Nana : Émile Zola – Dans la collection « Les Vieilleries de Dame Ida » [Fiche de lecture non académique]

Titre : Nana – Les Rougon-Macquart – Tome 9

Auteur : Émile Zola
Édition : Le Livre de Poche (31/08/2003)

Résumé :
Zola brûlait d’écrire Nana.

« Je crois que ce sera bien raide. Je veux tout dire, et il y a des choses bien grosses. Vous serez content de la façon paternelle et bourgeoise dont je vais peindre les bonnes filles de joie. »

En fait de joie, l’actrice, Nana, dévore les hommes, croque les héritages et plonge les familles dans le désespoir.

Belle et prodigue, elle mène une danse diabolique dans le Paris des lettres, de la finance et du plaisir. En se détruisant elle-même, elle donne le coup de grâce à une société condamnée, détestée par Zola.

Neuvième volume de la série des Rougon-Macquart, Nana est le plus enivrant d’érotisme et de passion déchaînée.

« Nana tourne au mythe, sans cesser d’être réelle. Cette création est babylonienne. » Flaubert

Le résumé de Dame Ida :
Vous vous souvenez de la Gervaise Macquart de l’Assomoir ? Nan ? L’avez pas lu ? Et ben c’est pas grave puisque c’est de sa fille qu’on va parler aujourd’hui.

Ben oui, le Zola il est comme ça… Quand il commence à écrire, c’est pour vous déployer toute l’histoire d’un arbre généalogique de cassos… Les Rougon-Macquart…

Bref, la Gervaise elle a eu un mioche avec le père Coupeau et comme c’était une pisseuse, ils l’ont appelée Anna, qui est vite devenue Nana, la p’tite nana bien connue des messieurs puisqu’en cloque à 16 ans, elle a eu un p’tit garçon qu’elle a refilé à une nourrice et elle est partie battre le bitume à Paris et se faire entretenir par des messieurs un peu plus fortunés pour l’élever.

Petit commentaire à ma façon au passage… On bosse toutes pour élever nos mioches… Et on est pas obligé de faire le plus vieux métier du monde pour autant… d’autant qu’à l’époque de Nana… à 16 ans, il y a bien longtemps que les jeunes étaient partis bosser quand les parents n’étaient pas pétés de thunes, puisque c’était la seule condition pour aller à l’école.

Ceci étant dit revenons-en à nos moutons, ou plutôt à notre Nana qui tond les vieux boucs comme des moutons.

Ben ouais, parce qu’elle n’est tout de même pas vilaine la Nana. Au point que bien qu’elle chante aussi faux qu’une meule rouillée, on lui propose un rôle dans une opérette.

Et pas n’importe lequel : le rôle de Vénus ! Et comme il est prévu qu’elle se pavane sur scène pratiquement nue, le public composé majoritairement de mecs applaudit aux éclats, oubliant que sa voix vous scie les tympans et les fait saigner… et que leurs femmes fuient la salle épouvantées !

Elle se maque avec un des comédiens de la troupe, et elle aurait pu mener une vie de ménagère parfaite si ce salaud ne l’avait pas battue comme du plâtre et fait porter les cornes.

Alors elle se barre (enfin, c’est surtout qu’il la fout dehors pour la remplacer par sa nouvelle pouffiasse), se lie avec une certaine Satin, amatrice de tarte aux poils et périprostipute professionnelle de son état.

Il ne faut rien de plus que cette mauvaise influence pour que Nana et reprenne le tapin avec sa nouvelle maîtresse.

Marion Game & Véronique Genest (1981)

Après avoir bouffé tous ses ronds, elle accepte de devenir la cocotte du Comte Muffat, c’est-à-dire de signer un contrat d’exclusivité pour ne prodiguer qu’à lui ses services sexuels en échange d’un toit, et d’une somme assez rondelette pour vivre très décemment, et se changer quinze fois par jour avec des robes hors de prix que même feu Karl Lagerfeld n’aurait pas osé imaginer.

Ben oui, à cette époque, un mec qui avait réussi dans la vie, il n’avait pas encore de Rolex ou de grosse berline hors de prix pour exhiber son statut ! Il devait avoir une cocotte, belle, bien entretenue, pour la montrer à son bras en ville lors de ses sorties entre potes…

Sur quoi tu louches ??

Ben ouais, quand il sortait avec sa dame, ou allait avec elle à la messe… la cocotte restait au placard. Faut pas pousser non plus.

C’était les mœurs de l’époque d’ailleurs Stéphane Bern avait sorti un Secrets d’Histoire exprès sur les « Grandes Horizontales », c’est-à-dire sur les périprostiputes de luxe de l’époque qui amassaient des fortunes en diamants en ruinant ces vieux dégueux pleins de sous qui étaient obligés de payer pour s’envoyer en l’air vu qu’avec leurs légitimes, tout se faisait habillé, dans le noir entre un ave et deux paters, dans la position du missionnaire…

Et si Monsieur pouvait se dépêcher c’était pas plus mal parce que ces dames qu’ils avaient épousées pour leur dot, en bonnes catholiques, n’aimaient pas ça du tout.

