Titre : Légende – Tome 8 – De mains de femmes
Scénariste : Ange
Dessinateur : Stéphane Collignon
Édition : Soleil (02/12/2020)
Résumé :
Tristan de Halsbourg a disparu… et sa disparition a fait de lui une légende. Une légende qui pèse sur ceux qu’il a laissé derrière lui : sa soeur Ombeline, devenue duchesse, ainsi que son mari, Alexandre de Hauteterre mais aussi sur Judith qui s’est exilée et rejette l’idée d’un compagnon – tant est forte, dans sa mémoire, l’image de celui qu’elle aurait pu aimer.
Critique :
Choses promises, choses dues, je n’ai pas tardé à lire le tome suivant afin de savoir comment tout cela allait se terminer (ou continuer, ce qui est le cas ici).
Ombeline se réveille enfin ! Depuis le temps qu’elle se cachait derrière l’ombre de son frère, derrière sa légende, depuis le temps qu’elle n’éprouvait pour son mari aucun amour, la voici qui vient de se trouver une paire de couilles afin de sauver son royaume.
Comme quoi, certains murmurent peuvent réveiller les jeunes filles qui se pâment au moindre soucis et qui ne savent pas gérer leur duché. Là, elle y va fort. Très, très fort… Elle y laissera des plumes de vertu, mais au moins, elle a sauvé les fesses de ses concitoyens.
On avait bien redémarré dans le tome précédent et celui-ci ajoute un couche de plaisir à la saga qui avait périclité à un moment donné. Là, on renoue avec les bons scénarios, où rien n’est tout à fait noir, ni tout à fait blanc, mais plutôt rouge sanglant.
La guerre du trône fait rage au Danemark et le jeune futur roi va comprendre quel prix il faut payer pour reconquérir la place que l’usurpateur lui avait piqué. Entouré de rouge, le jeune futur roi, est blanc comme neige devant toute cette violence et ces tripes répandues.
Du côté du duché de Halsbourg, c’est aussi des morts qui se ramassent à la pelle et dans la ville voisine, on se demande s’il faut ouvrir le poulailler aux renards, même si on leur jure, la main sur le coeur, qu’il ne sera fait aucun mal aux poules.
Voilà un tome foisonnant de violences, de sang, de guerres, de stratégies, de questionnements, de politique, de trahisons, de fidélité (ou pas). On a de l’action, mais pas que, car il y a aussi toute une réflexion derrière l’histoire.
Toujours les deux récits en alternance, qui s’emboitent l’un dans l’autre sans que cela entrave la lecture. Et puis, dans ce tome, une fois de plus, les femmes sont mises à l’honneur, même si, pour arriver à quelque chose dans leur vie, il leur faut prendre les armes et combattre avec violence.
Le Challenge Animaux du monde 2020 chez Sharon [Lecture N°00] et Le Challenge « Les textes courts » chez Mes Promenades Culturelles II (Lydia B – 56 pages).
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Et bin tout un tome bien rempli didonc….
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Oui, les affaires reprennent 🙂
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Après Abercrombie qui écrit sans Fitch maintenant tu nous présente les oeuvres du Sieur Colignon. C’est pas l’épicier méchant dans Amélie Poulain ? J’entends encore Jamel Debouze répéter en boucle « Colignon tête de… BIP »… Pauvre garçon… On a dû bien lui pourrir la vie au collège s’il y était pendant ou après la sortie du film! 😆 … Pour une fois je serais pleine d’un grand mouvement de compassion même si je ne suis pas fan de bédé!
Mais sa Ombeline… Il aurait dû éviter de l’appeler comme ça. La dernière Ombeline que j’ai vue s’appelait Ombeline Fion, et devait chanter Capri c’est fini à l’école des Fans des chanteurs morts qui avaient eu leur homage chez JP Foucault… Elle était nourrie à l’huile par sa belle-mère et voulait vider les truites quand elle serait grande!! Sacrée Valerie Lemercier! 😀
Oups! Vous l’aimez pas en Belgique Valérie Lemercier ? Si ? Même après son film Palais Royal ? OK c’est une parodie de la tragédie Lady Di, mais ça se passe en Belgique, non ?
Ah! C’est le seuk tabou dont on a pas le droit de parler sur ton blog! Merde! J’ai encore gaffé! Ok Je sors! 😆
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Punaise, j’ai pensé exactement à la même chose pour Ombeline ! Mais en fait, c’était Odeline. Ouais, ça se ressemble.
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Ah Damned! Ondeline! En même temps le b et le d… la boucle est juste pas dans le même sens mais c’est pareil! 😁 Enfin presque! 🙄
🎵Caaaaaaaaaaapriiiiiiii! 🎶 Séfiiiiniiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!!!!!!!🎵
🤣😂🤣
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😂😂😂😂 J’adore ce sketch !
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Moi aussi 😆
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— Mais non, Hervé Villard n’est pas mort ! Tu as vu son hommage chez Jean-Pierre Foucault ? Non ! Alors il n’est pas mort… Hervé, si tu nous écoutes…. 😆
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Ombeline et Ondeline, la différence est mince et cette Ondeline Fion nous a tous et toutes marquées 😆
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C’est clair ! Mais c’est Odeline, pas Ondeline. 😄
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Oups !!!! J’avais toujours compris « Ondeline » moi…. 😆
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😂😂😂
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J’ai pas arrêté de penser à Ondeline Fion ! 😆 J’adore ce sketch. Mais je n’ai pas vu Palais royal… je ne peux donc te dire où ça se passe…
Pour la paix dans les ménages, entreprises, commerces, repas de famille, éviter de parler de « politique, religion, royauté » 😉
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Normal que t’aies pas vu Palais Royal! Il est interdit de diffusion en Belgique et les jours où on le passe en France il y a un brouillage de la chaîne en Belgique! 🤣😂🤣
On imagine que ça se passe en Belgique car c’est un royaume francophone assez sobre en matière de décorum et quand la Princesse se barre du palais elle trouve refuge chez notre regrettée Maurane (aurait-elle été assassinée en représailles? 🤔)!
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Mince alors, et moi qui pensais que c’était un film porno diffusé en début de soirée ! Je m’étonnais qu’au travers de ma passoire je ne voyais pas de fesses et de bites… J’ai compris 😆
Mais, mais, Maurane était belge, nom d’une pipe ! Une princesse de chez nous serait-elle, un jour (ou peut-être une nuit), allée se réfugier chez cette chanteuse dont j’aimais la voix ??
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