Titre : Une mort qui en vaut la peine
Auteur : Donald Ray Pollock
Édition : Albin Michel (2016)
Résumé :
1917, quelque part entre la Géorgie et l’Alabama.
Trois frères, Cane, Cob et Chimney Jewett, vivent sous la férule d’un père obsédé par la religion. À sa mort, inspirés par un roman à trois sous, ils sont bien décidés à survivre en braquant des banques.
Ils se retrouvent poursuivis par les autorités et une réputation effroyable, mais la vérité est plus complexe que la légende.
Critique :
— La vie, c’est une culotte de misère : on trime comme des malades et qu’est-ce qu’on obtient en retour, hein ? Que dalle ! On crève de faim et le richard qui nous emploie se fout de notre gueule.
Non, non, non, ceci n’est pas tiré d’un discours syndicaliste juste avant de partir en grève, ceci est juste l’amer constat sur la vie que pourraient se faire les trois frères Jewett : Cane, l’aîné; Cob le second et un peu simplet sur les bords; et Chimney, le cadet, le plus teigneux.
Alors, quand papa casse sa pipe et qu’ils savent qu’ils n’arriveront jamais à défricher dans les temps le terrain que le richard du coin leur a demandé de faire, ils décident de changer de vie, de boulot, le tout sans passer par la case Pôle Emploi, bien entendu.
S’ils l’avaient fait, on leur aurait sans doute dit que « Braqueurs de banques en 1917 » n’était sans doute pas un métier d’avenir et qu’il fallait en tout cas une solide expérience. Mais s’ils les avaient écouté, on n’aurait pas eu droit à ce roman et épais.
Voilà ma came préférée : un putain d’excellent roman noir américain qui me fait le plaisir de me montrer plusieurs destinées, plusieurs vies, qui se croisent, qui s’entrecroisent, pour le meilleur ou… pour le pire.
Tous les personnages possèdent un pedigree certain, assez lourd, généralement, et on est souvent face à des bouseux qui n’ont jamais été plus loin que le bout de leur patelin ou face à d’autres qui se sentent plus élevés que le commun des bouseux.
Même si l’ignorance de certaines personnes du coin ne l’étonnait pas, il se demandait à présent si Ellsworth ne serait pas en train de le charrier. Ignorer où se situe un pays étranger était une chose, mais confondre un océan gigantesque avec un coin de pêche de la municipalité de Huntington en était une autre. Même ce barjot de Jimmy Beulah, le prédicateur, l’un des hommes les plus rétrogrades que Slater ait jamais rencontrés, avait une notion rudimentaire de l’immensité de la terre – quoique la croyant toujours aussi plate qu’une crêpe.
L’écriture de Pollock est sans concession lorsqu’il nous parle des gens, du pays, de leur vie et il nous dresse un portrait brut du Nord de cette Amérique qui vient d’entrer dans le conflit de celle que l’on appelera – erronément – La Der Des Der.
L’auteur a même réussi à me faire aimer ce trio de jeunes mecs qui se sont rêvés braqueurs de banque après avoir un peu trop lu l’unique roman des aventures du hors-la-loi Bloody Bill Bucket. Parfois, les lectures, ça n’a pas que du bon.
La veille au soir, […], Cane avait lu à ses frères un extrait de « La Vie et les aventures de Bloody Bill Bucket », un roman de gare en lambeaux, aux pages gondolées, qui chantait les exploits criminels d’un ancien soldat confédéré semant la terreur dans tout l’Ouest après s’être converti au braquage de banque. À la suite de quoi les songes de Chimney avaient été peuplés de fusillades dans des plaines désertiques brûlées par le soleil et de foufounes au goût de miel.
Certes, du trio, j’ai apprécié Cane, l’aîné, celui qui a le plus de plomb dans la cervelle, le littéraire, ce grand frère dévoué qui regarde à son second, Cob, le pas très futé, le simplet, le gourmand. Cob, je l’ai plus qu’adoré.
Chimney, par contre, c’est une tête brûlée, un mec qui veut en découdre avec tout le monde, baiser des femmes, braquer des banques, baiser, braquer, baiser… et qui à cause de son caractère belliqueux sera l’instrument de biens des ennuis.
Ce que j’aime, chez Pollock, c’est qu’un battement d’aile de papillon, ou le sifflement des balles de révolver, peuvent déclencher, 100 pages plus loin, un tsunami d’événements que tu n’aurais pas vu venir (ou pas oser voir venir).
