Titre : À propos de courage
Auteur : Tim O’Brien
Édition : Gallmeister (07/04/2011)
Résumé :
Tim O’Brien, jeune homme projeté malgré lui dans le tumulte d’un conflit sanglant, celui du Vietnam, tente, vingt ans après, d’exorciser les fantômes qui le hantent.
Devenu écrivain, il se met lui-même en scène au côté de ses compagnons d’armes dont il fait, par la grâce d’un alliage subtil entre sa mémoire et son imaginaire, les acteurs et les victimes d’une guerre absurde.
Fragments de vie et de mort, de courage et de lâcheté, de folie et de raison, ses histoires sont autant d’échappées poétiques qui oscillent entre passé et présent, et soulignent l’éternel besoin de l’individu de retrouver la flamme d’une innocence perdue.
À propos de courage nous livre une méditation fracassante sur la guerre, la mémoire et le pouvoir de l’imagination. Un livre inoubliable.
Critique :
Comment parler de la guerre du Vietnam ? Comment parler de ce que l’on a vu ? Ressenti ? Vécu ? Comment parler des gars de sa compagnie qui y sont restés ? Comment relater l’ennui et la monotonie, la peur, la culpabilité ?
Je dois dire que Tim O’Brien y arrive avec brio, sans sombrer dans le mélancolique, dans le gore, le voyeurisme ou la violence gratuite.
Au travers de ses chapitres, il nous raconte des histoires qu’il a vécu au Vietnam, de ses camarades tombés au combat, ou dans des champs de merde, de ses peurs, de ses envies de foutre le camp, de sa mini désertion lorsqu’il fut appelé sous les drapeaux.
Au travers de ses histoires, nous aussi on portera notre barda avec eux, ces sacs qui étaient lourdement chargé, ces armes lourdes, ces tonnes de munitions, nous les porterons avec eux durant leur périple au pays du napalm déversé…
Vous êtes coincé dans un trou dégueulasse au milieu d’une rizière, et l’ennemi veut vous remplir le cul de plomb, mais quand, pendant quelques secondes, tout se calme et que vous levez les yeux et que vous voyez le soleil et quelques nuages blancs floconneux, et qu’une immense sérénité vous aveugle – le monde entier reprend sa place – alors, même coincé au milieu d’une guerre, vous vous sentez en paix avec vous-même comme jamais.
Son écriture comme ses histoires sont soignées, léchées, tournées de manière à vous plonger dans la boue du Vietnam, dans le quotidien de ces hommes, jeunes pour la plupart, fauchés bêtement, pour la plupart… ou devenu un peu fou.
Si ses histoires sont fictives, c’est aussi pour mieux retranscrire la réalité, l’auteur nous expliquera même comment il fabrique des fictions pour dire la réalité.
Dans la plupart des cas, il ne faut pas croire un récit de guerre véridique. Si vous y croyez, soyez sceptique. C’est une question de crédibilité. Souvent, ce qui paraît fou est vrai, et ce qui paraît normal ne l’est pas, car les trucs normaux sont nécessaires pour vous faire croire à des folies réellement incroyables.
Faire des généralisations sur la guerre, c’est comme faire des généralisations sur la paix. Presque tout est vrai, presque rien n’est vrai.
De ces histoires, même fictives, le lecteur ne sera pas dupe car tout le monde sait qu’il y a une grosse part de réalité dedans – l’auteur l’a faite, la guerre du Vietnam – il en ressortira des grosses doses d’émotions de ses différents récits.
Oui, l’histoire est fictive, mais les émotions, elles, elles ne sont pas feintes, elles sont véridiques, et elles te sauteront à la gueule sans que tu y prennes garde.
Si, à la fin d’une histoire de guerre, vous vous sentez ragaillardi, ou si vous avez l’impression qu’une parcelle de rectitude a été sauvée d’un immense gaspillage, c’est que vous êtes la victime d’un très vieux et très horrible mensonge. La rectitude n’existe pas. La vertu non plus. La première règle, me semble-t-il, est qu’on peut juger de la véracité d’une histoire de guerre d’après son degré d’allégeance absolue et inconditionnelle à l’obscénité et au mal.
Un récit fort, profond, sans fard, mais sans surenchère dans le glauque, des personnages attachants et de belles tranches de vie, le tout sans la musique de Apocalypse Now car moins trash.
