent pas n’auront plus jamais l’occasion de remettre en question les ordres du cochon Napoléon, le chef.

Orwell va droit au but et s’inspire aussi des animaux pour leur donner leur caractère propre et habituel : les moutons bêlent ce qu’on leur dit de bêler, les chiens sont agressifs, les chevaux forts, l’âne intelligent… Chacun est parfaitement à sa place dans son rôle et il ne faut pas franchir des fossés pour assimiler les animaux à des humains, vu leur comportement.

Orwell frappe sous la ceinture, ça fait mal, ce petit livre. Il en ressort qu’en fait, tout le monde peut devenir un libérateur, il suffit juste d’être un bon orateur et la foule de moutons suivra !

Mais une fois le premier tyran éliminé, il faut avoir le pieds sur terre pour ne pas virer dictateur soi-même. Pas besoin de franchir des fossés non plus, la frontière est mince et si facilement franchie… Trop facilement…

Ensuite, le reste vient tout seul, un pas après l’autre, une règle après l’autre, une restriction après l’autre.

Une fable intelligente qui démontre que le totalitarisme n’est jamais loin, qu’il se trouve sous nos yeux, partout et pas que dans les états dictatoriaux, les républiques bananières…

Le totalitarisme ne se trouve pas que dans le passé et que ce salopard peut revenir au galop sans que l’on ne s’en rende compte ou alors, trop tard.

La liberté n’est pas un du, ce n’est pas non plus un droit, c’est un devoir. Mais il n’est pas toujours facile de voir le totalitarisme se mettre en place et encore moins de se rebeller contre des autorités toutes puissantes qui peuvent vous broyer comme on écrase une noisette avec l’outil adéquat.

Et puis, il est souvent plus facile de faire semblant de rien, de se raconter des histoires, de laisser couler, de baisser les bras. Parce que s’opposer de manière intelligente, c’est épuisant, dangereux et bien souvent, on est seul.

Le Challenge Animaux du monde 2020 chez Sharon [Lecture N°60], Le Challenge A Year in England pour les 10 ans du Mois anglais [Lecture N°18] et Le Mois anglais (Juin 2021 – Season 10) chez Lou, Cryssilda et Titine.

Mes derniers flambages livresques ! Ou « Ça va pas arranger ma PAL !! »

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Christelle, de Dealer de lignes m’a demandé de réaliser un article avec mes derniers flambages (car nous sommes deux flambeuses) et je l’ai fait avec grand plaisir parce que ça faisait longtemps que je n’avais plus fait d’articles sur « Descente en librairie » et puis, cela m’a permis aussi de remettre mes listes à jour…

Voici donc la liste de mes derniers craquages livresques, de mes flambages, bien que le mot « flambage » soit relatif puisque j’achète de nombreux livres en seconde main !

Vous remarquerez qu’il y a assez bien de nouveautés… et quelques anciens. Et plus des 3/4 ont été acheté en seconde main, mais neufs, comme jamais lus ou alors, avec beaucoup de soins !

Certains de cette liste ont déjà été lus (8), malgré que les plus anciens des achats ne remonte qu’à janvier 2016 !