Anybref, la voilà entretenue par le Comte Muffat, qui en public fait croire qu’il est un parangon de vertu (Hou là ! Comme je cause bien tout à coup ! Faut pas que je me relâche !), devient le petit toutou à sa Nana, qui prend des amants à la pelle (et les sous de ses amants… rien est gratuit… attention !) et renoue avec son béguin lesbien qu’est la Satin.

L’un d’entre eux, un certain Comte en banque… heu non… de Vandeuvres, appelle une pouliche Nana et la fait courir à l’hippodrome en son honneur, et la bestiole gagne.

Sauf qu’il est accusé de tricherie, se suicide en mettant le feu à son écurie, un de ses amants est arrêté pour détournements de fonds pour payer ses passes chez Nana, le très jeune frère de celui-ci que Nana a dépucelé au passage, se suicide, transi d’amuuuuur pour elle…

Et son Comte Muffat finit lui aussi totalement sur la paille après qu’elle lui ait fait financer un lit spectaculaire tout en bronze doré, aussi orné que l’autel d’une cathédrale dans laquelle on célèbrerait de drôles de messes païennes !

Ben attends ! À gagner sa vie couchée, autant le faire confortablement en pétant dans la soie, la Satin et le velours !

Pour la petite histoire sachez qu’une courtisane ayant réellement existé à cette époque, une certaine Valtesse de la Bigne, s’était fait faire un tel lit que l’on peut aller admirer au musée des arts décoratifs de Paris aujourd’hui…

Car la Nana de Zola, c’est une sorte de cocktail réunissant le parcours de plusieurs cocottes de la fin du second empire : Valtesse de la Bigne, Delphine de Lizy, Cora Pearl, Hortense Schneider, Anna Deslions…

Et la figure du comte Muffat est l’archétype du pigeon, qui prend pour tous les autres volatiles de son espèces qui sont allés claquer la dot de leur femme, l’assurance vie des enfants, leur plan d’études, la paye de leurs employés et leurs arriérés d’impôts chez ces dames de petite vertu…

Tout ça pour dire que partout où Nana passe, les mecs et les fortunes trépassent ! Que de scandales ! Voici, Gala, Coins de rue – Images Immondes en auraient fait leurs choux gras.

Comme Nana dépense sans compter, elle aussi finit endettée, et elle doit vendre tous ses trucs aux enchères, même son baisodrome de compétition de lit et se retirer à la campagne ou, la morale sera sauve : elle trépasse à dix-huit ans à peine, emportée par la variole, totalement défigurée, et ruinée.

C’est bien fait ! Elle n’allait tout de même pas emporter au paradis son lit et toute la thune qu’elle avait piquée en couchant avec des vieucs ! Non mais !

MON HUMBLE AVIS :
Si vous ne devez lire qu’un seul Zola dans votre vie, lisez celui-là.

Le thème est léger, la prose parfois acide et délicieuse (j’adooooore la première phrase du chapitre deux « Et Nana devint une femme chic, marquise des hauts-trottoirs, rentière de la bêtise et de la luxure des mâles » – je cite de mémoire… y a p’t’être des erreurs…), et Zola révèle, que dis-je, dénonce les mœurs hypocrites des grands bourgeois de cette époque, qui étaient censés être fourrés à la messe tous les dimanche, se voulaient conservateurs, attachés à l’ordre de leur établi (oui, je sais… c’est pas tout à fait comme ça que ça s’écrit!) etc… et qui entre copains jouaient à qui se taperait la périprotipute la plus chère de Paris !

Un pur délice !

J’ai kiffé grave la race de ma mémère, et je vous recommande ce bouquin de toute urgence…

En plus il est pas très épais et écrit assez gros, même s’il y a pas d’images (c’est dommage d’ailleurs… mais sur internet on pourra trouver tout ce qu’on veut en matière d’illustrations…) !

 

37 réflexions au sujet de « Nana : Émile Zola – Dans la collection « Les Vieilleries de Dame Ida » [Fiche de lecture non académique] »

  1. Bin c’est ce livre qui m’a decide a abondonner la cycle Rougon Macquart…vraiment c’est un sadique avec ces heroines….deja Gervaise qui partait pour gagner sa vie…bin non paff…la voila toucher le fond….de meme pour Nana…ce n’est pas possible pour Zola qu’une femme soit une gagnante et reussisse sa vie….mais pourquoi Nana est allee se marier avec ce gros debile moche et qui la tabasse alors qu’elle avait Paris a ses pieds ?…non Zola n’aime pas les gagnantes….le suivant que je devais lire….la joie de vive….meme schema avec Pauline…alors non…j’ai arrete…;) pourtant j’ai adore pot bouille, une page d’amour, au bonheur des dames et son excellence…

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    • Je ne me souviens pas qu’elle se soit mariée avec son acteur. Ils vivaient ensemble c’est tout… Et ouais… c’est ça l’amuuuuuur ! 💔 Pas rationnel! Et c’est d’ailleurs ce qui l’a rend sympa Nana : elle peut aimer gratuitement ! Elle est pas juste vénale.

