Titre : Bénis soient les enfants et les bêtes
Auteur : Glendon Swarthout
Édition : Stock (1971) / Gallmeister (02/02/2017)
Édition Originale : Bless the Beasts and Children (1970)
Résumé :
Ils sont six adolescents à s’être rencontrés dans ce camp de vacances en plein cœur de l’Arizona. Leurs riches parents ne savaient pas quoi faire d’eux cet été-là, et ils ont décidé d’endurcir leurs rejetons en les envoyant au grand air pour qu’ils deviennent de “vrais cow-boys”.
Au sein du camp, ces enfants se sont trouvés, unis par le fait que personne ne voulait rien avoir à faire avec eux. Cette nuit-là, alors que tout le monde est endormi, ils ont une mission à accomplir, un acte de bravoure qui prouvera au monde entier qu’ils valent quelque chose. Et ils iront jusqu’au bout de leur projet, quel que soit le prix à payer.
Critique :
L’adolescence, pas toujours une partie de plaisir… Et ces horribles colonies de vacances ou t’étais soit dans le groupe des loosers et jamais dans celui des winners…
Et ces adultes qui te poussaient toujours à te dépasser, à être le vainqueur, à écraser les autres s’il le fallait pour te hisser au sommet, ces adultes qui pratiquaient la ségrégation, non pas raciale, mais selon tes compétences…
Tu connais, je suppose ?
Six ados de 12 à 16 ans, enfants de riches eux aussi, enfants à problèmes, à traumatismes, enfants dont les parents ne savent plus quoi faire, eux qui voyagent tout le temps sur la Terre.
Alors ils ont décidé de les placer au Box Canyon Boys Camp, situé en Arizona, car là on leur a promis de transformer leurs lavettes de gamins, leurs larves de progéniture en véritable cow-boys, en véritables hommes…
Fini les pipis au lit, les escapade pour dormir dans le lit avec maman, ou comme certains, sous leur lit. Nous, on va t’en faire des ados virils, durs, et terminé le côté apathique ou handicapé de la vie.
♫ Caramels, bonbons, et chocolats ♪ comme le chantait si bien Dalida. ♫ Paroles et encore des paroles, que tu sèmes au vent ♪
Tout le monde le sait, ce n’est pas en plongeant des enfants apathique parmi d’autres enfants costauds qu’on va les aider à résoudre leurs problèmes, à ces gamins, vu que leurs problèmes découlent en partie à cause du comportement imbécile de leurs parents qui font tout et n’importe quoi.
Mais le camp, c’est plus facile que des séances de psy… ou que se remettre en question et changer.
Voilà un court récit qui ne manque pas de bravoure, de peur, de folie, d’amitié, de remise en question car nos six garçons vont, dans les derniers jours de leur camp, vouloir accomplir une mission dont nous n’en saurons rien au départ, mais qui se profilera au fur et à mesure de leur road movie, levant le voile sur ce mystère.
Durant leur escapade, nous en apprendrons plus aussi sur ces six handicapés de la vie, sur leurs blessures secrètes et sur le comment du pourquoi leurs traumatismes sont apparus, ainsi que sur le comportement de leurs parents qui ont tout l’air d’être des jean-foutre.
Tous les six sont touchants, profondément humain, profondément enfant, tiraillés qu’ils sont entre leur envie de grandir tout en restant un enfant, leur envie d’être aimé par leurs parents, que ces derniers s’occupent d’eux au lieu de les confier aux domestiques.
Nos six Pisseux (le nom de leur groupe, donné par le camp aux derniers en tout) pourraient être chacun de nous, pour peu que durant notre adolescence, on se soit trouvé dans le camp des loosers, des laissés-pour-compte, de ceux qui ne voulaient rien prouver dans des compétitions puisqu’ils se savaient perdant d’avance.
On pourrait dire que nous sommes face à un roman noir pour ados, car si le contexte social n’est pas celui de la misère humaine, on comprend vite que ces gosses ont souffert de la misère affective et que ça leur a pourri la vie, leur enfance.
L’auteur a réussi le tour de force de nous faire aimer six jeunes personnalités tordues, peureuses, chouineuses, pleureuses, vomissantes, des sans gloire, des sans grade, des gamins qui, pour une fois dans leur vie, vont tenter d’accomplir une action folle mais belle, quelque soit les conséquences.
Un roman western âpre, beau, dur, un drame qui possède une sensibilité exacerbée, un road movie accompli par des gamins qui n’avaient rien pour y arriver, au départ, mais qui, à coup de pleurnicheries et de découragements, vont finir par y arriver.
