Fatherland : Robert Harris

Titre : Fatherland

Auteur : Robert Harris
Édition : Pocket (16/03/1998)
Édition Originale : Fatherland (1992)
Traducteur : Hubert Galle

Résumé :
Berlin, 1964. Les forces de l’Axe ont gagné la guerre, la paix nazie règne sur l’Europe. L’Amérique a refusé le joug. Mais, dans quelques jours, le président Kennedy viendra conclure une alliance avec le Reich. Ce sera la fin du monde libre.

Deux meurtres viennent perturber les préparatifs. Les victimes sont d’anciens S.S. de haut rang jouissant d’une paisible retraite. Chargé de l’affaire, l’inspecteur March s’interroge.

S’agit-il d’un règlement de comptes entre dignitaires ? Pourquoi la Gestapo s’intéresse-t-elle à l’enquête ? Quelle est cette vérité indicible qui semble menacer les fondations du régime ?

Dans Berlin pavoisé, les bourreaux guettent, prêts à tout pour étouffer les dernières lueurs de la liberté.

Critique :
Purée, le mois d’avril aura été riche en lectures « abandonnées » ! Du jamais vu en 30 malheureux jours.

Ben oui, une fois de plus, voilà un roman que je voulais lire absolument et dont je n’ai pas réussi à franchir le cap.

Ok, j’ai déjà dépassé la page 30, allant même jusque la 111 (le quart), mais que ce fut long et dur !

Pas à cause du fait que les allemands aient gagné la Seconde Guerre, pas du fait que les nazis soient rois, mais à cause du rythme du livre !

Robert Harris, j’avais déjà tenté de le lire avec « Imperium » qui mettait en scène Marcus Cicéron, le brillant avocat et orateur et philosophe célèbre.

Bingo, je n’avais pas réussi à dépasser la page 40 et le roman avait fini dans les dons.

On prend les mêmes et on recommence. Je ne saurai donc jamais qui a tué ces anciens S.S. et entre nous, tant mieux ! Sauf que j’aurais aimé décerner une médaille à leur assassin, moi…

Ou, du moins, savoir dans quel complot ces meurtres bizarres s’inscrivaient et pourquoi on ne voulait pas que l’inspecteur Xavier March, de la Kripo (la Kriminalpolizei de Berlin) poursuive ses investigations.

Là où je me suis arrêtée, on mettait déjà des bâtons dans les roues de ce Sturmbannführer. À vos souhaits.

Mes incursions dans les uchronies ne sont pas toujours couronnées de succès, mais je ne baisserai pas les bras et je reviendrai au genre avec un autre auteur.

Challenge Thrillers et Polars de Sharon (2017-2018), le Challenge « A year in England – 2017-2018 » chez Titine (Plaisirs à Cultiver) et Le challenge British Mysteries (Janvier 2018 – décembre 2018) chez My Lou Book.

32 réflexions au sujet de « Fatherland : Robert Harris »

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