      Pour le reste… Mouais… assez d’accord sur le sadisme de Zola et sur le fait que les romanciers de l’époque étaient plutôt machistes mais… j’ai pas tout à fait le même point de vue sur ce qu’est être une «gagnante»… pour moi c’est tout sauf être une «gagneuse». 😉 Devoir avoir les jambes en l’air toute la journée devant des vieux moches pour avoir Paris a ses pieds ça ne m’a jamais bottée… surtout que dès que tu chopes des rides ils te renvoient tapiner en maison d’abattage! Et je ne te parles même pas des ravages de la syphilis qui ne se traitait pas à l’époque, et qui commençait par te défigurer avant de te rendre folle et morte pour toujours en quelques années… Bref j’ai franchement du mal à imaginer qu’on puisse « gagner » via un tel parcours. C’est bien pour ça que j’encourage ma fille à passer plus de temps sur ses devoirs que devant son miroir! Qui voudrait que sa fille fasse ce genre de job bien glauque ???🤔

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      • Et puis, pour faire bander les vieux moches, pas de pilule bleue… et je pense que ça devait fouetter grave dans les calbutes en laine de mérinos à cette époque, sauf si ces messieurs se lavaient la tchole avec application… Bon avec les jambes en l’air, moins de risques de se taper des varices 😆

        Ok, je vais faire un tour dehors… 😀

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      • Et bin justement certaines cocottes arrivaient et avaient une retraite bien reposante….Zola en parle bien justement dans Nana avec de grands noms qui rendaient jalouse Nana….mais il est vrai qu’elles sont assez rares…et pour Germaine, ce n’etait pas une cocotte, mais une blanchisseuse qui avait sa boutique et commencait a bien fonctionner (2 travailleuses)…jusqu’a ce que Zola lui rende son mari alcoolique et lui remette son ex dans les jambes….justement de meme pour Nana…..une montee fantastique dans le monde parisien jusqu’a ce fou moche….;)

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        • Effectivement certaines grandes cocottes ont été capables de bien gérer leurs affaires (la Paiva, Liane de Pougy, Valtesse de la Bigne…) mais elles sont peu nombreuses par rapport à celles qui ont fini dans la misère. Le cas de la Belle Otero est exemplaire: elle a tout perdu au jeu dans les casinos. Beaucoup de prostituées n’arrivent pas à assumer l’argent gagné ainsi car chaque passe leur fait revivre le traumatisme qui les à envoyées là ! Otero avait été violée à 12 ans et rejetée ensuite par sa mère et contrainte à vivre d’expédients… beaucoup de femmes prostituées ont « accepté » l’instrumentalisation de leurs corps parce qu’elles en avait été destituées de leur corps (beaucoup disent n’être pas présente lors des passes) par une agression sexuelle précoce. Ce qui rend l’argent gagné ainsi symboliquement insupportable car chaque centime les renvoie à leur traumatisme. Bref « les filles de joie » ne sont pas si joyeuses en réalité. En plus se prostituer engage des gros frais professionnels car les cocottes ou calligraphie girl d’aujourd’hui devaient ou doivent investir des fortunes en fringues, accessoires etc pour capter le client. On ne trouve pas de riches clients habillées en guenilles!!! Les cocottes devaient tenir leur rang (hôtel particulier, équipage de chevaux, des robes à n’en plus finir des bonnes etc..). Il fallait avoir de treeees gros clients pour en mettre vraiment de côté.

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          • Euh de 1/ je ne defends pas le faite d’etre une cocotte… »que c’est super cool » non vraiment pas…de 2/ oui je sais tout cela….
            Ce que je dis est que Nana avait tout pour etre une cocotte adulee…tous les mecenes et les bons mecenes lui couraient apres…alors pourquoi Zola a voulu la mettre avec un loser de bas echelle alors que tout lui souriait ? non il aime martyriser ses heroines…et cela en est insupportable pour moi…pourtant Germaine et Nana etaient plutot posees…et avaient leur futur bien en tete…bin non il les a martyrisees pour les faire mourir dans les bas fonds….meme apres son voyage avec le prince russe, ce n’etait pas possible pour lui de la faire mourir dans des draps de soie….

