Titre : Sherlock Holmes et le mystère du Palio
Auteur : Luca Martinelli
Édition : Joëlle Losfeld (2011)
Édition Originale : Il Palio di Sherlock Holmes (2009)
Traducteur : Lise Caillat
Résumé :
L’intrigue part d’un fait avéré de la saga de Sherlock Holmes : le séjour du détective londonien en Italie alors que tout le monde le croit mort. Sa mission est de reconstituer le réseau des agents secrets britanniques.
Mais à peine arrivé à Florence, Holmes entend parler d’un homicide advenu à Sienne dans lequel serait impliqué un Anglais et qui pourrait bien compromettre sa mission. Il s’y rend sur-le-champ.
Convaincu de l’innocence de son compatriote, il cherche à dénouer le piège dans lequel celui-ci est tombé.
Assisté par le petit Federigo, fils de son aubergiste, Holmes découvre vite des indices étonnants qui le plongent dans l’effervescence du Palio, la célèbre course de chevaux siennoise…
Critique :
Voilà un agréable petit pastiche qui fait plaisir à lire.
L’action se passe durant le grand hiatus de Holmes et nous le retrouvons en Italie.
Un des agents étant accusé d’une meurtre qu’il n’aurait aucune raison de commettre, Holmes est envoyé, incognito, bien évidemment (seul son frère Mycroft sait QUI il est), dans la ville de Sienne, en effervescence à cause de la proximité du Palio, la fameuse course.
L’enquête ne casse pas trois pattes à un canard, mais elle a le mérite d’être simple, pas tirée par les cheveux et, ma foi, ce sont celles là qui vont le mieux à un roman sur Holmes.
Bref, une agréable enquête à suivre en compagnie de Sherlock qui n’est pas seul car il est accompagné du fils de l’aubergiste (un enfoiré de première, l’aubergiste), un gamin d’une huitaine d’années.
Entre le détective et l’enfant nait une amitié car notre homme le prend sous son aile, le soustrayant à son père qui a la main un peu lourde. le gamin est en admiration pour le monsieur, sans savoir qui il a vraiment devant lui, Holmes étant censé être mort.
L’homme de Baker Street s’adoucira un peu devant cet enfant qui ne demande qu’à apprendre.
C’est un petit plus que j’ai bien aimé dans cette aventure que j’ai quitté avec regret.
L’ambiance du livre était agréable, on avait envie de continuer à lire, il n’est pas trop gros, pas de risques de tourner en rond, même si, à un moment, on lambine un peu. Juste très peu…
Bref, un chouette petit apocryphe qui mérite d’être connu. Agrémenté de quelques déductions holmésiennes et d’une résolution d’enquête à laquelle je ne m’attendais pas (non, je n’avais pas trouvé le coupable !).
Ben tu vois, là c’est le genre de pastiches qui ne me pose pas problème : il brode dans les vides du canon sans le contrarier! Sauf que… ça n’est pas le Holmes canonique qui ferait copain-copain avec un enfant et se montrerait humainement plus accessible… alors… je ne sais pas trop…🤔
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Ça y est ! 😆 Bon, d’après mes souvenirs, c’est pas non plus copain-copain à fond, le gamin, il est intrigué par Holmes et ce dernier, si au départ n’était pas trop pour, apprécie le gamin ensuite. Mais si je me souviens bien !
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et bin tout un livre agreable pour l’ete quoi…sympa….;)
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Oui, pour cette saison là !
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