La guerre c’est l’enfer, mais c’est encore mieux que ça, parce que la guerre c’est aussi le mystère et la terreur et l’aventure et le courage et la découverte et la sainteté et la pitié et le désespoir et la nostalgie et l’amour. La guerre est méchante ; la guerre est amusante. La guerre est excitante ; la guerre est déprimante. La guerre fait de vous un homme ; la guerre fait de vous un mort. Les vérités sont contradictoires. On peut arguer, par exemple, que la guerre est grotesque. Mais, en vérité, la guerre est également beauté. Malgré toutes ses horreurs, vous ne pouvez pas vous empêcher d’admirer l’extraordinaire majesté d’un combat. Vous voyez les rafales traçantes se dérouler dans l’obscurité comme des rubans rouges et brillants. Vous vous accroupissez lors d’une embuscade, tandis qu’une lune froide et impassible se lève au-dessus des rizières nocturnes. Vous admirez les symétries mouvantes des troupes en marche, l’harmonie des sons, des formes et des proportions, les énormes salves d’obus crachées par une canonnière, les rafales illuminantes, le phosphore blanc, l’éclat orange-violet du napalm, la lueur rouge des roquettes. Ce n’est pas exactement beau à voir. C’est stupéfiant. Ça remplit l’œil. Ça vous subjugue.
Une écriture poétique, magnifique, qui sublime encore plus les récits de guerre ou d’après-guerre, pendant la reconstruction du corps et de l’esprit.
Ils portaient le bagage émotionnel d’hommes qui sont susceptibles de mourir. Le chagrin, la terreur, l’amour, la nostalgie – tout cela était intangible, mais ces choses intangibles avaient leur propre masse et leur gravité spécifique, elles avaient un poids tangible. Ils portaient des souvenirs honteux. Ils portaient en commun le secret d’une lâcheté à peine retenue, l’instinct de s’enfuir ou de se figer sur place ou de se cacher, et d’une certaine manière c’était le plus lourd des fardeaux, parce qu’on ne pouvait jamais le poser à terre du fait qu’il exigeait un équilibre parfait et une posture parfaite. Ils portaient leur réputation. Ils portaient la plus grande peur du soldat, qui est la peur de rougir. Ces hommes tuaient, et mouraient, parce qu’ils auraient été gênés de ne pas le faire.
Le Challenge Thrillers et Polars de Sharon (2017-2018) et Le « Mois Américain – Septembre 2017 » chez Titine.
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Ah oui, j’avais lu aussi un autre titre de lui sur la guerre u Vietnam.
A la poursuite de Cacciato ça s’appelle mais je sais pas s’il est encore édité !
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Mon premier livre sur le sujet, mais j’ai aussi regardé les émissions théma passées sur ARTE la semaine dernière, sauf le dernier jour, j’ai enregistré car ça finissait tard.
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Le guerre du Vietnam a été fondatrice pour beaucoup d’auteur américain. Beaucoup on un héros vétéran !
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Oh punaise tu viens de restaurer une part de ma mémoire. Elle se rappelle à moi car c’est un titre que j’ai lu dans les année 90 quand j’étais à fond roman noir américain.
Les grands classique mais aussi des plus petits.
Je ne souvient aussi avoir lu de lui un roman corrosif « En attendant la fin du monde » sur la peur de l’arme atomique.
Alors merci dame belettes, j’ai rajeuni d’un coup de 25 ans !
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Je suis mieux que les produits de l’oréal et je coûte peau de balle, en plus ! Contente de t’avoir rajeunie ! Tu as su faire un triple salto arrière grâce à ma cure de rajeunissement ?? 😆
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J’ai jamais su faire un salto !
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J’ai du mal avec les romans de guerre… je peux passer mon tour ? 🙂
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Oui tu peux, je te pardonne tout puisque tu es revenue !!
♫ Nathalie est revenue ♪ La Nathalie qui est revenue ♪
(sur l’air de Mathilde)
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Je t’ai manqué à ce point là ? 😊
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Oui, mais je ne l’avouerai jamais !! 😉
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Moi aussi je t’aime 😉😉😉😉
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Chuutt, faut pas le dire, y’aura des jaloux !! 😆
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On s’en fout ! Assumons ! 😁😁😁
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Merki, wish list direct en V.O de surcroît… Et voilà, je pars une semaine en vacances, je reviens et bim, avec vous autres, un jour, vas falloir que je vous file la facture totale…
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Oui, faudra que tout le monde envoie la facture à tout le monde, rien que pour voir qui a le plus dépensé, qui était le plus tentateur/trice… mdr
Bon, je vais me calmer et penser à tes finances ! 😉
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Je les prends en V.O à présent… Mais là, je me dis, vas vraiment falloir que je vende du Livre en grosse quantité… ça devient indigeste la PAL… Heureusement que mon choix est très ciblé sur mes lectures mais quand même… Donc, ton adresse, c’est quoi déjà ? Des bises… 😉
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Ping : Deuxième bilan du challenge polar et thriller 2017-2018 | deslivresetsharon
Je viens de lire Le sympathisant, autour de la guerre du Vietnam aussi… Serait ce qu’il est temps d’exorciser les démons de cette guerre…..