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            • Je me doute bien que tu n’es pas pour l’esclavage sexuel! T’inquiète !😁 Quand je défends un point de vue je n’attribue pas à mes interlocuteurs ce qu’ils n’ont pas dit. 😉

              Zola est dans le courant réaliste donc il n’allait pas forcément donner à Nana un avenir idyllique. Il devait être conforme au mot commun. En outre ça lui aurait valu des ennuis que ça finisse bien.

              Je ne me souviens pas d’une Nana si posée et calculatrice à long terme… Je la trouve attachante mais plutôt primesautière et capricieuse donc moins à même de se faire un buiseness plan comme d’autres qui ont eu la jugeote d’investir dans le diamant et la pierre… ou de se faire épouser.

              Il ne faut pas oublier l’époque où Zola écrit… l’ordre moral et toussa toussa… une prostipute ne pouvait pas s’en sortir autrement que ruinée, défigurée et morte. Sinon ça aurait fait scandale.

              N’oublie pas le final cucul du bonheur des dames… où la jeune femme ne peut succomber aux avances du patron qui lui fait la cour depuis des mois que s’il l’épouse…

              Ou le scandale de Mme Bovary et du procès pour outrage aux bonnes mœurs fait à Flaubert pour avoir raconté une histoire d’adultère même en faisant expier sa gourgandine par une longue et douloureuse agonie dans la honte et la ruine (comme Nana!).

              Chuis pas certaine que ce soit Zola le sadique dans l’affaire. C’était la morale se l’époque surtout.

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              • Bin on parle quand meme de celui qui a ecrit le fameux « J’accuse »….et Pot Bouille (ou cela copule a tout va dans l’immeuble….on a meme droit a un menage a 3)…..mais bon la misogynie de Zola semble assez reconnue comme celle de Maupassant….;)

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                • Et Proust était un tricheur, il a magouillé pour avoir le Goncourt réservé normalement aux jeunes auteurs et de ce fait à niqué Dorgelès et ses « croix de bois ». J’ai aussi lu qu’un autre auteur était un antisémite notoire, mais on le crie moins que pour Céline… C’était Proust ou pas ? Je sais pu…

                  Thérèse : Vous n’êtes pas sans savoir que les homosexuels sont des gens comme les autres, comprenez d’ailleurs, ils sont souvent très fins, voire cultivés, regardez donc Marcel Proust et André Gide.
                  Katia (qui chante) : Talalala, et je dis merde à l’amour… Oh, mais il coince ce fromage ! On dirait les coulisses de l’Alcazar ! Hahahaha ! Tadadada…
                  Pierre : Thérèse, vous êtes sûre que Proust était homosexuel !?

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                • oui mais leur misogynie se voit au travers de leurs personnages feminins dans les romans…Balzac arrive quand meme a rendre hommage a beaucoup et a la gente feminine….mais boudiou tout un debat lala….lol

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        • Oui les zhômes aiment souvent se sentir supérieurs aux fâmes… mais en l’occurrence je pense que c’est surtout l’époque qui voulait qu’une pécheresse ne puisse profiter du fruit de son péché et qu’elle expie douloureusement après avoir perdu tous ses charmes.

          Même un siècle avant Mme de Merteuil après avoir été humiliée publiquement pour ses perversités avait dû subir une variole la laissant défigurée.

          Pour qu’un bouquin ou un film se vende il ne faut pas qu’il contrarie trop les codes moraux. Faut voir comment pour la fin de la saga des aventures d’Hannibal Lecter, ils ont modifié la fin du film parce que celle du livrent était trop dérangeante pour Hollywood! Même la fin de la série devait être morale!!!

          Les valeurs peuvent changer avec les époques… Mais pas le besoin de faire en sorte que ces valeurs soient trop malmenées dans la fiction qui s’adresse à un large public.

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  2. Oui! Zola à la réputation d’être un auteur ennuyeux car ses sujets réalistes étaient pour lui une façon de dénoncer son époque. Son écriture était à la limite de la revendication politique… et ça c’est généralement vite casse-pieds. Sauf que Nana est un personnage léger, attachant et même parfois drôle! Et puis le sujet… le rapport au sexe et au désir (et pas seulement à la prostitution même si pour le bourgeois de l’époque il n’y avait qu’avec les prostituées qu’on pouvait aborder la question du désir, la légitime n’étant qu’un utérus qui se serait presque passée de vagin si elle avait eu le choix !). Il dévoile aussi un point qu’on rencontre souvent lorsqu’on écoute attentivement les témoignages de certaines femmes qui ont été obligées de se prostituer: alors que la prostitution est par essence un asservissement de la femme réduite à l’état de marchandise, une forme de résilience les conduit parfois à renverser le rapport de force en traitant le client comme un pantin. Cela leur permet de rendre la situation moins insupportable. Il y a quelque chose de très juste dans ce livre.

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