  1. Affaire de sang : Aventure inédite de Sherlock Holmes : MacBird (lu)
  2. Agent indien, l’ : Dan O’Brien
  3. Anges noirs, les : Ævar Örn Jósepsson
  4. Au bonheur des îles : Bob Shacochis
  5. Carnets noirs : Stephen King
  6. Chant de la Tamassee, le : Ron Rash (lu)
  7. Chambre blanche, la : Martyn Waites
  8. Chien des Basqueville, le : Jean d`Aillon
  9. City on fire : Garth Risk Hallberg
  10. Culasse de l’enfer, la : Tom Franklin
  11. De chair et de sang : Michael Cunningham
  12. Dedans ce sont des loups : Stéphane Jolibert (lu)
  13. De force : Karine Giebel
  14. Dernier appel pour les vivants : Peter Farris
  15. En crachant du haut des buildings : Dan Fante
  16. Feuillets de cuivre : Fabien Clavel
  17. Il reste la poussière : Sandrine Colette
  18. Lagon noir : Arnaldur indridason
  19. La nuit derrière moi : Giampaolo Simi (lu)
  20. Les petites filles : Julie Ewa
  21. Les salauds devront payer : Emmanuel Grand
  22. Livre des âmes, le : James Oswald
  23. Méridien de sang : Cormac McCarthy
  24. Méthode 15/33 : Shannon Kirk
  25. Meurtres à Willow Pond : Ned Crabb
  26. Ombres innocentes, les : Audru
  27. Plateau : Franck Bouysse
  28. Porte d’or, la : Michel Le Bris
  29. Positif : David Wellington
  30. Prendre Gloria : Marie Neuser
  31. Prendre Lily : Marie Neuser
  32. Principe de parcimonie, le : Mallock
  33. Retour à Oakpine : Ron Carlson (lu)
  34. Suburra : Giancarlo De Cataldo
  35. Rivière des indiens, la : Jeffrey Lent
  36. Rural noir : Benoît Minville (lu)
  37. Serre-moi fort : Claire Favan
  38. Trilogie new-yorkaise : Paul Auster
  39. Trois jours et une vie : Pierre Lemaitre
  40. Un prisonnier modèle : Paul Cleave (lu)
  41. Vagabond : Franck Bouysse
  42. Viens avec moi : Castle Freeman Jr. (lu)
  43. Solomon Gursky : Mordecai Richler
  44. Petit traité de la fauche : Jim Nisbet
  45. Ce qu’il nous faut, c’est un mort : Hervé Commère
  46. Julian : Robert-Charles Wilson
  47. Les Affinités : Robert-Charles Wilson
  48. Psychiko : Paul Nirvanas
  49. Les saisons de la nuit : Colum McCann
  50. Et que le vaste monde poursuive sa course folle : Colum McCann
  51. Les Brillants – T2 – Un monde meilleur : Marcus Sakey
  52. Captifs : Kevin Brooks
  53. Condor : Caryl Férey

Descente en bouquineries : juin 2015

BILAN - Coyote road runner descente bouquineries OKEt oui, fin du mois de mai, j’avais été faire un tour dans mes endroits de perditions préférés : les magasins qui vendent des livres !! Bon, que je vous explique pour le cas où vous ne sauriez pas ce que c’est un livre… C’est un truc en papier où un auteur a tamponné des tas de mots pour faire des phrases.

Bref, j’ai fait péter la CB en neufs et en occase, sans compter que j’y suis retournée en juin pour quelques autres petits achats de dernière minute.

Je ne comptais pas faire d’article, mais Christelle de FB tient beaucoup à découvrir mes derniers achats, alors, ce petit article est pour elle ! Ma grande, j’ai assez bien de romans américains dans ma besace du jour !

Autopsie du désastre financier :

  1. Donald Westlake : La mouche du coche
  2. Anderson Kent : Sympathy for the devil
  3. Uraban Waite : La terreur de vivre
  4. R.J Ellory : Papillon de nuit
  5. Franck Thilliez : Pandemia
  6. Ross MacDonald : À chacun sa mort
  7. Dominique Manotti : Or noir
  8. Thomas Kelly : Le ventre de New-York
  9. Thomas Cullinan : Les proies
  10. Nick Tosches : Dino – La belle vie dans la sale industrie du rêve
  11. Daniel Quiros : Été rouge
  12. Marie Neuser : Prendre Lily
  13. Lori Roy : Les secrets de Bent Road
  14. Tonino Benaquista : Malavita encore
  15. Philippe Georget : Les violents de l’automne
  16. Ann Granger : La curiosité est un vilain défaut
  17. Wessel Ebersohn : Coin perdu pour mourir
  18. Ronald Hugh Morrieson : L’épouvantail
  19. William Mcilvanney : Les papiers de Tony Veitch
  20. Michael Farris Smith : Une pluie sans fin
  21. Ray Celestin : Carnaval

Descente en bouquineries : ma PAL a pris du viagra et elle a gonflé !

BILAN - Shopping - tumblr_my7f24Jw911r7ufkeo1_500Oui, je sais, je ne devrais pas aller dans ces endroits de perdition, mais que voulez-vous, dehors, il pleut, le temps est morose alors qu’hier il était si rose (sous le soleil, assise sur un banc avec « Leçons d’un tueur »).