Une critique au vitriol de tout ces espèces de camps scouts en version commando Rambo de l’Amérique et qui sont les formateurs de tout les futurs paumés ou psychopathes du pays.
Magnifique roman et coup de cœur pour ses six gamins.
Challenge Thrillers et Polars de Sharon (2017-2018), le Challenge « Il était une fois dans l’Ouest » chez The Cannibal Lecteur et Le « Mois Américain – Septembre 2017 » chez Titine.
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Oh voilà un auteur que j’aime beaucoup.
Glendon Swarthout a un style bien à lui, reconnaissable je trouve !
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Oui, on le reconnait !! Je l’apprécie aussi beaucoup 😉
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hihi aoi j’ai cru comprendre ! 😉 🙂
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Je ne suis jamais allée en colo! Si si, je t’assure! Je ne sais pas ce que c’est que les douches communes et les dortoirs à 12 ! lol
J’ai peut-être loupé un truc moi….
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Non, t’as rien raté, les chambrées de 8, c’est drôle un coup, mais au bout de deux jours, tu as les yeux en quiquinne de poupousse ! Deux fois pour des stages d’équitation, mais bon, on repassera ! 😉
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Tu me rassures alors ..
Cekoissa quiquinne de poupousse ? ??
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Belgicisme : Avoir de petits yeux.
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Merci pour la traduction 😉
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Mais de rien ! Je suis polyglotte 😉
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J’aurais dû faire belge en deuxième langue moi. ..
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Eh ben ! Moi qui regrettais de n’être jamais allée en colo ! Je vais revoir ma copie !
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T’as rien raté je pense, mais je suppose que certains nous diront que nous avons tout raté et que eux ont des souvenirs de fous ! 😀
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Très certainement !
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Je m’en doutais !
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oh… je crois que je viens de voir des bisons !!
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Oui, il y a des grosses bêbêtes dans le roman !
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De grosse bêtes à poil même !!
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À poil ?? Tout nus ?? J’arrive !
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Dommage j’aime pas les ados , les miens m’ont ôté toute sympathie pour cette tranche d’âge 🙂
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Ceux-ci sont attachants et sympas, même avec leurs défauts !
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Ça y est, il est dans le récap ! Je compte 12 liens jusqu’à présent.
J’espère avoir le temps de le lire ce mois-ci. (Pas gagné).
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Allez, on va se motiver l’une l’autre !
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Oui !
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Je vais chercher le fouet !
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Il faut ce qu’il faut !
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Hé ! 😉
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non je ne connais pas…je voulais aller en colonie….mais mere n’a jamais voulu…ce fut mon moment Life!…en tout cas toute une histoire de gamin a la goonie qu’on aime apres tout…;)
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Je n’ai jamais voulu y aller et ma mère ne m’y a jaamais envoyé, surtout quand elle les voyait charger des casiers de bière au supermarché du coin.
Oh, les goonies, j’adore ce film !
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hahaha effectivement….mdr…a la biere, ils etaient eleves….a la dure quoi…
ouiii moi aussi j’adore ce film…..ouiiii
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Allez je vais me le faire si j’ai le temps et si je le retrouve !
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surtout qu’il y a une suite ou truc comme ca qui arrive….;)
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J’y suis allée une fois. Mes parents devaient s’occuper de notre déménagement et de refaire la déco du nouvel appartement… bref ils avaient besoin d’être tranquilles et ne pouvaient pas partir en vacances…😭
C’était nul. Bruyant… sans repos… bouffe de cantine… gastro… temps pourri piscine en plein air sous la pluie et pour trop d’enfants pour nager… ateliers merdiques… hygiène douteuse…😱
Bref depuis je suis convaincue que la colo est surtout un lieux pour des parents qui ne veulent pas s’occuper de leurs enfants! Voire… pour des parents qui n’aiment pas leurs enfants!!! 😖
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J’ai fait deux stages d’équitation quand j’étais jeune, comme une sorte de colo mais en moins pire, avec une copine. La bouffe était dégueu et dans la piste, tous les chevaux se suivaient à la queue-leu-leu et donc, tu n’apprenais rien. Le second stage, c’était plus « nature » et balades dans les bois, là, c’était super !
Je peux comprendre les parents qui parfois on envie de se débarrasser de leurs gosses !
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de quoi ecrire un livre sur ces traumatismes…cela aurait son succes…a base de nouvelles…lol
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Je n’aurais eu aucun succès avec mon livre !! mdr
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bin vraiment serieusement a la facon dont tu ecris sur ton blog..je dirais que oui….;)
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Mheu non, j’aurais juste 10 lecteurs/trices, juste par solidarité, pour me faire plaisir… 😀
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ouiiii on sera la…que ouiiii…et le bouche a oreille..et tu termines a 100 !…yessss….let’s go !