À une époque où le dernier Tireur a rendu les armes, à une époque où la Frontière est révolue, à une époque où les Temps modernes font leur entrée avec la voiture, nos trois jeunes nous font revivre une épopée digne du far-west, digne d’un western de Sam Peckinpah qui se serait accoquiné avec Tarantino, nous donnant une longue chevauchée à travers les terres désolées de l’Alabama et de l’Ohio.
Ce soir-là, à l’instant où Sugar estimait avoir assez marché pour la journée, trois hommes à cheval, crasseux et mal rasés, lui apparurent au détour d’un virage, serrant la bride à leurs montures pour s’arrêter à quelques pas de lui. Deux d’entre eux portaient des chapeaux de cow-boys et des salopettes tandis que le troisième était vêtu d’une redingote poussiéreuse et d’un pantalon noir. Un morceau de chemise blanche ensanglantée était noué autour de la cuisse du plus corpulent. Des fusils dépassaient de leurs selles et ils avaient à la ceinture des étuis garnis de revolvers. Aux yeux de Sugar, on aurait dite des êtres malencontreusement échappés du passé et qui cherchaient un moyen d’y retourner. Ce n’aurait pas été la première fois que quelqu’un se serait retrouvé prisonnier d ‘une époque qui ne lui convenait pas.
C’est du brutal, sans concession, sans lumières (enfin, presque sans), les personnages sont tous bien travaillés en peu de mot, la plupart sont des frappadingues, hauts en couleurs, maltraités par la vie, paranoïaques, alcoolos, ignares et j’en passe !
Un roman d’une force incroyable qui, comme un ouragan, a tout dévasté dans mon cœur, ne laissant que des ruines pour mon plus grand plaisir de lectrice. Une fois de plus, j’ai sondé des âmes aussi noires et aussi puantes (pour certaines) que le fond des latrines que Jasper inspecte.
Un roman qui se dévore d’un coup, le souffle court, tant il est bourré d’humour grinçant, de mots crus, de violence, le tout sur fond de misère humaine.
Un roman dont toutes les pièces s’emboitent à la fin, nous donnant un puzzle reconstitué et une vue d’ensemble sur tout le roman.
Un roman qui m’a pris aux tripes, qui m’a fait frissonner de peur pour certains personnages et que je quitte avec regret.
De plus, nombre de ces mêmes contribuables se nourrissaient six jours par semaine de chou frisé et de pain de maïs, de sorte qu’un pourcentage important d’entre eux considérait le braquage d’une banque comme une juste riposte au système qui contribuait à les maintenir dans la misère.
Le Challenge « Thrillers et polars » de Sharon (2016-2017), le Challenge « Polar Historique » de Sharon, Le « Challenge US 2016-2017 » chez Noctembule, Challenge « Il était une fois dans l’Ouest » chez The Cannibal Lecteur, le RAT a Week, le marathon de l’épouvante Édition 2016 chez Chroniques Littéraires (576 pages) et Le Challenge Halloween (2016) chez Lou & Hilde.
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Ayé! J’ai mis le temps mais je m’y suis mise! 😄
Quelle bande de crassous!!!! 😖 Pouac! Des crassous doublés de demeurés!!! 😫 Arrrg!
En tout cas… c’est peut être pas mon espace-temps fictionnel préfèré en matière de lecture mais… j’adore le style pince sans rire de cet auteur! Ça me fait penser… 🤔 au tien! Cet art de chambrer sans en avoir trop l’air… j’adooooooore 😄😄😄😄!!!
Merci de me l’avoir fait découvrir !!!
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Ben j’ai fait une chose au moins ! Purée, de toute ma chiée de vie, j’ai fait un truc génial : te faire découvrir Pollock !!!
En fait, je suis le nègre de Pollock, mais chuuut, faut pas le dire 😉
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😄
Si je devais résumer ce livre en un mot ce serait : PICARESQUE.
En quatre mots… Picaresque made in USA… mais oui c’est ça!
Les aventures improbables de personnages ordinaires et misérables dans une époque troublée… écrites par un auteur au style doux-amer extrêmement bien documenté sur les réalités de l’époque dont il parle (Dieu sait qu’ils sont rares! Et que bien des auteurs essaient de se cantonner au contemporain pour palier cette difficulté… mais se plantent quand même en parlant de sujets qu’ils connaissent mal!).
Bref… comme je disais malgré Mon peu d’appétence spontanée pour cette période de l’histoire américaine je n’ai pas le choix que de reconnaître en toute honnêteté que c’est tout simplement génial! 😁
Merci Dame Belette!😚
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Picaresque ! Oui, j’avais entendu le nom pour le roman de Twain, Huckleberry Finn !