Alors, j’ai décidé de me faire le grand chelem : FN**, bouquineries et Fili****** !

Ça faisait tout de même un mois que je n’avais plus acheté de livres ! Non, mais…

D’ailleurs, je n’avais pas fait d’article avec mes achats du mois de mars, donc, je vais les groupir avec ceux d’avril et ajouter mes quelques achats numériques du mois.

  • Barbato Paola : À mains nues
  • Colin Niel : Les hamacs de carton
  • Siegel James : Storyteller
  • Brian Hart : Au bord du monde
  • Scott James : Retour à Watersbridge
  • Michaël Punke : Le revenant
  • Mørk Christian : Darling Jim
  • Brown Frédéric : La bête de miséricorde
  • Yana Toboso : Black Butler 17 [MANGA]
  • Yana Toboso : Black Butler 18 [MANGA]
  • Le Corre Hervé : Cœurs déchirés
  • James Lee Burke : Dernier tramway pour les Champs-Élysées [Dave Robicheaux 13]
  • James Lee Burke : Le brasier de l’ange [Dave Robicheaux 8]
  • James Lee Burke : Dixie City [Dave Robicheaux 7]
  • James Lee Burke : Sunset Limited [Dave Robicheaux 10]
  • Marin Ledun : Les visages écrasés
  • Marcus Malte : Les harmoniques
  • Ernest J. Gaines : Dites-leur que je suis un homme
  • Baudou & Gayot : Le dictionnaire de Sherlock Holmes
  • Pascal Dessaint : Le chemin s’arrêtera là
  • Marini / Desberg : Le Scorpion – T11 – La 9ème famille [B.D]
  • Swolfs Yves : Prince de la Nuit – T7 – Première mort [B.D]
  • Komusubi Haruka : Les enquêtes de Sherlock Holmes [MANGA]
  • Wessel Ebersohn : La tuerie d’octobre
  • Paco Ignacio Taibo II : Ombre de l’ombre
  • Forrest Carter : Josey Wales, hors-la-loi
  • Ishinamari / Ishikawa : Sherlock Holmes [MANGA]
  • Glen Duncan : Dernier Loup-garou
  • Carin Gerhardsen : Dissonances
  • Sonja Delzongle : Dust
  • Shane Kuhn : Guide de survie en milieu hostile
  • Glendon Swarthout : Homesman
  • Saul Black : Leçons d’un tueur
  • Fitzek & Tsokos : L’Inciseur
  • Edgar Cantero : Le Monde caché d’Axton House
  • Jay Martel : Prime Time
  • Christoffer Carlsson : Le Syndrome du pire
  • Ross MacDonald : Trouver une victime

Ça va pas aider ma PAL à maigrir… Loin de là ! : Descente à la Foire

BILAN - Shopping - tumblr_my7f24Jw911r7ufkeo1_500Samedi, c’était la Foire du Livre à Bruxelles et j’ai bien entendu fait le déplacement. Pas vraiment pour les livres, mais pour retrouver la bande de Zinzins qui sévit sur Fesse de Bouc, Babelio ou sur les blogs (Foumette et Yvan).

Déjà, à mon arrivée, j’ai été plus que gâtée… mais là, je ne dirai rien (sauf contre versement conséquent sur mon compte en banque Suisse). Purée, j’ai failli faire pipi dans ma culotte de joie.

Ensuite, direction l’entrée ou la cohue sévissait pour échanger les tickets achetés en prévente contre une entrée. Par contre, niveau file « achat tickets sur place », là, c’était le grand luxe puisque la file était toute petite. L’année dernière, c’était le contraire et j’étais entrée en 5 minutes ! Là, on a bien mis 30 minutes et purée, ça fait ch***.

Quelques achats pour moi, quelques dédicaces aussi (malheureusement, le programme de la FLB étant mal fichu, des auteurs n’étaient pas présent au stand où je les attendais mais ailleurs) et, ce qui sauve cette journée, c’était la présence de 7 membres avec lesquels je m’amuse toujours comme une petite folle (et la petite Alice fut sage comme une image malgré son jeune âge).

