Titre : Sherlock, Lupin et moi – Tome 4 – La Cathédrale de la peur
Auteur : Irene Adler (Iacopo Bruno)
Édition : Albin Michel Jeunesse (03/01/2018)
Édition Originale : Sherlock, Lupin et Io : La cattedrale della paura
Traducteur : Béatrice Didiot
Résumé :
Irene et sa famille viennent de s’installer à Evreux. Alors qu’elle visite la ville, Irene est approchée par une inconnue qui lui annonce que sa mère court un grave danger. Qui est-elle ? Et d’où vient-elle ?
Intriguée par ce nouveau mystère, Irene fait appel à ses amis, Sherlock et Lupin. Leur enquête les conduira dans les rues de Paris, au cœur d’une crypte secrète dont on murmure qu’elle renferme un trésor inestimable…
Critique :
C’est un véritable plaisir pour moi que de lire les aventures de nos jeunes enquêteurs en herbe car en plus d’apporter un vent de fraicheur après une lecture ardue, on sent déjà bien les différents caractères qui s’affinent.
Comme des bons fromages, ou du vin, nos jeunes amis mûrissent, prennent de l’étoffe et les futurs adultes qu’ils seront commencent à se dessiner.
Sans révolutionner le genre policier, sans être novateur, les aventures de nos jeunes amis sont toujours plaisantes à lire et font du bien à l’esprit, sans pour autant offrir du temps de cerveau à une célèbre boisson gazeuse.
Cette fois-ci, on quitte Londres et on retourne en France, dans la campagne, pour une enquête qui va les mener jusqu’à la ville lumière, qui sombre dans la famine, suite à la guerre franco-allemande de 1870.
Irene, de par son journal « intime », nous raconte sa vie – mais pas trop – et ses aventures de folie avec Lupin et Sherlock, et dans ce tome, nous en apprendrons un peu plus sur elle et sur ce qu’elle nous parle depuis le premier tome, c’est à dire sur ses parents.
Si le début est assez calme, ensuite, pas le temps de s’asseoir ou de boire un café car on va bouger, enquêter, faire des filatures, se faufiler dans des lieux mal famés, et faire des tas de déductions.
Une chose m’a surprise et sursauté : l’utilisation d’un mot wallon que j’utilise souvent « bardouchi » que je fais suivre par « de kermesse ». Et oui, l’enquête aura quelques origines namuroises… Pour un français, ça ne comptera pas, mais pour une Belge qui vient du Sud (de la Belgique), ça compte.
Anybref, sans révolutionner le genre, cette série est bien fichue, agréable à lire, elle vous aère la tête en vous offrant du plaisir durant 250 pages, et, sans se prendre la tête, vous offre du suspense, du mystère, et un beau moment d’amitié.
Challenge Thrillers et Polars de Sharon (2017-2018), le Challenge « A year in England – 2017-2018 » chez Titine (Plaisirs à Cultiver), le Mois du polar (Février 2018) chez Sharon et Le challenge British Mysteries (Janvier 2018 – décembre 2018) chez My Lou Book.
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Je fais chauffer le four pour la tatin!😁
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Laisse chauffer parce que les pommes ne sont pas encore poussées !! Je répète « les pommes ne sont pas encore poussées » !
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Entendu ! Le mojito attendra! Je répète : le mojito attendra! 😬
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mdr
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Evreux, lieu où je ne me rends que contrainte et forcée pour des stages divers et variés.
Merci pour ta participation (je suis exténuée).
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Je t’ai fatiguée avec mes billets ?? Moi aussi je suis crevée, et je ne sais pas ce que j’ai…
Jamais été à Evreux, mais si j’y vais, je penserai à Sherlock 🙂
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Non, c’est la sortie scolaire d’hier (avec départ pour les urgences de la déléguée de classe dix minutes avant que nous partions). Bref, même quand une rencontre d’auteur/classe de 4e se passent bien, c’est usant.
IL y a de jolis coins à Evreux, quand on sait où ils se trouvent.
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Je ne connaissais pas, je me le note donc! 🙂
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Note ! Il veut dire « simple d’esprit ».
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Je ne connaissais pas le mot Wallon. Suis passée par la Belgique ces jours-ci. Les autoroutes ne s’améliorent pas, hein ! 😛
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Ben non, elles sont gratos, alors, tu as des trous ! Ce qui évite de devoir mettre des radars puisque tu ne sais pas rouler vite, sans parler des travaux continus et des bouchons… les pilotes du Dakkar viennent s’entrainer chez nous… 😀
On dit que le wallon est fainéant, mais c’est pas vrai, la preuve, on travaille tout le temps sur les routes ! Mwarf mwarf mwarf
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Bon, tu me diras, certaines autoroutes de la Région Parisienne y ressemblent !
Ah oui, les bouchons… On a traversé la Belgique au pas… ou presque…
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