Impressions de lecture du Cannibal Lecteur (page 1 à 200) : Calme, découverte (de la famille, du cimetière des animaux), innocence. Happée directement !
Le début du roman est assez gentil, on fait la connaissance de la famille Creed, papa Louis, maman Rachel, petite Eillie et le bébé Gage. Et le chat Winston Churchill, dit Church. Le voisin, Jud, leur a fait découvrir le cimetière des animaux. J’aime bien, Jud. ♫ Hé, Jud…♪
C’est calme, comme je disais, mais on sent déjà bien que la tension est là, que le Mal n’est pas loin et le King nous a déjà donné quelques petits aperçus du fantastique et un moment de tristesse.
À la page 200, on entre dans une autre dimension. L’effroi !!!
Impressions de Stelphique (page 1 à 200) : Hypnotisée.
Je ne sais si c’est les beaux yeux verts de ce matou qui m’ensorcèlent (ma version de 1986!!!), ou si le King a encore frappé fort, mais je dévore ce livre même, à des heures indues comme 3h du matin (vive la parentalité).
D’ailleurs en parlant de ça, cette jolie famille (avec le choix du roi), risque de ne plus trop apprécier les us et coutumes du Maine racontées par cet énigmatique Jud. Il me fout la trouille, moi, le petit vieux, pas si brinquebalant que ça…… *Frisson*
Impressions du Cannibal (pages 201 à 400) : Légendes,chat, angoisses, peurs, émotions, frissons.
♫ Hé Jud, explique comment ♪ tu connaissais-hé, ces vieilles légendes-endes ♪ Le cimetière ♪ Indien-hin-hin-hin ♪ c’était pas malin, pas malin du tout ♪ (mes plus plates excuses aux Beatles et à Yvan, dont je viens d’écorcher les tympans – et ça rime encore !).
Oh putain de bordel de Zeus ! Les vieilles légendes expliquées par Jud, le voisin d’en face, c’était encore… gérable, dirais-je, pour mon petit cœur.
Mais à la page 300, je me suis pris des émotions plein ma tronche, ma gorge était nouée, mes lèvres tremblaient, mes yeux s’humectaient comme si j’épluchais des oignons et j’ai maudit le King du Maine (qui n’a rien à voir avec le King de Memphis, celui qui est mort le futal baissé sur les mollets, assis sur les chiottes) pour m’avoir donné tant d’émotions dans ce roman que j’adore (mais ÇA reste number one) et qui m’entraine encore plus fort dans la sombritude (© Royal pour l’idée).
Impressions de Stelphique (pages 201 à 400) : Estomaquée
Je me suis pris un coup dans le ventre, un de ceux qui vous coupent la respiration, et puis surtout je l’ai pas vu venir. Un choc envoyé comme ça de but en blanc, c’est hard pour les petits cœurs de lecteurs…. Je me mets à la place de Lou, et, je pense que moi aussi j’aurai entendue la tewwible voix, et à l’heure actuelle je ne sais si je me serai laissée influencer ou pas…. Elle est terriblement insidieuse cette histoire….
J’y retourne vite !!!!!
Impressions du Cannibal Lecteur (pages 401 à 572) : Horreur, souffrance, dégoût.
L’horreur, selon le King, ce n’est pas un monstre sanguinaire, mais un homme éperdu de douleur et qui va aller dîner à la table du diable sans se munir d’une longue cuillère. Peine devant sa souffrance, cœur qui bat plus vite, dégoût devant la scène et heureusement, ce n’est pas en odorama.
Le fantastique est présent, mais pas à la grosse louche, c’est discret, mais d’une précision diabolique. Quand le Mal a besoin d’esclaves ou de petites mains, il fait ce qu’il faut… Poils hérissés sur mes bras, lecture superbe mais éprouvant pour les nerfs.
Impressions de Stelphique (pages 401 à 572) : Peinée.
Comment ne pas avoir la boule au ventre et les yeux tout humides ????!!!!! La tentation était trop forte, la frontière pas si éloignée que cela, et pourtant l’horreur ne nous quitte pas. C’était morbide, mais ce geste désespéré avait quelque chose d’humain.
J’ai fini cette lecture le cœur serré mais avec beaucoup de compassion pour ce père au bord de la folie douloureuse…..
moi qui appréhende les livres d’horreur, je pense que je vais passer mon tour. J’ai en presque des frissons en lisant le billet 🙂
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Tu peux le faire parce que j’ai réussi à le faire !! ;-))
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oui mais toi, tu es habituée aux livres bien horrible. Je suis trop chaste pour cela 🙂
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Chaste ?? MSPD Ce n’est pas parce que je suis habituée aux livres horribles que j’ai envie d’en lire un avec un chat qui se fait écraser ou un chien qui devient enragé ! 😀
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ouf, je suis rassurée 🙂
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mais vous êtes combien là dedans ??? Moi je croyais que le Cannibal Lecteur c’était la Belette et c’est tout !!! je suis perdue je dois dire.