Si j’ai craqué sur trois ouvrages publiés aux éditions Bragelonne, c’est en raison de leurs couvertures superbes et de leurs tranches dorée (c’était le mois du cuivre chez eux).

Mes folies :

  • Larry Watson : Montana 1948
  • Joseph Hansen : Graveigger
  • Henry Bauchau : Le régiment noir
  • Cormac McCarthy : La trilogie des confins
  • Patrick Sénécal : Sur le seuil (dédicace)
  • Andrée Michaud : Bondrée
  • Tim Powers : Les voies d’Anubis (cover magnifique)
  • Emma Jane Holloway : Une étude en soie (cover superbe)
  • Mark Gatiss : Le club Vesuvius – Lucifer Box 1 (cover superbe)
  • Edward Bunker : La bête au ventre
  • Donn Pearce : Luke la main froide
  • Donald Westlake : Argent facile
  • Collectif : Brèves de noir (pour les 10 ans du QDP Lyon)

Argent facile - Westlake Bête au ventre (la) - Edward Bunker Bondrée - Andrée A Michaud Brèves de noir - Collectif Club Vesuvius - Lucifer Box 1 - Mark Gatiss Gravedigger - Hansen Lule la main froide.indd Montana 1948 - Larry Watson Régiment noir - Henry Bauchau Sur le seuil - Sénécal Trilogie des confins - McCarthy - Ed de l'Olivier Une étude en soie - Holloway Emma Jane Voies d'Anubis (les) - Tim Powers

Descente en bouquineries

BILAN - Sherlock Bouquineries acheté que ça - OKHé, oh, j’ai été sage, hein… Juste 5 livres ! J’ai même honte, tiens, de le signaler. M’enfin (comme le disait si bien Gaston), j’ai trouvé de la qualité, alors, je vais pas la ramener.

Malgré tout, c’est l’inconvénient des boutiques de seconde main : parfois, on sort avec 30 romans et puis… il y a des jours où c’est la dèche ! Tout dépend de leurs arrivages et là, les rayons étaient un peu… comment dire ? VIDES ! (enfin, selon mes critères et selon ma wish-list).

Niveau économies, c’est dut tout bon des rayons vides et je ne sais pas pourquoi, mais Chouchou avait un sourire de satisfaction affiché sur joli minois lors de mon retour. Allez savoir pourquoi…

  1. Jo Witek : Un hiver en enfer
  2. Patrick Graham : Des fauves et des hommes
  3. Haskell Smith : Défoncé
  4. James Lee Burke : Les dieux de la pluie
  5. Thomas Bronnec : Les initiés

Descente en bouquinerie : ça va pas arranger ma PAL !! (35)

BILAN - Descente bouquineries RAT OK

Hé oui, j’ai sombré de nouveau… Les A.A (Acheteurs Anonymes) ne peuvent plus rien pour moi, je suis définitivement perdue !

Mes vacances ont déjà été propices à l’achat compulsif afin de faire remonter le PIB de la France que l’on disait moribond. N’écoutant que mon grand cœur, j’ai acheté des livres dans un supermarché (sorry, mais dur de trouver un magasin de livres chez vous), sur un marché (coincé entre les légumes et les fromages) et dans une petite boutique, le tout durant mes 15 jours de vacances.

Samedi 05 juillet, j’ai eu une nouvelle crise d’achetite aiguë et vu le temps déprimant, je suis allée faire un tour en ville pour profiter des soldes. Hélas, mes pieds ne se dirigèrent jamais vers la rue commerçante, mais ils n’emmenèrent vers les lieux de perdition que sont les bouquineries bruxelloises !

