Titre : Gil Jourdan – Tome 10 – Le Chinois à 2 roues
Scénariste : Maurice Tillieux
Dessinateur : Maurice Tillieux
Édition : Dupuis (1967)
Résumé :
Se reposant de trépidantes aventures, Gil Jourdan est approché par un commerçant chinois.
Monsieur deux roues est en effet un homme fort préoccupé. Il a le monopole de vente de scooters en Chine et ô malheur, doit faire face à des importateurs parallèles faisant passer en fraude des scooters par le Wijang, soit le bout de la Chine, proche de l’Inde.
Gil Jourdan accompagné de ses deux fidèles compères part donc enquêter. Parce que Monsieur deux roues en dépit de toute son influence, est incapable de faire arrêter ce trafic qui vient contrarier son ô combien confortable monopole.
La Chine, c’est grand, y compris pour les douaniers. Voici donc le détective privé français en train de combattre des contrebandiers dans les montagnes de Chine.
Critique :
Ils sont arrivés à pied de la Chine… Et cassez-vous les méninges avec cette contrepèterie offerte.
Bon, nos amis auraient mieux fait de prévoir des parapluies, des K-Way et ne pas partir en costumes cravates pour leur enquête en Chine qui aura tout d’un « Salaire de la peur » ou de « La course de la mort » dans certaines portions de route.
Et oui, nos amis vont en baver, et surtout en être tout trempé à cause des conditions météo : de la pluie, de la pluie, de la flotte, de la drache que même chez nous, en Belgique, il ne tombe pas autant de cordes et de hallebardes !
De nouveau un festival de bons mots en tout genre, de dialogues croustillants, de personnages drôles, même dans les méchants (surtout dans les méchants), de situations critiques dont on se demande s’ils vont arriver à s’en sortir.
Je ne sais pas si Tillieux s’était renseigné sur le paysage des contrées un peu perdues de la Chine, mais ses dessins font honneur aux décors et l’ambiance est polardeuse à souhait avec cette enquête sur le trafic de scooter.
Pas de temps mort, pas le temps de se reposer, dès la première case, Tillieux nous présente un camion jaune qui brinqueballe dans la boue, sous la pluie et les cases suivantes, nous retrouvons notre trio sous le soleil, à la terrasse d’un café.
On est accroché, on se demande comment on a fait pour passer de la terrasse du café sous le soleil à la côte boueuse qui précédait ces cases.
Une enquête bourrée de rebondissements, d’action, de flotte, de bons mots jubilatoires, de situations cocasses, de courses-poursuites, de pièges en tout genre, de baffes et de trafiquants de tout poil.
Moi, j’adore.
Challenge Thrillers et Polars de Sharon (2017-2018) et le Mois Belge chez Mina et Anna (Avril 2018).
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Bin j’ai toujours ete nulle pour les contrepeterie….mais celle-la…quand meme easy…lol
et bin encore une bien belle aventure…mais trop drole deja que des inspecteurs francais enquetent en chine…lol
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OMG contrepeterieS…OMG…je reprends encore plus de cafe lala….;)
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Bon, je sors, parce que je vais me faire expulser de mon propre blog !
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oohh oui souffle souffle…;)
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amuse-toi avec « la poule qui mue »
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oui bon lala 4 mots dont 2 majeurs…les solutions ne sont pas enormes…easyyy meme pour moi…lol
allez a toi… »l’homme boude quand on touche son banc »
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Géniale ! Oui, on déplace les sons « ou » et « an » et il est un fait que lorsqu’on lui touche son bout… il bande ! mdr
Là, je me suis arrachée les cheveux alors qu’elle était simple (shame on me) : « Quais du polar »
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OMG je suis vraiment nulle…je trouve pas….quart du polais ?…mais cela ne veut rien dire…lol
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J’ai eu du mal aussi… tu inverses le « q » et le « r » de polar… la raie du polak (phonétique) !
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vraiment cela doit etre un mot argotique que je ne connais pas….;)
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Polak ? Polonais en argot. Quand à la raie, c’est celle que l’on voit quand un mec se met accroupi… 😆
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oh tu as donne la reponse…mdr…j’avais pas vu….oui effectivement…c vicieux…deja que je suis nulle…j’ai pas pense a la derniere lettre…mdr…;)
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J’avais séché aussi sur ce contrepet ! Il était simple quand j’ai eu la solution, mais en attendant, j’ai trituré mon canard dans tous les sens :p
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bin tu vois…je suis comme ca…tout le temps…a triturer mon canard….lol…
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Un Canard, c’est fait pour être retourné dans tous les sens, la liberté de presse ne s’use que si l’on ne s’en sert pas.
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bin y’a pas de contrepeterie la dedans…autrement joliment dit….ouii
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Non, c’est la phrase que le Canard utilise comme slogan, comme devise, comme le Figaro a « sans la liberté de blâmer, il n’y a pas d’éloges flatteurs ». 😛
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c’est nettement mieux que le choc des photos…etc etc….lol
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Le choc des photos… Il y a une contrepèterie dedans ? 😆 Le phoque des chocos ? 😀
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mdr…tu vois, tu cherches aussi la contrepeterie dans les titres des journaux…lol
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Parfois, je vois des contrepets partout ! 😆
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moi non…parceque je ne les trouve pas….lol
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Plus tu en fais, plus tu en trouves, l’esprit s’aiguise, comme avec les mots croisés. La semaine dernière, j’ai séché et bloqué sur 2 phrases, pour le reste, j’ai pouffé de rire à chacune de mes trouvailles 😉
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et bin je manque beaucoup d’exercices….et c’est comme les filles et fils a monsieur et madame…je trouve jamais…lol..je te dis un cas desespere…lol
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j’adore les « monsieur et madame ont eu un fils » mais je te rassure, mon mari ne les capte pas non plus et ne rigole même pas 😆
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oh trop trop cooool je ne suis pas seule sur ce coup…yesss
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Quand je pense à ceux qui sont capable d’écrire un texte bourré de contrepèteries ! Là, moi, je ne m’y attaquerais même pas 😀
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Elle est plus easy que certaines dans « le canard enchainé » ! 😀
Une belle aventure, oui, mais la dernière avec les jeux de mots, ensuite, Tillieux sera plus radin avec. Dommage !
Ici, on a une vraie enquête, moins dans le burlesque que « l’enfer de Xique-Xique », tout en conservant l’humour des jeux de mots, même si dans cet épisode là, Crouton et Libellule se « tapent » moins dessus.
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oh zut…c’est le must les jeux de mots….zut..mais cela reste une sacre enquete didonc…;)
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Les contrepèteries du Canard, je m’arrache les cheveux du mercredi au dimanche ! mdr
Oui, une sacré enquête, avec de l’humour, mais enquête tout de même, bourrée de dangers.
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J’aime beaucoup moi aussi !
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Tu aimes quoi ? Gil Jourdan ? Tu les as lu tous ou juste celui-ci ?
Ou alors tu aimes juste ma contrepèterie d’entrée ? J’ai aussi « il était assis sur la berge du ravin »
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J’en ai lu pas mal et j’aime beaucoup. Mais j’apprécie aussi ta contrepèterie ! 😜
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Elle était téléphonée ! Vivement que j’ai un livre avec un ravin ou une berge…
Mes Gil Jourdan, c’est toujours un plaisir de les relire.
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🙂
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