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Oh purée, la fortune est faite, le pulitzer est acquis ! À qui ? Ben à moi ! mdr
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yess…l’optimisme est de retour…yessss…tu commences quand, zalors ?…lol
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Heu… quand les poules auront des dents ??
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hahahaha tu sais qu’elles existent….lol…oui manipulation genetique…lol
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Depuis que je sais que les ancêtres des poules étaient le velociraptor, je les regarde autrement…
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oh punaise..on a un scenario de films lala…les « pouletors »…elles retrouvent l’usage de leurs ailes et elles attaquent un village…(oui faut commencer bas…un village…NY cela serait quasi invraisemblable)…
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Ouh, je sens qu’on va se faire du fric avec un truc pareil ! PTDR
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ah chouette tu le sens bien aussi….lol
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Ça devient cochon cette conversation ! « tu le sens bien aussi »….
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de 1/ je me demande si une conversation ne s’est pas termine sans allusion lubrique 2/ il faut effectivement mettre une salace dans notre film…toujours….lol
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faudrait vérifier pour voir si dans au moins de nos conversation nous avons terminé de manière propre et sans aucune allusion voilée au sexe… risque pas d’en avoir des masses !! mdr
Oui, il faut toujours une note salace, ça fait vendre !!
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hahaha je laisse le pari ouvert…je ne vais pas regarder nos discussions depuis le debut (bien que les premieres ont du etre sages)….;)
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J’ai vraiment adoré ce road movie et ces gamins super attachants. Une excellente lecture 😊
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Moi aussi, j’ai aimé leur côté fêlé par la vie alors qu’ils sont riches, ce qui prouve que l’argent ne fait pas le bonheur !
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Tiens il me tente bien, surtout si tu as craqué pour les gamins! Je sens qu’il va y avoir un paquet de Gallmeister ce mois ci chez toi et j’ai hate de connaitre tes avis!!!!;)
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Ma foi, quand nowel arrivera, il arrivera dans ta cheminée ! et je dois lire les autres gallmeister de la rentrée, en effet !
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Ah oui… c’est vrai… la manie des amerloques à foutre les gosses dans des « camps »… pas des colo… des camps! Histoire de reinnstaurer ces putains de rites initiatiques censés faire un homme d’un garçon! 😖Keskessaménèrve!!!! Pfff! 🙄
D’autant que ce genre de prétentions révèle surtout l’incapacité d’une société infantilisante où on ne cesse de se faire des procès pour rejeter la responsabilité sur l’autre à produire des adultes! 😠
Et dans ce genre d’histoire ça bien juste souligner que dans ces « camps » on reproduit les clivages sociaux habituels ou le fort en gueule amoral triomphe du looser à lunette qui ose préfère aller au club d’échecs ou de sciences plutôt que de faire du foot!
Le riche emmerde le pauvre (quoi que cette notion soit relative dans ces camps hors de prix), le fort écrase le faible… et même les clivages raciaux s’imposent aussi de façon plus « subtile ».
Une jolie parodie de ces camps dans une des adaptations ciné de la famille Adams (le deuxième je crois…).
Bref le genre de thème qui m’énerve!
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Oui, c’est comme tu dis, des camps d’embrigadements parce que les garçons doivent être des mecs, des hommes, à 12 ans, comme si on ne pouvait pas leur laisser leur enfance, tout simplement !
Je ne me souviens plus du film deux de la famille adams, mon préféré à toujours été le premier, je devrais le revoir d’ailleurs !
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je crois que c’est dans celui où l’oncle Fétide (ou Foster en VO) doit se marier et où Morticia a subitement un bébé et refuse évidemment la péridurale… N’est ce pas dans Les Valeurs de la Famille Adams?
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Merde alors, je ne m’en souviens plus, m’est avis que je ne l’ai jamais regardé, ou alors, c’était tellement nul que mon cerveau à tout foutu à la corbeille !
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Et celle là tu t’en souviens ?
Gomez et Morticia roucoulent au clair de lune… Morticia s’adresse soudain à Gomez : « Hier soir tu avais l’air d’un détraqué. Tu m’as fait peur… (soupir) Recommence! »
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Nom de zeus, je sens que j’ai tout oublié et que je vais le regarder une nouvelle fois ! Comme je ne le possédais qu’en K7, je suis passée faire un tour l) où je savais que je le trouveras et bingo, je l’ai sur mon DD !
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