Les aristochats : Walt Disney

Titre : Les aristochats

Auteur : Walt Disney
Édition : Idéal-Bibliothèque(1971)
Édition Originale : The Aristocats
Traduction : Jean Muray

Résumé :
Duchesse et ses trois chatons sont très heureux chez leur maîtresse… Mais l’horrible Edgar, le majordome, se débarrasse d’eux en les abandonnant en rase campagne.

Heureusement, ils rencontrent Thomas O’Malley, un chat de gouttière drôlement débrouillard qui les aide à retrouver leur maison… Cette fois Edgar n’est pas au bout de ses surprises…

Critique :
Je l’ai dit, bordel, je l’ai dit ! (pour paraphraser  Philippe Albert lorsque le ballon fut dans le but adverse). Et je l’ai fait : j’ai lu les Aristochats après Le Fléau de Stephen King.

Mais quelle bouffée d’air frais de lire un de ses dessins animés préférés, un de ceux qui ne traumatisait pas (pas de mort de Mufasa, ni de la mère de Bambi, pas de Roucky chassant Rox, pas de Dumbo triste).

L’avantage c’est qu’en le lisant, des images du dessin animé me revenait à l’esprit et j’ai rajeuni d’un coup.

Évidemment, dans cette histoire, le méchant est très méchant, mais il ne fini pas gagnant, les chats mâles ne doivent pas être castré car ils ne pissent pas partout, les chats jouent de la musique, peignent, chantent et des chatons ont besoin d’un père, alors que dans la Nature, hein…

D’ailleurs, les chatons restent longtemps chatons puiqu’il est dit, à un moment, que ceux-ci avaient déjà pris le train car leur maîtresse les emmenait chaque année dans sa villa en Normandie… Heu, ça reste des années en mode « chatons », les chatons ?

Les aristochats avaient une certaine connaissance des chemins de fer. Ils avaient fait plusieurs voyages. Mme de Bonnefamille les emmenait tous les ans passer quelques semaines dans sa propriété de Normandie.

Bon, on ne va pas se leurrer, c’est bourré de bons sentiments, tout est bien qui fini bien, le Méchant perd, ça lui apprendra à vouloir priver les Aristochats de la fortune de leur maîtresse et d’être aussi envieux.

Mais me replonger dans cette aventure m’a fait du bien et j’en avais besoin.

Je l’ai dit, bordel, je l’ai dit.

Le Challenge Animaux du monde 2020 chez Sharon [Lecture N°02].

 

38 réflexions au sujet de « Les aristochats : Walt Disney »

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    • Mon premier chat c’était Poussy et j’avais dû batailler pour garder ce petit chaton (femelle) car ma mère n’en voulait pas. Mais comme elle vivait dehors… Morte de sa belle mort, à un âge canonique.

      Je ne sais plus quel âge j’avais pour les aristochats… Rox et Roucky, vu au ciné, à sa sortie, mais les aristochats, j’ai un trou de mémoire.

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  3. Quand je pense que je croyais que tu plaisantais quand, à la fin de ton billet sur « Le fléau », tu disais que tu allais lire « Les aristochats » ! C’était bien mal te connaître ^^ !

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