La maîtresse de l’attorney général : Sherlock’s story n°8

Titre : La maîtresse de l’attorney général : Sherlock’s story n°8

Auteur : Illustre inconnu !
Édition : Sherlock’s Diffusion

Résumé :
Lord Dempson et son épouse sont retrouvés sans vie dans leur chambre à coucher, sauvagement assassinés. Or les fenêtres sont closes, la porte fermée de l’intérieur.

Comment le meurtrier a-t-il pu s’introduire, puis s’en aller, en ne laissant aucune trace ?

Critique : 
Sur l’air de « Allumer le feu », je chanterais bien « j’ai touché le fond » parce que celui-là, c’est Byzance point de vue de la descente de niveau. Bon, les autres ne volaient pas très haut, mais on pouvait encore leur trouver quelques circonstances atténuantes, mais ici, non.

Aucune déductions, une enquête sur un double meurtre en chambre close dont Holmes n’avait pas trouvé la solution lors de sa première enquête (pourtant, il n’y a pas 36 solutions, en chambre close), des personnages débiles ou totalement improbables et un Sherlock Holmes toujours empêtré dans des situations de fous, limite MacGyver qui va mourir dans deux secondes et pouf, solution !

Attention, MacGyver sans les gadgets ! Ma foi, il y avait même de l’Indiana Jones dans ce Holmes là, lorsqu’on voit certaines situations critiques dans lesquelles il est coincé.

Précisons que c’était de l’Indiana Jones light, sans sucre, bourré d’aspartame, de Xylitol et autres substances falsifiées ou altérées. « Indiana falsificat » aurait dit un légionnaire du camp de Babaorum.

Non, rien pour sauver cette histoire, ça voudrait ressembler à du Holmes mais ça n’a ni la couleur, ni le goût, même pas les bulles ! Rien, que dalle.

Tiens, le Canada Dry© à plus de ressemblance avec l’alcool que ce pénible pastiche n’en aura jamais avec le vrai Sherlock Holmes de Conan Doyle.

Rien que de la mauvaise contrefaçon tout cela !

Vite, une valeur sûre : « A study in terror » avec le grand et beau John Neville ! Pas de risque d’être déçue.

Il est temps que j’aille me perdre dans les vraies brumes de Londres, dans ses vraies rues sombres, que j’aille rôder du côté de Whitechapel et que je me tape quelques bières dans un pub glauque !

A bon entendeur, salut ! Ite missa est…

Livre participant au Challenge « Thrillers et polars » de Liliba, au Challenge « Polar Historique » de Samlor, au Challenge « Sherlock Holmes » de Lavinia sur Livraddic, au Challenge « I Love London » de Maggie et Titin, au Challenge « Le mois anglais » chez Titine et Lou et au Challenge « Victorien » chez Arieste.

15 réflexions au sujet de « La maîtresse de l’attorney général : Sherlock’s story n°8 »

  1. Ping : Les triomphes de Sherlock Holmes – Souvenirs d’une souris d’hôtel : Gérard Dole | The Cannibal Lecteur

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  10. En voilà d’une bonne idée ! Pars te promener dans les ruelles sombres de Whitechapel et surtout ne prends pas de livre !! Juste pour me rassurer, il y a en encore beaucoup de cette série ?

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    • La série en comporte 8 ou 9, mais je n’en possède que 6 et 2 avaient déjà été lus pour la challenge de Liliba « Thrillers et polars », donc, là j’en ai fini avec eux et j’ai terminé aussi de relire « Sherlock Holmes et Jack l’éventreur » de Ellery Queen, critique faite et prête à être envoyée sur le blog, pour ton plus grand plaisir, avoue-le !

      Ensuite, je vais me faire le film !!

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  11. Ping : Billet récapitulatif mois anglais 2013 | Plaisirs à cultiver

  12. Très drôle en tout cas (enfin pas le bouquin, mais tes écrits).
    Je ne suis pas encore un grand Sage, mais j’ai appris une chose de la Vie : Il faut toujours se méfier du Canada Dry !

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    • Je suis une consommatrice de Canada Dry… je le bois toujours avec modération, même si je ne sais pas c’est qui, ce type.

      Quand le bouquin est chiant, je me venge en le critiquant avec humour.

      J’adore tes critiques aussi, cette manière d’écrire en t’adressant directement au lecteur et comme si c’était toi-même qui vivant « dans » le livre. ça change tout…

      Contente de t’avoir fait rire.

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