Bilan ? Monstrueusement excellent ! Je suis tombée sur des tas de livres que je cherchais, bon, pas tous, mais cela m’évitera de grosses dépenses à la FNAC pour les acquérir. Vu la somme dépensée en bouquineries, dans un magasin, je n’aurais eu que 4 livres en belle édition 😦

Achats France :

  1. Ces lieux sont morts : Patrick Graham (Neuf)
  2. Karoo : Tesich (Neuf)
  3. Swan Peak : James Lee Burke (Neuf)
  4. Un intérêt particulier pour les morts : Ann Granger (Neuf)
  5. African Tabloïd : Otsiemi
  6. Djebel : Vincent
  7. Aimer et laisser mourir : Bosco
  8. Orphelin de sang : Bard
  9. Balancé dans les cordes : Guez
  10. La Môme vert de gris : Cheney
  11. Cet homme est dangereux : Cheney
  12. Drive : Sallis
  13. Le Grand braquage : Hammett
  14. Nid de poulet : McBain

Achat en bouquinerie bruxelloises :

  1. Bastards : Ayerdhal
  2. Incident à Twenty-Mile : Trevanian
  3. Mais délivrez-nous du mal : Gouiran
  4. Le Loup : Katzenbach
  5. La Mort en rouge : Gaulon
  6. Maudit mercredi – Le jour où les jeunes filles rencontrent la mort : Nicci French
  7. Muraille de lave : Indridason
  8. La Route : McCarthy
  9. Tijuana Straits : Nunn Kem
  10. Robe de marié : Lemaitre
  11. 1280 âmes : Pouy
  12. Dans la vallée de l’ombre de la mort : Mitchell
  13. La Main droite du diable : Bruen
  14. Une valse au Texas : Crawford
  15. L’Année du volcan : Parot
  16. Temps de la prophétie : Parris SJ
  17. Triple Crossing : Rotella
  18. Quand se lève le brouillard rouge : Cook
  19. La malédiction du gitan : Crews
  20. Dernière victime : Menard
  21. Jours de combat : Paco Ignacio Taibo II

Cover des achats français dans l’ordre du billet :

Cover des achats bruxellois dans l’ordre du billet :

Descente en bouquineries : ça va pas aider ma PAL… Non, ça c’est sûr !

PAL - MordorRhôôô ! J’ai presque honte de l’avouer, mais ayant deux semaines assez « hard » niveau boulot, sans compter des plantages de PC, une montagne de paperasses qui m’a rendue allergique à tout papier (sauf le PQ, ouf) et une grosse fatigue vendredi soir, j’avais envie de me faire plaisir tout en profitant du soleil de cette fin de mois de mars.

La chasse (ou la pêche, c’est selon vos loisirs) fut bonne !! La moisson de livre était telle que je me suis abstenue de faire les deux autres bouquineries.

À ma décharge, le sac était chargé de 19 livres et pas que des poches ! Et que des occases 😉

  1. Mention Michael : Adieu Demain
  2. Cook Robin : J’étais Dora Suarez
  3. Hillerman Toni : Le vent sombre
  4. Dickinson : Quelques morts avant de mourir
  5. Ellroy : Le grand nulle part (Le Quatuor de Los Angeles, T2)
  6. Ellroy : White Jazz (Le Quatuor de Los Angeles, T4)
  7. Ellroy : Clandestin
  8. Ellroy : À cause de la nuit (La trilogie Lloyd Hopkins, T2)
  9. Bill Franck : Chiennes de vies – Chroniques du Sud de l’Indiana
  10. Favan : Le tueur intime
  11. Favan : Apnée Noire
  12. Harrison : Manhattan Nocturne
  13. Camut & Hug : W3 – Le sourire des pendus
  14. Norek : Code 93
  15. Ledun : L’homme qui a vu l’homme
  16. Molfino : Monstres à l’état pur
  17. Colette : Un vent de cendres
  18. Corbett : Une certaine vérité
  19. Mc Bain : Mourir pour mourir

À cause de la nuit - Ellroy Adieu Demain - Mention - RN Apnée Noire - Favan Chienne de vie - Bill Franck - Folio Clandestin - Ellroy Code 93 - Norek Grand nulle part - Ellroy Homme qui a vu l'homme - Ledun J'étais Dora Suarez - Cook Manhattan Nocture - Harrison Monstres à l'était pur - Molfino Mourir pour mourir - Mc Bain Quelques morts avant de mourir - Dickinson Tueur intime - Favan Un vent de cendres - Colette Une certaine vérité - Corbett Vent Sombre - Hillerman W3 Le sourire des pendus - Camut Hug White Jazz - Ellroy