Il semble qu’il ne parle pas que de guerre mais des hommes et ça, ça pourrait bien me tenter surtout si c’est bien écrit .
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Oui, il parle de la guerre au travers des hommes, ce qui change toute la donne, c’est différent, mieux, plus d’émotions, je trouve.
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Alors ça ça m’intéresse, d’autant plus que c’est un sujet que je ne maîtrise pas (la guerre du Vietnam).
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Je ne le maîtrise toujours pas, mais je me suis un peu instruite, par contre, c’était une édition papier…
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Ce n’est pas grave, je vais me le noter et voir si je le trouve.
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Mais si je tombe dessus en comme-tu-sais je ferai ce-que-je-dois-faire-et-que-j’ai-déjà-fait !
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Sans problème !
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Tu connais le verdict….
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Ouaip !
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ah la guerre du vietnam, j’ai vu trop de films…je ne peux plus…c’est une guerre tellement sale…je pense que je la mets au meme niveau que la premiere mondiale….alors je passe….j’en sors toujours bouleversee et remuee et en colere…..
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Entre nous et juste entre nous, tu connais des guerres propres, toi ?? moi j’ai beau chercher, elles sont toutes sales, et quand tu pensais être tombée sur la plus sale, ben tu te rends compte qu’on peut faire encore plus dégueu…
Mais elle était très sale, en effet et les américains l’ont perdue, comme celle de corée et au final, ils sont pas si forts qu’ils veulent nous le faire croire. En 44, sans les russes, les anglais, les canadiens, les australiens, ils n’y seraient pas arrivés. :((
Je voulais en apprendre un peu plus sur cette guerre et j’ai un Géo qui m’attend, mais va savoir pourquoi, je ne suis pas super pressée de le lire.
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effectivement par definition toute guerre est pourrie et sale…mais la premiere fut la premiere moderne, je pense avoir tout visite de cette guerre a verdun….300 000 en 2 jours pour juste un petit mont….une horreur integrale, j’ai reussi a lire a l’ouest rien de nouveau….une veritable boucherie, il n’y avait pas de mots et durant 4 ans sur tous les fronts…les deserteurs ont juste ete retablis l’annee derniere….et le retour a la maison, personne ne voulait les voir, il representait la defaite, la guerre, la mort…oui un peu comme ceux qui sont revenus du vietnam….
et bin ce n’est pas un geo que je vais lire…et l’annee prochaine il y a le centenaire de l’armistice de 18…si cela pouvait calmer les va-t-en-guerre…..
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Oui, 14 fut horrible, les officiers envoyaient les hommes à la boucherie et Passendale fut hyper meurtrière en peu de temps… « à l’ouest rien de nouveau » est dans mes coups de coeur, j’ai adoré ce roman, dur, mais qui m’éclairait mieux.
Si tu n’allais pas à la guerre, on te regardait de travers et quand tu y allais et que tu en revenais, on te regardait de travers aussi, l’humain est bizarre et CON !!
Non, ça ne les calmera jamais…
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helas oui…helas….oh oui pour « a l’ouest rien de nouveau »…cela m’a meme donne envie d’en lire plus de Remarque…il a une facon d’ecrire, de decrire..tu t’y croyais….( une LC de remarque ?)
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Je ne possède que ce livre là de lui… mais si j’en trouve un autre, on pourrait se faire de la LC, en effet !
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OUPS !!! Je peux obtenir « cette terre promise » et « l’ennemi », ainsi que les « exilés » !!
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bin lala je ne trouve plus mon livre….ma PAL me l’a mange….
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Enseveli, dévoré par la PAL… horreur !
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oui bin lala j’ai les boules quoi…soit je l’ai deja lu…je ne m’en souviens plus…ou soit mes chats l’ont bouge (ils jouent souvent dans mon armoire)…je vois pas d’autres solutions…lol
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Passe les chats à la question ou au détecteur de mensonge !!
Tu n’as pas de liseuse, toi, si je me souviens bien ?