Pollock est un grand conteur, avec rien, il te fait un roman.
Je suis contente d’avoir fait autre chose que de te dire quels films il ne fallait pas que tu zieutes !
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Hummm… Tout de même… Ya beaucoup de gros mots et d’évocations sexuelles grivoises un tantinet cradingues… C’est pas pour les âmes trop chastes ce livre… Faut quand même le préciser…
…Histoire de faire exploser les ventes! 😀
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Oui, c’est plus cochon que 50 nuances… le vatican devrait l’interdire, je trouve ! Là, les ventes vont péter en l’air !!
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Il faut absolument que je découvre cet auteur ! Belle chronique ma louloute belge ! 🙂
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Oui, tu devrais ! Tu les as au moins ?? Sinon, papa nowel est pour bientôt !
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Celui ci il me semble que papa nowel me l’a déjà envoyé ☺☺
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Mais quelle chance tu as !
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oui, une chance énorme 🙂
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Joue au Lotto, je sens que tu vas gagner !
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j’ai pas de chance aux jeux…. et je t’entends d’ici mais je t’arrête tout de suite! dans le reste non plus !!!
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Ok, je la ferme ! 😆
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Mdrrr ! ! Je commence à te connaître !!
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Sur le bouts des doigts, non ???
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Presque 😉
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Reste quelques trucs à découvrir aussi.
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Je veux pas tout savoir, faut garder le mystère. .. mdr
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Je ne comptais pas les dévoiler tu sais ! 😉
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il m’attend,j’ai hâte;-)
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Oh, j’avais une longueur d’avance sur toi ???
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Oui mais suis dans mes cartons…. du coup suis noyée mais le retour va être terrible 😉 après le 11 novembre j’hiberne 😉
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Tu as trouvé un truc mieux ? Ou du moins aussi chouette qu’avant ? Les déménagements, c’est la merde, on se demande même comment on a accumulé autant de brol.
Congé pour te reposer après l’armistice ?
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Mieux non mais les héritiers aux dents longues du mien ne le laisse pas le choix. Mais ça devrait être pas mal , un f3 duplex , de quoi bien aménager ma future bibliothèque 😉 le 11/11 déménagement… et après je me pose et me repose et je lis à fond …
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Ah, ben c’est pas si mal le duplex ! Chouette, une belle biblio !!
Bon, faudra que Jazzy s’habitue au nouvel environnement. En espérant que tu n’aies plus une vieille qui te fasse chier, comme avant !
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Ça devrait aller 😉
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Je te le souhaite !
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Tu sais que j’avais adoré son premier alors je lirai celui-ci sans aucun doute ! Ton billet donne envie de s’y jeter de suite mais non non je serai raisonnable jusqu’à fin octobre ! 😆
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Pourtant, avec ce genre de roman, tu sortais de ta zone de confort, non ??
Oui, il est excellent, du Pollock tout craché, j’ai adoré.
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J’avais apprécié « Le diable tout le temps ». Je note celui-ci !
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Note, Lydia, surtout si tu avais aimé le diable tout le temps !! 😀
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Pollock ❤
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Oui, love Pollock !
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Celui là il faut que je le lisse !
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Une polardeuse comme toi ne peut passer à côté !
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Ouais, mais ou vais-je pouvoir le glisser.
Non Dame Belette, je te vois venir là avec ta réponses salace. Je parle juste d’une petite place entre deux lecture. lol
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Mais je ne pensais même pas à mal !! *air innocent*
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Oui,mais je le vois ton petit sourire en coin, là !
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Mince, je suis découverte !
Bon, moi j’ai de la toile isolante devant ma webcam, je ne me retrouverai pas sur You Porn dans la section « sex tape » comme un couple dernièrement !
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Tiens ça ne m’a jamais traversé l’idée de faire des sex tape. Je ne dois pas exploiter mon potentiel voyeuse ou alors mon imagination me suffit sans doute ! 😉
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Tu pourrais les vendre à You porn… et te faire du fric !
Bon, j’arrive avec ma caméra !
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C’est érotique pas pormo , dommage pour ta caméra !
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Pas grave, faut pas tout leur montrer du premier coup non plus !
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Mais que fais tu de ma pudeur ?
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De ta quoi ?? Purée, mon dictionnaire ne reconnait pas le mot « pudeur »… mdr
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Oui je suis loin d’être prude mais je suis pudique avec les inconnus ! 😛
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Moi de même ! Un inconnu ne verra jamais mes nichons, sauf si c’est un médecin, bien entendu.
