Titre : American Vampire Legacy – Tome 2 – Le réveil du monstre
Scénariste : Scott Snyder
Dessinateur : Dustin Nguyen
Édition : Urban Comics Vertigo Classiques (2013)
Édition Originale : American Vampire, book 5 : Lord of Nightmares
Résumé :
1954. De retour aux États-Unis, Felicia Book tient la promesse qu’elle avait fait à son ami et coéquipier, l’agent McCogan, en élevant son fils Gus, alors délivré de la contamination vampirique.
C’était sans compter l’organisation des « Vassaux de Vénus » qui bientôt lui demande de se rendre d’urgence à Londres où leur coffre sécurisé et inviolé depuis 1888 a été ouvert.
Le plus dangereux vampire de tous les temps est de retour, prêt à reprendre le pouvoir sur son armée.
Critique :
Rien de tel que de revenir aux origines des vampires pour rendre un deuxième tome attractif.
Nous sommes en 1954 et les nazis vampires ne sont plus une menace depuis longtemps. N’espérez pas vous la couler douce, une menace encore plus grande arrive à grands pas.
Nous quittons provisoirement les États-Unis pour aller prendre l’air à Londres et à Paris.
Pas de virée shopping, faut juste cavaler, se prendre des coups, saigner et tenter de faire en sorte que le premier des carpatiques reste dans son sarcophage et ne monte pas sur son trône d’où il pourrait contrôler tous les vampires…
Changement de dessinateur, on passe dans des cases qui ressembles à des aquarelles délavées. Les tons délavés ou lumineux collaient bien aux ambiances et si le changement de dessins m’a un peu déstabilisée au départ, je m’y suis habituée assez vite.
Les créateurs de la série American Vampire avaient eu la bonne idée de revisiter le mythe du vampire, notamment en dotant la souche américaine de pouvoirs que la souche carpatique ne possédait pas et en scindant les vampires en races. On a plus de choix.
Toujours de l’action, du sang, de la violence, des combats et une course-poursuite pour éviter que le roi des carpatiques (pas besoin de vous donner son nom, vous le connaissez) ne se réveille plus qu’il ne l’est déjà.
Si l’histoire ne révolutionne pas le genre, elle est tout de même un cran au-dessus du premier tome mais n’apporte pas les surprises de la série mère (American Vampire). On est dans du classique, même si la mise en scène est bien faite et qu’on ne s’embête pas une seule seconde.
Conventionnel mais bien foutu. Classique mais efficace. Ou quand le mythe rejoint les nouveautés pour donner quelque chose de punchy qui fait passer un excellent moment, même si des pages de plus auraient permis de ne pas finir se conclure si rapidement.
Challenge Thrillers et Polars de Sharon (du 11 Juillet 2020 au 11 Juillet 2021) [Lecture N°20].
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Et bin toute une bien belle serie sur les vampires…et de bien beaux dessins….;)
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Le scénariste change de dessinateurs, cela permet d’aller plus vite dans la production.
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sauf s’il tombe sur un lent dessinateur…lol
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On n’y avait pas pensé à celle-là ! mdr
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Ben oui! C’est bien connu! Le vampire made in US ne craint pas le jour et sa peau scintille au soleil! Et il est booOÔOoo !!! Et les filles sont folllllles de luiiiiiii 🤩
Ah? Non? Pas dans cette série ? Ah… ben elle fera pas un rond au cinéma ou sur Netflix! 😁
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Le vampire US n’ira pas faire bronzette, mais il tolère mieux le soleil que son la race des carpatiques. Skinny Sweet est mignon, mais on n’a pas envie de sortir avec lui !!
Les jeunes filles, elles n’aiment que les vampires qui sentent la fraise ou la lavande !
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Sauf qu’en vrai ils sentent l’odeur cuivré du sang caillé en note de tête sur une base d’odeur de vieille charogne putréfiée avec un vague relent de pied fermenté qui ne sort jamais de sa godasse… 😀
D’ailleurs j’avais lu dans Potins Hebdo à l’époque de la sortie de Toilaït que Bébert Patisson sentait à peu près ça… 😦 La rumeur disait que sur le tournage les gens étaient un peu incommodés de son hygiène corporelle un peu aléatoire… Bon… On sait ce que valent les rumeurs… Cela dit… Il peut faire de la pub pour un parfum maintenant… il doit en consommer des litres pour cacher ce petit détail à ses fans sans doute… Un peu comme Loulou 14 ancien rouai des françouais! 😀
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L’odeur puissante du vampire quoi… Pire que le chien mouillé qui sèche ou un cheval après une séance de travail intensive ! PTDR
Il n’était pas copain avec la douche, le Robert ? Pourtant, ce n’était plus un ado… J’en ai connu qui puait aussi. Je les croisait dans mon ancien boulot, quand je buvais un café avant d’aller bosser ou à l’heure de table. Ils étaient gentils, mais putain, qu’est-ce qu’ils schmoutaient ! Ils stinkaient, comme on dit à Bruxelles (du verbe flamand « stink », qui signifie « puer »). Tu aurais bouffé une boîte entière de Tic-Tac menthe pour ne plus les sentir !!! C’étaient des vieux mais il y avait un jeune aussi, à qui il manquait des cases.
La chienne chez mes parents adore sentir mauvais aussi… 😆
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