En ce qui concerne le King, dois-je avouer que je n’ose m’y frotter parce que je suis une sacrée chochotte qui a peur d’avoir peur. Et franchement cette chronique schizophrène ne me rassure pas du tout …
bouhhhhhhh
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Alors, pour les LC mensuelle du 15, nous sommes deux : Stelphique, ma binôme et Cannibal Lecteur qui n’est autre que la Belette. Bon, tu nous diras que barrée comme nous le sommes, nous sommes sans doute plusieurs dans notre petite tête ! mdr
Je n’osais pas lire certains King : ça, shining, simetierre, cujo, carrie, salem. Me reste les 3 derniers et même pas peur !
Il est bon le King !!
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Est-ce que je vais avoir peur de mon chat après lu ce livre ?! 😉
On ne sait jamais je préfère me renseigner avant ^^
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Rha mais oui, ce coup de poing dans le ventre qu’on se prend. Il est tellement génial Simetierre !
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Un coup de poing aussi fort qu’un coup de camion dans le bide !!
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Vous parlez super bien du « choc » de ce roman, le moment où tout bascule… Pffiouh, ça me file des frissons !
Z’êtes chiantes, ça me donne envie de le relire !!! 😀
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Oui, le choc, dans tous les sens du terme… le minet, c’était rien comparé au reste ! Allez, relis-le !!
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J’essaierai de m’y replonger quand j’aurai terminé de lire les quelque 600 romans de la rentrée littéraire, je devrais pouvoir m’y mettre dans… allez, trente ans ? :p
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ça va aller !!! 😀
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J’adore ce Stephen King 😀
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Moi aussi !! Je le suis depuis des années, avec des années où je le lis souvent et d’autre pas.
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Ca a du te marquer pour que tu t’en rappelle encore!!!!!Mais bon la scène vient de nulle part…..
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Quelle scène qui vient de nulle part ??
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A mon avis je me souviens encore de retournement de situation qui fait basculer le livre, tant d’années après 😉
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Un envoi cent mètres plus loin que le point d’impact…. je me suis faite passer dessus par un camion… m’en suis pas encore remise, tiens !!
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C’est ça oui c’est cette scène dont je me souviens encore ! Juste avant il parlais de choses sans importance 😉
Tu te rends compte que je me souviens encore de ma réaction comme si c’était hier alors que je l’ai lu en 1986 !
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Oui, il causait de trucs insignifiants et puis bardaf, il te balance ça à la gueule ! Mais déjà, avant, avec le cerf-volant, le King annonçait déjà la couleur. Tu savais que… mon dieu, mais enfin, comment peut-on faire souffrir ses petits lecteurs…
Tu as une bonne mémoire, Yvan, pour un mec qui a pris 20 ans dans les gencives ! mdr
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30 ans !!
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ça fait un bail !
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le bail est fini ? on va me mettre à la porte ?? 😉
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Toi, non !! Qu’est-ce qu’on s’emmerderait sans tes chroniques et sans toi ! 😀
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Hypnotisée moi je le suis par votre lecture commune mesdames.
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J’en profite alors que tu z’hypnotisée pour te demander le code de tes CB et te demander de danser en imitant une poule…
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Je fait très bien la poule mais je n’ai pas de CB 😉
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Encore mieux alors ! En liquide, pas de traces.
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ca fait longtemps que je ne suis plus mis un petit Stephen King sous la dent… Simetierre, pas encore lu… Je note! Et j’attends la suite de la critique avec impatience.
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Croque-le de toutes tes dents, mais gaffe qu’il ne te croque avant et te laisse des traces indélébiles sur la peau. Ça fait souvent ça avec les Stephen King 😉
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Je confirme, comme avec « Christine »… J’ai traversé les parking en courant longtemps, de peur que les voitures sagement garées ne me foncent dessus!
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Christine ne m’a pas traumatisé et je n’ai pas couru dans les parkings. 😀
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La chance! C’est peut-etre parce que je l’avais lu à 13 ans…
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Je devais avoir dans les 14-15… je pense que mon premier King était « dead zone », mais ensuite, je ne sais plus si le suivant fu « chantier » ou « christine », en tout cas, la bagnole, j’ai adoré avoir les frissons !
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