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Of course !
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Non mais, ça se mérite !
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Heuuuuuuuuuuu !!! Bien je ne sais plus où nous en sommes, perdue je suis !
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Moi aussi… je vais demander à Saint-Antoine !
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Mais il retrouve les affaires perdues pas les idées, si ?
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Si, si, avec moi il retrouve les idées aussi ! Je lui demande et il exécute 😉
La preuve, j’ai retrouvé que nous parlions de nos nichons !
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Un sujet de poids alors ! lol
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Un cierge tous les ans et je suis dans ses petits papiers !
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Ah oui, et ça suffit ! ?
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Pour moi, oui, je suis sa chouchoute ! PTDR
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Hahaha, il t’a à la bonne alors ! mdr
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Ce doit être le seul là-haut qui m’a à la bonne ! mdr
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C’est suffisant, remarque !
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Il y en a un qui m’ouvrira la porte, au moins !
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Je vais aller demander à Saint Pierre si tu veux bien ?
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Oui, demande !
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Ok je fais ça !
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Merci !
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hihi 😉 😛
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Ok : la vision de mes nichons, ça se mérite ! Bon, sauf si c’est un médecin… et tu étais d’accord avec moi 😉
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Oui, je le suis toujours ! Sauf en cas de nécessité absolue.
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Montrer ses nichons à nos hommes les fait souvent craquer et on obtient ce que l’on veut !!
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A oui, tu es comme cela toi, tu joues de tes charmes ?
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Oui, mais ça marche moins bien, il les a trop vu, il les connait trop bien… faudra que je trouve un autre truc… avaler, peut-être ?? 😆
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Rhaaaa, l’habitude nous joue des tours nous qui croyons que notre amour… 😉
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Faudra que je m’en refasse des nouveaux quand ils commenceront à pendouiller ! MDR
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Ah non, que du naturel sinon rien !
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Bon, on les gardera tels quels, même quand ils nous réchaufferont les genoux ! mdr
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Moi il n’iront pas plus bas qu’actuellement !
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Ne désespère pas ! 😆 Oui, je sors parce que je mérite une fessée, là !
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Tu y reviens, c’est plus fort que toi ! lol
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Impossible d’y résister, je suis faible…
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Oui, la chair est faible, pauvre de toi !
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Oui, oui, oui !!!!
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C’est un oui qui veut dire oui, ou Bien ? mdr !
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Non, non, c’est un vrai Oui !
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Hahaha mdr !
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Je le lis la semaine prochaine ! donc je repasse plus tard !
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Décidément, on aurait pou se mettre d’accord pour nos lectures, nous ! On a fait l’inverse l’un de l’autre ! PTDR
Je laisse la porte ouverte et une tasse de café sur la table pour ton retour.
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Tu le sais, j’ai besoin d’une petite lumière dans les ténèbres, peut-être n’est-il pas fait pour moi alors ?
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Il y a une lumière à la fin… elle est belle. J’aurais aimé une seconde, mais ce n’aurait plus été réaliste mais disneylandiste…
Essaye, tu verras bien. C’est du corsé, mais ces destins qui se croisent, pour moi, c’était du petit lait. 😀
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J’essayerai alors un jour
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Vers 2019, ça devrait le faire, non ?? 😆
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Bon on dirait que tu as encore kiffé grave!!!!lol
Bon je le lirai , mais pas tout de suite, je suis ultra débordée, là , tout de suite…..
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Parce que tu penses que je ne suis pas ultra débordée, moi ??? Tu as déjà vu le chiffre de ma PAL ?? Hallucinant ! Ingérable…
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Apparemment on adore ou on déteste. Il ne me reste qu’à me faire mon propre avis.
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C’est souvent le cas, bien qu’on pourrait aussi être mitigé pour ce roman, je ne connais pas les goûts de tout le monde 😀 Moi, j’aime ce genre de roman noir..
Oui, yapuka se faire son propre avis.
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J’attendais un retour bloguesque avant de me lancer… bon bin yapuka !
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Le retour est arrivé sans trainer ! À peine acquis que je l’ai lu !
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J’ai adoooré et pourtant rien ne nous est épargné dans les détails sordides ! Je n’ai pas lu l’autre roman de cet auteur mais ça ne devrait pas durer 🙂
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Rien ne nous a été épargné, mais bon dieu, quel roman ! Le premier avait été un coup de coeur aussi pour moi.
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