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nop pas encore de liseuse…oui je vais les passer plutot a la brochette…cela devient fou cette histoire…j’ai retourne tout mon appart lala….lol
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Bon, n’oublie pas de me signaler le jour où tu y passes, à la liseuse ! 🙂
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vraiment vraiment…le jour ou ma libraire prend sa retraite….lol…et le comble de l’histoire, elle a une tablette (tu penses que c’est juste une excuse bidon?)
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La tablette lui sert sans doute à payer ses factures via l’appli de la banque et à gérer ses stocks et ses commandes, non ??
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hahaha et 5000 livres en attente….c’est cela aussi qui me fait peur avec une liseuse…elle me dit qu’elle est debordee…au moins avec les livres-papiers tu vois tes livres….une liseuse tout disparait (je le sais avec mes revues tricots)
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Mais tes planchers ne ploient pas sous le poids de tes 5.000 livres avec la liseuse !! mdr
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mais tellement efficace pour caler une maison lors d’un tremblement de terre…
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Tu penses que ça fonctionnerait ?? 😆
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pour le test, il me manque 4593 livres….car pour les tremblements j’en manque pas…
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Ton billet est superbe, porté par de très beaux extraits mais j’ai du mal avec les récits de guerre, aussi beaux fussent-ils, je le note dans un coin de ma tête…mais pas sur mon carnet, j’en ai trop !!! 😥 😆
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Mon carnet de notes est bourré lui aussi, mon emploi du temps pareil, mais le portefeuille, lui, est vide !! mdr
Merci pour les compliments, ça me fait plaisir (et rougir).
La guerre est là, mais en prétexte aux récits. On n’est pas tout le temps sous le feu de l’ennemi (qui était l’ennemi ? Ceux qui envahissent ou ceux qui résistent ?)
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L’ennemi change vite de camp c’est bien connu surtout dans ces contrées déjà coupées en deux dans le même pays ! Je suis sûre que c’est très bien et que ça me plairait mais non là, là je ne sais plus où mettre mes livres et j’en ai plus d’une centaine d’avance (à la louche), alors soyons raisonnables !!! 😆
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Juste une centaine d’avance ?? Tu en as de la chance, toi, moi j’en ai bien plus…. mdr
Reste raisonnable, tu es bien la seule, ça fait du bien, des gens raisonnable ! 😀
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Article qui met l’envie de lire aux yeux. J’aime énormément ce type de récits. Merci pour la découverte 🙂
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J’apprécie aussi ce genre de récits et cela faisait un certain temps qu’il prenait la poussière dans mes étagères. Maintenant, c’est lu !
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Je n’aime pas trop lire sur le thème des guerres, mais là, il se pourrait bien qu’avec ce que tu nous en dit, je pourrais bien craquer! Emotions et poésie, tu le sais, je ne sais pas résister…..
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Il pourrait te plaire, en effet, mais papa Nowel ne sait rien faire pour te le procurer….
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Il n’y a plus que 4 mois à attendre après je lui fait une liste spéciale « noté chez les potes », et dès fois, il pioche dedans….Il est magique le bonhomme rouge!!!!
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Mon bonhomme en rouge est encore plus magique que le tien : vu qu’il se plante dans les librairies, vu qu’il ne trouve jamais rien, je vais avec lui, je sélectionne tout ce qui me plairait, je lui fais une pile et je fiche le camp du magasin !! Alors moi, j’en avais mis assez bien, pour avoir encore du suspense, et lui, il m’a tué le suspense en les prenant TOUS !!! 10 romans… 12 bédés… le fou !!
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Le thème de la guerre et des conflits dans la grande Histoire est un de mes thèmes préférés. On y rencontre le pire comme l’exceptionnel et c’est un creuset unique pour l’analyse de la psyché humaine aux mains d’une grande machinerie inhumaine. Bel avis et je rajoute ce titre vite fait, bien fait dans ma PAL!
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J’aime ça aussi, et vu que je connais peu de chose sur la guerre du Vietnam – hormis la généralité – j’apprécié de lire des petites histoires dans la grande, les petites qui éclairent la grande…
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Oui, une bien jolie écriture… mais un thème trop dur pour moi… les histoires de guerre… j’ai franchement du mal avec ça.
Flower Power !!! 🌺🌸🌹🌻🌷🌼
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Hélas, les Hommes aiment se faire la guerre…
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Je ne suis pas très récit de guerre, mais ça semble vraiment plein d’émotions
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L’émotion est au rendez-vous, en effet, et on ne sombre jamais dans le glauque, même si certaines histoires sont plus poignantes que d’autres.
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